- Gathering War Clouds (Dry Bones)
http://drybonesblog.blogspot.fr/2012/07/gathering-war-clouds.html
"And so we sit and watch as the story unfolds."
- Gathering War Clouds (Dry Bones)
http://drybonesblog.blogspot.fr/2012/07/gathering-war-clouds.html
"And so we sit and watch as the story unfolds."
France
- Un élève à un prof d’histoire : « Pas un juif dans les tours » (Conspiracy Watch)
http://www.conspiracywatch.info/Un-eleve-a-un-prof-d-histoire-Pas-un-juif-dans-les-tours_a877.html
"Lu dans le dossier du Nouvel Obs de cette semaine (« Antisémitisme : ce qu’on ne veut pas dire », sorti le 5 juillet 2012), le témoignage de Iannis Roder, professeur d’histoire-géo à Saint-Denis :
« Au tournant des années 2000, deux évènements ont libéré la parole : le 11 septembre et la seconde Intifada. Je me souviens précisément du 12 septembre 2001. La plupart de mes élèves étaient atterrés, mais l’un d'eux avait déjà une explication "complotiste" : "Il n'y avait pas un juif hier dans les tours, c'est eux qui l'ont fait". Pour une minorité, c'était "bien fait pour les Américains et pour les juifs". (…) Ces jeunes sont abreuvés d'images, à la fois surinformés et incapables d'analyser ce qu'ils reçoivent. Pour ceux qui ont 500 mots de vocabulaire, les théories du complot, les explications simplistes sont rassurantes. »
Apparu pour la première fois le 19 septembre 2001, en direct sur la chaîne qatarie Al-Jazeera, ce mythe des « 4000 juifs absent du World Trade Center » est diffusé depuis plus de dix ans sur Internet, en particulier sur des sites islamistes ou d’extrême droite. On le retrouve au détour d’un texte du très controversé écrivain et militant afro-américain Amiri Baraka. La traduction en français de ce poème intitulé “Somebody Blew Up America” a été assurée par l’animateur du site conspirationniste Oulala.net, René Balme, sous le titre « Quelqu’un a fait sauter l’Amérique ». Voici le passage en question :
« Qui a su que le World Trade Center allait être attaqué ?
Qui a demandé aux 4000 ouvriers israéliens des Twin Towers
de rester à la maison ce jour là ?
Pourquoi Sharon s’est il enfui ailleurs ? »
Le 20 avril 2011, Amiri Baraka, qui revendique ouvertement ses prises de position "antisionistes", a pu interpréter “Somebody Blew Up America” en slam à la Cité de la Musique, à Paris. Dans l’indifférence générale."
- Lettre ouverte à Plantu, Richard Prasquier (Président du CRIF) - après la caricature plutôt dégueulasse des derniers mois, c'est la goutte anti-israélienne d'hier qui pour Prasquier fait déborder le vase.
http://www.crif.org/fr/leditorialdupresident/lettre-ouverte-%C3%A0-plantu/31966
Israël
- Tsahal crée une unité de couverture opérationnelle : les photographes de combat (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Tsahal-cree-une-unite-de-couverture-operationnelle-les-photographes-de-combat_356334.html
"Tsahal a décidé de créer une unité de photographes de combat. Ces photographes seront détachés auprès d'unités combattantes avec lesquelles ils prendront part activement aux opérations, mais seront également munis de caméras vidéos et filmeront l'action. Ils seront rattachés au porte-parole de Tsahal et permettront de relever le défi des relations publiques d'Israël et de Tsahal qui sont systématiquement mis en cause par la presse internationale et de donner ainsi une réponse immédiate en montrant ce qui s'est effectivement passé sur le terrain."
- Libération du joueur de foot palestinien membre du Jihad islamique et expulsion vers Gaza (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Liberation-du-joueur-de-foot-palestinien-membre-du-Jihad-islamique-et-expulsion-_356373.html
"Le footballeur palestinien Mahmoud Sarsak, membre du Jihad islamique, a été libéré mardi et expulsé vers la bande de Gaza, selon des sources judiciaires. Sarsak, 25 ans, aurait fait la grève de la faim pendant 96 jours, selon des sources palestiniennes. "Je ne peux pas dire à quel point je suis joyeux et en même temps je n'oublie pas les cris des détenus encore dans les prisons israéliennes", a-t-il déclaré à son arrivée. Sa mère s'est dite "fière que Mahmoud ait triomphé des geôliers israéliens"."
Gaza & Hamas
- Israël : tir de roquette depuis Gaza (AFP) - "En outre, des Palestiniens ont ouvert le feu à l'arme automatique lundi soir".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/07/09/97001-20120709FILWWW00596-israel-tir-de-roquette-depuis-gaza.php
"Une roquette tirée lundi après-midi par des Palestiniens depuis la bande de Gaza a explosé dans le sud d'Israël, sans faire ni victime ni dégât, a annoncé une porte-parole militaire israélienne. "Cette roquette a explosé dans une zone inhabitée de la région d'Eshkol", a-t-elle expliqué.
En outre, des Palestiniens ont ouvert le feu à l'arme automatique lundi soir à partir de la bande de Gaza contre le sud d'Israël sans faire de blessé, a indiqué à l'AFP le porte-parole de la police israélienne Micky Rosenfeld. "Ces tirs ont visé des voitures circulant dans le secteur du kibboutz Yad Mordechaï. Il y a eu des dégâts matériels", a-t-il ajouté. "Des terroristes ont ouvert le feu depuis la bande de Gaza contre le kibboutz Yad Mordechaï et causé des dégâts à un bâtiment", a déclaré une porte-parole de l'armée. [...]"
- Raid israélien sur Gaza (AFP)
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/07/10/97001-20120710FILWWW00239-raid-israelien-sur-gaza.php
"L'aviation israélienne a mené dans la nuit un raid contre la bande de Gaza, en riposte à des tirs palestiniens contre le sud d'Israël, qui n'ont pas fait de victime, a annoncé une porte-parole militaire israélienne. Cette porte-parole n'a fourni aucun détail sur ce raid aérien. [...]"
- Gaza : 2 cibles terroristes bombardées en riposte aux tirs de roquette (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Gaza-2-cibles-terroristes-bombardees-en-riposte-aux-tirs-de-roquette_356302.html
"L'armée de l'air israélienne a bombardé cette nuit deux cibles terroristes au sud de la bande de Gaza, à Rafah et Khan Younès dont un fortin du Hamas, en riposte aux tirs de roquettes lundi sur Israël et au tir à la mitraillette sur un restaurant et un véhicule dans la région de Yad Mordéchaï. Les Palestiniens ne signalent aucun blessé dans leurs rangs."
- IAF strikes Hamas terror targets in Gaza Strip (JP) - "the sniper bullets shattered the back windscreen of one of the cars, leaving broken glass on the car seat of a seven-month-old baby".
http://www.jpost.com/Defense/Article.aspx?id=276868
"The Israel Air Force struck a Hamas terror base and an additional Hamas terror target in the Gaza Strip overnight Monday, according to the IDF Spokesman's Office. The IAF action came after a sniper from Gaza fired on Israeli cars in the South, causing damage to property earlier on Monday. A rocket was also fired from Gaza into the Ashekelon Coast Regional Council area. No one was injured in the attacks. IAF personnel carrying out the strikes recorded direct hits on their targets. According to Palestinian reports, the IAF struck targets in Rafah and Khan Younis. No one was injured in the attacks.
A Gaza sniper on Monday night fired from the Gaza side of the border on Israeli cars near Yad Mordechai on the Israeli side of the border with Gaza south of Ashkelon, damaging a vehicle and a nearby restaurant. A photograph provided by the IDF showed that the sniper bullets shattered the back windscreen of one of the cars, leaving broken glass on the car seat of a seven-month-old baby. The IDF said 10 bullets were fired at the car in total. [...]"
- Deux roquettes tirées en direction de Hof Ashkélon : elles explosent en territoire palestinien (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Deux-roquettes-tirees-en-direction-de-Hof-Ashkelon-elles-explosent-en-territoire_356253.html
"Deux roquettes, tirées par les terroristes de Gaza ayant provoqué le déclenchement de l'alerte rouge il y a quelques minutes sur le Conseil local Hof Ashkélon, ont finalement explosé sur l'extrême nord de la bande de Gaza."
- Front sud : deux obus de mortier sur le conseil régional d'Eshkol (Guysen)
http://www.guysen.com/news_-Front-sud-deux-obus-de-mortier-sur-le-conseil-regional-d-Eshkol_356312.html
"Deux obus de mortier tirés depuis Gaza sur le conseil régional d'Eshkol ont atterri dans des terrains vagues sans causer de dommages."
Judée-Samarie
- Hébron : jets de pierres palestiniens sur un jardin public du quartier Avraham Avinou, deux enfants légèrement blessés (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Hebron-jets-de-pierres-palestiniens-sur-un-jardin-public-du-quartier-Avraham-Avi_356349.html
"Deux enfants juifs ont été légèrement blessés cet après-midi par des jets de pierres palestiniens dans un jardin public du quartier Avraham Avinou de Hébron. Ils sont actuellement soignés par les équipes du Maguen David Adom et de Hatsalah Yosh. Les forces de sécurité sont sur place et ratissent le secteur."
- Hébron : parmi les deux enfants blessés par les Palestiniens, la soeur de Shalevet Pass (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Hebron-parmi-les-deux-enfants-blesses-par-les-Palestiniens-la-soeur-de-Shalevet-_356366.html
"Parmi les enfants qui ont été légèrement blessés cet après-midi dans un jardin public du quartier Abraham Avinou de Hébron par des jets pierres palestiniens, on note la soeur de Shalhevet Pass qui avaient été assassinée le 26 mars 2001 pratiquement au même endroit par un sniper terroriste palestinien alors qu'elle n'avait que 10 mois."
- Une colonisation juive "légale", Renée-Anne Gutter (La Libre Belgique) - "le statut de la Cisjordanie est indéterminé. Israël ne s’y trouve donc pas en territoire souverain étranger".
http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=12406
"[...] Contrairement à la conception internationale selon laquelle la Cisjordanie palestinienne est un territoire "occupé" par Israël et la colonisation juive y est "illégale", une commission juridique israélienne a statué : Israël ne répond pas aux critères juridiques internationaux d’"occupant militaire" de la Cisjordanie, et l’installation d’une population juive dans cette région est "légale". Présidée par Edmond Lévy, juge à la retraite de la Cour suprême israélienne, cette commission de juristes a été mise sur pied en janvier dernier par le Premier ministre Benjamin Netanyahou, sous la pression des colons qui tiennent à régulariser la situation de leurs colonies "sauvages". [...] Le gouvernement devrait décider prochainement s’il adopte ou non ces recommandations. [...]
[La Cisjordanie] avait été contrôlée par la Jordanie. Jusqu’en 1988, le Royaume hachémite en a revendiqué la souveraineté, bien que celle-ci n’ait jamais été reconnue par la communauté internationale. En 1988, le roi Hussein de Jordanie a définitivement et officiellement abandonné toute revendication sur la Cisjordanie, suite à la déclaration d’indépendance de la Palestine, faite cette année-là à Alger par Yasser Arafat. Une déclaration qui était virtuelle à l’époque, il est vrai, puisque le raïs palestinien était alors en exil et qu’aucun accord n’avait encore été conclu avec Israël. Ces faits, argue Alan Baker, membre de la commission et ancien conseiller juridique des Affaires étrangères israéliennes, font que le statut de la Cisjordanie est indéterminé. Israël ne s’y trouve donc pas en territoire souverain étranger. [...]
Plusieurs experts invalident aussi l’argument jordanien, invoqué par la commission : bien que la Jordanie ait abandonné toute revendication sur la Cisjordanie, les résolutions adoptées par l’Onu au fil des ans prouvent que la communauté internationale destine ce territoire aux Palestiniens. Si le rapport est mis en œuvre, les Palestiniens pourraient en toute logique porter l’affaire devant la Cour internationale de la Haye."
- US State Department comes out against settlement report, Gabe Fisher (Times of Israel)
http://www.timesofisrael.com/us-state-department-we-do-not-accept-the-legitimacy-of-continued-israeli-settlement-activity/
"The US government came out Monday against the findings of the Levy Committee Report, which recommended legalizing most West Bank outposts and facilitating the growth of Jewish settlements in the West Bank. Speaking to reporters, State Department spokesman Patrick Ventrell said that the US did not accept the document, which was released on Monday by a government-sponsored legal team.
“The US position on settlements is clear,” Ventrell said. “Obviously, we’ve seen the reports that an Israeli government appointed panel has recommended legalizing dozens of Israeli settlements in the West Bank, but we do not accept the legitimacy of continued Israeli settlement activity, and we oppose any effort to legalize settlement outposts.” Ventrell’s statements came ahead of this week’s visit to Israel by Deputy Secretary of State William Burns and next week’s visit by Secretary of State Hillary Rodham Clinton.
The Levy report drew condemnation from the left, and from lawyer Talia Sasson, who wrote a previous report calling the outposts illegal. Politicians on the right called on Prime Minister Benjamin Netanyahu to accept the Levy commission’s findings. Netanyahu said he had formed a ministerial panel to study the report, which he commissioned."
- Vers des élections palestiniennes en octobre, le Hamas conteste, Jihan Abdalla & Nidal al Moughrabi (Reuters) - "Le Hamas considère cette démarche unilatérale comme sapant la réconciliation".
http://fr.news.yahoo.com/vers-des-%C3%A9lections-palestiniennes-en-octobre-le-hamas-153726761.html
"L'Autorité palestinienne a annoncé mardi qu'elle prévoyait d'organiser des élections en octobre en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, suscitant la colère des islamistes du Hamas. Ces derniers contrôlent la bande de Gaza depuis le bref conflit qui leur a permis d'en chasser les hommes du Fatah, l'organisation du président Mahmoud Abbas, à la mi-2007. Le Fatah reste quant à lui prédominant en Cisjordanie.
"Le cabinet palestinien a approuvé durant sa réunion aujourd'hui (...) la tenue d'élections locales le 20 octobre 2012 dans tous les comités locaux de la patrie", dit l'Autorité palestinienne dans un communiqué. Le porte-parole du Hamas, Sami Abou Zouhri, a répondu en ces termes au communiqué : "Le Hamas considère cette démarche unilatérale comme sapant la réconciliation et une décision d'intensification qui pourrait compliquer davantage le dossier de la réconciliation, c'est pourquoi le Hamas rend le mouvement du Fatah responsable des conséquences qui pourraient en résulter".
Les dirigeants des deux mouvements ont signé un accord au Qatar en février afin de former un gouvernement d'union composé de technocrates indépendants issus de Cisjordanie et de la bande de Gaza et dirigé par le président palestinien Mahmoud Abbas, mais Hamas et Fatah n'ont jamais appliqué l'accord. La semaine dernière, le Hamas a interrompu l'inscription des électeurs dans la bande de Gaza, retardant davantage l'effort de réconciliation. [...]"
"Processus de paix"
- Mahmoud Abbas rejette la proposition de Netanyahou de libérer des détenus palestiniens (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Mahmoud-Abbas-rejette-la-proposition-de-Netanyahou-de-liberer-des-detenus-palest_356269.html
"Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a rejeté lundi la proposition du Premier ministre Binyamin Netanyahou de libérer des détenus palestiniens en échange de l'annulation de la nouvelle tentative de reconnaissance par l'Onu de la "Palestine" en septembre prochain. Cette proposition avait été formulée lors de contacts discrets entre les deux parties afin de réamorcer le processus des pourparlers de paix."
- Abbas refuses Israeli prisoner release, saying all or nothing (Elder of Ziyon)
http://elderofziyon.blogspot.fr/2012/07/abbas-refuses-israeli-prisoner-release.html
"Everyone keeps saying that time is running out on chances for a Palestinian Arab state, but Abbas sure acts like time is on his side. From Ma'an:
"Palestinian Authority Prisoners Minister Issa Qaraqe said Monday that President Mahmoud Abbas refused an Israeli offer for the staged release of Palestinian prisoners in exchange for returning to peace talks. Abbas insists that all 123 prisoners held since before the 1994 Oslo agreement be freed in a single release, Qaraqe said.
Israeli daily Haaretz reported earlier Monday that Israel offered to release some 25 Palestinian prisoners convicted of the murder of Israelis, followed by another 100 prisoners by the end of the year. Israeli premier Benjamin Netanyahu would authorize the gesture during or after a direct meeting with Abbas, not before, the report said. Netanyahu's spokesman Ofer Gendelman denied the report of the prisoners offer."
Whether Netanyahu made the offer or not is besides the point. The point is that Abbas feels confident enough to tell his people that he refuses to allow some prisoners to be released unless his maximal demands are met up front. [...]"
- Who Is Being "Intransigent"?, Michael Curtis (distinguished professor emeritus of political science at Rutgers University) - "Arab refusal to enter into peace negotiations persists to this day, inflexible as ever".
http://www.gatestoneinstitute.org/3155/who-is-being-intransigent
"Forty-five years after the Six Day War, declassified transcripts were released this June of the Israeli cabinet and government committee meetings in the days after war that ended on June 10, 1967. The documents provide a breathtaking insight into the efforts of Israeli leaders to reach a peace settlement with the countries and groups which had been at war with Israel. The evidence of the hard work and the varied opinions on the part of the Israeli ministers, all eager to reach a peace treaty and an understanding with the Palestinians and Arab states, presents a revealing contrast to the long-term refusal of the Arab parties to come to the negotiating table -- an attitude that was reiterated at the summit meeting of the Arab League on September 1, 1967 in Khartoum, Sudan. As has now been revalidated by the declassified transcripts, the Israelis were ready to negotiate land for peace; the Arab leaders instead issued their statement of the three "nos:" no peace with Israel, no recognition of Israel, no negotiations with Israel -- an unconditionally negative position taken by Arab leaders that still persists.
The Arab and Palestinian intransigence, the refusal to accept a peace agreement, has a long history and is all too familiar. In 1922 the League of Nations Mandate for Palestine was officially established. Under it a Jewish Agency, set up in 1929, and composed of representatives of world Jewry, would assist the British administration in establishing the Jewish National Home in Palestine. The Jewish Agency then organized an infrastructure of political and social institutions that became the basis for the state of Israel. The Arabs refused the offer to create a similar Agency.
In 1922 the Arab leaders who refused to participate with the Jews in any plan or in a joint legislature, in which anyone other than the Arabs would have been the majority; rejected the proposal for a Palestinian Constitution with a Legislative Council in which the Arabs would have formed the majority, and boycotted the election for the Council.
In 1937 the Arab Higher Committee rejected the idea of two states, first officially proposed by the British Peel Commission Report. The Report had recommended a Jewish state in about 20 percent of Palestine, about 5,000 square kilometers, while most of the rest was to be under Arab sovereignty. The Report also suggested a transfer of land and an exchange of population between the two states. The Peel Commission Report was accepted, in principle, by the Jewish Agency, even though it meant that the Jewish state would be a small one, but it was totally rejected by the Arab Higher Committee, which called for a single state in all of Palestine.
In 1939, in the last attempt before World War II, to reach some agreement, the British Colonial Secretary organized a Round Table Conference in London that February. Failure was inevitable: the representatives of the five Arab states and the Arabs in Mandatory Palestine who were present refused any direct contact or discussion with the Jewish representatives -- even to sit in the same room with them.
The Arabs also refused to accept United Nations General Assembly Resolution 181(II) of November 29, 1947, which adopted the recommendation of the UN Special Committee on Palestine (UNSCOP) that Western Palestine -- the area outside of Jordan -- be partitioned into two states, one Jewish, one Arab, with an internationalized Jerusalem as a corpus separatum, or separate body. The Jewish state would have about 55 percent of the area, but not the historic areas of Judea and Samaria. The Resolution was accepted by the Jewish leaders, but rejected by the Palestinian Arabs and by six of the seven member states -- Jordan being the exception -- of the Arab League, which at that time had replaced the League of Arab States.
Arab refusal to enter into peace negotiations persists to this day, inflexible as ever. The Palestinians decline to enter into negotiations with Israel unless Israel first accepts the "pre-1967 borders" (borders that have never existed; they are merely the armistice line of where the fighting stopped in 1949), agrees to Jerusalem as the capital of a Palestinian state, and ends all construction in areas acquired by Israel as a result of the 1967 war.
In the Six Day War of June 1967, Israel achieved a remarkably rapid victory over its Arab opponents; it left Israel in control of the Sinai Peninsula, the Golan Heights, Gaza which had been ruled by Egypt, the Jordan River, the Suez Canal, and the West Bank, so named by Jordan which had "annexed" the area despite almost unanimous international disapproval.
The Israeli documents just released also show among Israeli leaders a startling readiness to compromise, which contrasts with the total disinclination of Arabs and Palestinians to compromise. The documents show clearly that, while there were acute differences among the Israelis about the fate of the territories captured in 1967, almost all Israelis were eager to trade land for peace.
The discussions and proposals were not initially intended to be policy proposals; they were directives to Israel's Foreign Minister, Abba Eban, who was participating in New York in the Special Session of the UN General Assembly, called to resolve the Israeli-Arab conflict. The ministerial discussions have to be put in the context of Israeli concern about any UN action after the memory of at least two issues. The first occurred when Israel was forced to withdraw from the Sinai after the Suez war of 1956 and had to rely there on United States guarantees and the UN Emergency Force (UNEF), which proved ineffective. The second was the speedy compliance in May 1967 of U Thant, Secretary–General of the UN, without the required approval of the UN General Assembly, to accede to Nasser's demand that the UNEF troops in the Sinai be withdrawn. The Israeli ministers feared that pressure would again be exerted on the state as in 1956 and May 1967, leaving Israel vulnerable.
It is also relevant that the Israeli government was a unity one under Prime Minister Levi Eshkol, and included members of Gahal (Menachem Begin and Yosef Safir) and the Rafi party (Minister of Defense Moshe Dayan). Not surprisingly, there were strong differences of opinion on the issues of security, borders, refugees, and water -- all of which prevented agreement.
Consensus was reached, however, on some issues. First, Israel should withdraw from captured territories only if the Arab states agreed to make peace and end the boycott of Israel. Most important, Israel would return the Sinai Peninsula to Egypt and the Golan Heights to Syria in return for either a peace treaty or strong security guarantees. The Israeli cabinet also agreed that east Jerusalem would not be returned to Jordan, which had ruled it; that Egypt had no greater claim to Gaza than Israel had, and that Jordan had no greater claim to the West Bank than Israel had, as all three countries had acquired the areas through war.
Some ministers thought that the demand for peace treaties was unrealistic. In the desperate effort to find positions that would both lead to negotiation and also also protect the state of Israel, they grappled with a variety of contradictory alternatives: control over the Gaza Strip, freedom of navigation in the Strait of Tiran; demilitarization of the Sinai and of the Golan Heights; control of the sources of the Jordan River; rule over the West Bank; end of any Israeli rule in the West Bank; military rule during a transition period; and self-rule for the Arab inhabitants of the West Bank while Israel still concerns itself with foreign affairs and national security.
Although there were differences on the issues of the destiny of the West Bank, and on whether peace treaties should be based on international frontiers, ministers all spoke of peace with security arrangements. The positive answer to the security issue was finally approved by a majority of one, 10 to 9: it was decided that a peace agreement should ensure freedom of navigation in the Strait of Tiran, the Gulf of Aqaba, and the Suez Canal; the freedom of flight over them, and the demilitarization of the Sinai Peninsula.
The formula agreed to by unanimity on June 19, 1967 was that "Israel proposes the conclusion of peace treaties with Egypt and Syria on the basis of the international frontiers and Israel's security needs." This proposal was presented to both Egypt and Syria, but no positive response came from either. Instead, the Arab Summit leaders at Khartoum announced on September 1, 1967 the three "nos."
As a result of Khartoum, Prime Minister Eshkol wrote a month later, "I doubt whether the government would approve the decision of June 19 exactly as it stands." In view of the continuing Arab leaders' refusal to negotiate, the decision did indeed become invalid.
What these newly released Israeli documents show in dramatic fashion is the eagerness of all the Israeli leaders, no matter how they differed on specific issues, to reach peace agreements with their Arab neighbors. If there is any hope for peace at this time among the Palestinians, they might wish to reconsider."
Egypte
- Les violeurs israéliens, ou le double langage des Frères musulmans, Gerard Fredj (Israël Infos)
http://www.israel-infos.net/Les-violeurs-israeliens-ou-le-double-langage-des-Freres-musulmans-9008.html
"[...] Selon l'édition du week end du quotidien égyptien Al Wafd, Mohamed Badi, le guide suprême des Frères musulmans, a rappelé dans un prêche "la nécessité de chaque musulman d'avoir à cœur de sauver Al-Qods – Jérusalem – des mains des violeurs – israéliens – et de nettoyer la Palestine des griffes de l'occupation", chaque musulman devant considérer "cette tâche comme un devoir individuel pour chaque musulman". Plus concrètement, il demande "à tous les musulmans de financer le Djihad et de faire sa mission personnelle de la libération d'Al Qods". "Les juifs de diaspora se sont rassemblés au nom d'un droit illusoire et établi un état sur la terre sainte de la nation palestinienne", a –t-il ajouté."
- Egypt's Muslim Brotherhood leader: Israelis are rapists of Jerusalem (Israel Hayom)
http://www.israelhayom.com/site/newsletter_article.php?id=4983
"Israelis are "rapists" and it is a necessity for every Muslim to save Jerusalem from their clutches, the Supreme Leader of the Egyptian Muslim Brotherhood organization is reported to have said last Thursday. According to last Thursday's edition of Al Wafd, an Egyptian daily newspaper, during his weekly sermon, "Muhammad Badi, the Muslim Brotherhood's Supreme Guide, confirmed the necessity for every Muslim to strive to save al-Quds [Jerusalem] from the hands of the rapists [Israelis] and to cleanse Palestine from the clutches of the occupation, deeming this an individual duty for all Muslims." More specifically, he "called on all Muslims to wage jihad [holy war] with their money and their selves to free al-Quds."
The article was first reported on by the website Jihad Watch. Last month, Egyptians elected Mohammed Morsi of the Muslim Brotherhood as the first democratically elected president of Egypt since the ouster of Hosni Mubarak.
According to Al Wafd, Badi said Muslims must enable the displaced [Palestinians] to "return to their homes." "The Jews had gathered from the diaspora on behalf of an alleged, illusory right, and established their state on the sanctities of the [Palestinian] nation," Badi is reported to have said. [...]"
- Egypte : l'Assemblée du peuple dissoute défie la justice en se réunissant (AFP) - "Les députés des Frères musulmans et des fondamentalistes salafistes, qui dominent l'Assemblée, étaient présents, mais les élus d'autres partis notamment libéraux ont boycotté la session".
http://fr.news.yahoo.com/egypte-lassembl%C3%A9e-peuple-r%C3%A9unit-malgr%C3%A9-dissolution-081801248.html
"L'Assemblée du peuple égyptienne, dissoute à la mi-juin, s'est réunie mardi matin après un décret du président islamiste Mohamed Morsi ordonnant son rétablissement, défiant ainsi l'armée et la justice. "Ce dont nous discutons aujourd'hui c'est du mécanisme d'application" du jugement de la Haute cour constitutionnelle (HCC) qui a déclaré l'Assemblée invalide, a déclaré à l'ouverture de la session le président de la chambre basse, le Frère musulman Saad al-Katatni. [...]
Les députés des Frères musulmans et des fondamentalistes salafistes, qui dominent l'Assemblée, étaient présents, mais les élus d'autres partis notamment libéraux ont boycotté la session, certains qualifiant le décret de M. Morsi de "coup d'Etat constitutionnel". Le nouveau président égyptien a ordonné dimanche par décret le rétablissement du Parlement, en invitant l'Assemblée à se réunir de nouveau et à exercer ses prérogatives. [...]
La HCC a de son côté assuré qu'elle "n'était partie prenante dans aucune lutte politique" et que sa mission était de "protéger le texte de la Constitution". Elle est néanmoins accusée par plusieurs groupes et hommes politiques d'être biaisée. [...]"
- La Haute Cour égyptienne suspend la convocation du parlement, Yasmine Saleh (Reuters)
http://fr.news.yahoo.com/la-haute-cour-%C3%A9gyptienne-suspend-la-convocation-du-181923742.html
"Le bras de fer entre l'armée et les Frères musulmans connaît une nouvelle péripétie mardi en Egypte alors que la Haute Cour constitutionnelle a décidé de suspendre le décret du président Mohamed Morsi, qui ordonne au parlement de siéger de nouveau. "La Cour a décidé de suspendre la décision du président de convoquer le parlement", a déclaré le juge Maher el Beheiry. [...]
La Haute Cour constitutionnelle a réagi lundi à ce décret en déclarant que ses jugements s'imposaient à toutes les institutions de l'Etat. Réunie d'urgence, elle avait précisé qu'elle n'était pas habilitée à revenir sur le décret du chef de l'Etat, mais qu'elle examinerait mardi les recours contestant la constitutionnalité de la décision présidentielle. La décision de suspendre la convocation du parlement intervient alors que l'Assemblée du peuple, la chambre basse du parlement égyptien, s'est réunie mardi matin."
- Egypte : la justice suspend le rétablissement du Parlement (AFP)
http://fr.news.yahoo.com/egypte-lassembl%C3%A9e-peuple-r%C3%A9unit-malgr%C3%A9-dissolution-081801248.html
"[...] Selon la source judiciaire, "la cour a ordonné que sa précédente décision (invalidant les élections et déclarant le Parlement illégal, NDLR) soit appliquée". Les avocats de M. Morsi ont immédiatement dénoncé une décision "politique", disant craindre qu'elle ne complique encore la crise dans le pays. "Ce jugement est nul et non avenu", a notamment déclaré l'un d'eux, Abdel Moneim Abdel Makssoud, lisant un communiqué à la presse.
Dans le même temps, des milliers de personnes se sont réunies sur l'emblématique place Tahrir, au Caire, pour manifester leur soutien à M. Morsi et scander des slogans hostiles à l'armée, à qui Hosni Moubarak, chassé par la rue en février 2011, avait remis les rênes du pays, et jugée de mèche avec la HCC. [...]"
- El Baradeï : la situation en Egypte est au bord de l'explosion (Guysen)
http://www.guysen.com/news_El-Baradei-la-situation-en-Egypte-est-au-bord-de-l-explosion_356337.html
"L'ancien directeur de l'AIEA Mohamed El Baradeï, qui fut un temps pressenti comme candidat à l'élection présidentielle égyptienne, a fait part mardi de sa très vive inquiétude quant à la situation politique de son pays après le défi que vient de lancer le président Morsi à l'armée en convoquant le Parlement pourtant dissous par la Cour constitutionnelle. "La situation en Egypte est au bord de l'explosion en raison de la décision du président Morsi", a déclaré El Baradeï sur son compte Twitter appelant le président, l'armée et le système judiciaire à s'unir pour tenter de trouver une solution à la crise."
Monde arabe
- Libye : les islamistes majoritaires ? (AFP)
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/libye-les-islamistes-majoritaires_1136742.html#xtor=AL-447
"L'imbroglio pourrait profiter aux islamistes en Libye. Ces derniers ont affirmé ce mardi qu'ils pourraient obtenir la majorité dans la future assemblée nationale. En dépit de résultats préliminaires plutôt favorables aux libéraux, l'élection des candidats au scrutin uninominal, qui concerne 120 députés sur les 200 de la future assemblée, leur est favorable. [...] Le dépouillement des votes des élections de samedi était toujours en cours mardi. Les résultats préliminaires sont annoncés depuis lundi soir au compte-goutte."
- Élections en Libye : entretien Atlantico avec Frédéric Encel (Docteur en géopolitique de l’Université Paris 8, professeur de relations internationales à l’ESG Management School et maître de conférences à Sciences-Po Paris) - "Il est vrai que les Frères ont fait un score moins bon qu'en Tunisie ou en Egypte. Mais ils étaient tout à fait inconnus tant Kadhafi les avaient pourchassés".
http://www.atlantico.fr/decryptage/election-libye-premier-coup-arret-pour-islamistes-frederic-encel-415034.html
"- Atlantico : Ce 7 juillet, la Libye a voté. Si les résultats ne sont pas encore fixes, le Parti des libéraux de Mahmoud Jibril devancerait le parti inféodé aux Frères musulmans. Quel constat peut-on faire de cette élection ?
- Frédéric Encel : D'abord il convient d'être très prudent. Non seulement ces résultats sont partiels, mais encore ne concernent-il que moins d'un tiers des sièges qui seront attribués à la nouvelle constituante. Mais s'il faut tirer un premier enseignement, je dirais que les Libyens ont globalement joué le jeu - un jeu démocratique qu'ils n'ont absolument jamais connu bien entendu sous la longue férule de Kadhafi, et pas même auparavant, sous le roi Idriss Senoussi - avec un fort taux de participation et le respect du scrutin, avec peu de violences (concentrées dans quelques zones de Cyrénaïque), et des Frères musulmans qui reconnaissent leur défaite. Tout cela est de bon augure mais, encore une fois, il faut rester prudent.
- La défaite des Frères musulmans n'est-elle pas un premier coup d'arrêt pour les islamistes, au Proche et au Moyen-Orient ?
- Oui et non. Il est vrai que les Frères ont fait un score moins bon qu'en Tunisie ou en Egypte. Mais ils étaient tout à fait inconnus tant Kadhafi les avaient pourchassés. Surtout, la notion de nation - al watan - est moins forte en Libye que dans d'autres sociétés arabes, comme la syrienne ou l'égyptienne. Ici, la proximité humaine - tribale, villageoise, clientéliste - compte davantage que l'idéologie, notamment du fait du désert politico-institutionnel laissé par l'ancienne dictature. Tout cela a desservi les Frères qui, de surcroît, sont parfois vus comme soutenus de l'étranger. Mais ils n'ont sans doute pas dit leur dernier mot, tant le processus institutionnel vient seulement de commencer... Enfin ajoutons que de puissantes forces autonomistes sont en place en Cyrénaïque. L'unité territoriale de la Libye n'est pas garantie de toute éternité...
- Ce choix politique ne confirme t-il pas finalement que la Libye est bien ancrée dans un islam modéré et traditionnel ?
- Tout dépend de ce qu'on entend par "modéré". Par exemple, l'absence quasi-totale - pour l'heure - de fanatiques salafistes, pousserait à répondre par l'affirmative. Mais on doit avoir à l'esprit que la situation sociale est en Libye très différente - meilleure, en fait - que celle qui prévaut en Egypte où ils ont recueilli 25% des suffrages exprimés ! N'oublions jamais que les votants, dans les Etats arabes ayant connu le "printemps de 2010-2012", s'expriment avant tout sur des considérations au moins autant socio-économiques qu'idéologiques. Or la Libye, avec ses 6 millions d'habitants seulement et ses 4% de production mondiale de brut, a de quoi satisfaire sa population, même si des écarts flagrants sont à déplorer. En Egypte, c'est 84 millions d'habitants et des ressources restreintes ! Donc de ce point de vue, il n'est pas si stupéfiant que les Libyens aient globalement choisi un courant en effet plutôt modéré et qui, surtout, les a libérés (avec le concours décisif de l'OTAN) de quarante-trois ans d'oppression !"
Europe
- Europe united against Israel, Eldad Beck (Ynet) - "An absurd situation has been created whereby the European Union, which cannot manage its own affairs efficiently, is working with great determination to decide for Israel how it should behave".
http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4253487,00.html
"Just when the vision, or delusion, of Europe’s unity is facing a grave reality test, it’s amazing to see how one issue manages to unite the failing, disintegrating European bureaucracy: The grudge toward Israel. Even the Euro crisis, which threatens to sink European unity into a new nationalist storm, cannot ease the inherent hostility of the European apparatus, located in Brussels, to the Jewish state. By now it looks like a sick obsession that blinds the patient’s eyes and prevents him from seeing his real problems.
Almost not a day goes by without the office of “foreign minister” Catherine Ashton or the EU “embassy” in Israel issuing a condemnation of Israeli actions in the West Bank, Gaza Strip or inside Israel. With zealousness that can only attest to disproportional devotion, EU emissaries – mostly with the help of Israeli collaborators who enjoy generous funding – monitor anything that could be perceived to undermine the rights of Palestinians or Israel’s Arab citizens. [...] An absurd situation has been created whereby the European Union, which cannot manage its own affairs efficiently, is working with great determination to decide for Israel how it should behave.
Meanwhile, the Europeans are pouring huge sums of money into the Palestinian Authority without a hint of criticism about Palestinian actions. Senior EU officials refrain from meeting with Israel’s foreign minister, yet preach for dialogue with Hamas. And in at a time where the Middle East is burning because of endless violations of human rights, condemnations are constantly being issued against Israel.
It appears that the Europeans have been taken captive by the Arab magic formula, whereby the conflict with Israel is at the heart of the region’s problems and only its resolution – that is, making Israel capitulate to Arab demands – will bring peace and stability. And please don’t bother the Europeans with other explanations. It could undermine their stability.
Israel has an interest in good relations with Europe. The European Commission President, Jose Manuel Barroso, will be awarded an honorary doctorate from University of Haifa Tuesday “in appreciation of his firm stance against anti-Semitism, his work to commemorate the Holocaust and his devotion to peace.” However, the Europeans must understand that such ties can only develop on the basis of dialogue between equals, while completely refraining from any attempt to undermine Israel’s sovereignty. If someone in Brussels is truly interested in fruitful, mutual relations with Israel, which has much to offer, they should start to change their approach."
- Arafat et le mystère du Polonium (Chappatte)
http://fr.news.yahoo.com/photos/cartoons-slideshow/arafat-myst%C3%A8re-polonium-photo-080310181.html
France
- Ce qu'a dit Mohamed Merah aux négociateurs, Laurent Borredon & Emeline Cazi (Le Monde) - "il a raté sa cible, et a décidé de passer à la catégorie suivante sur la liste de ses "ennemis", les juifs".
http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/07/09/ce-qu-a-dit-mohamed-merah-aux-negociateurs_1730970_3224.html
"Les mots qui s'échappent des talkies-walkies sont bruts, parfois naïfs, souvent exaltés. Inaudibles certaines fois. Ils sont les derniers de Mohamed Merah. Retranché dans sa salle de bains, les pieds dans l'eau glacée depuis que son chauffe-eau a été transpercé de plusieurs balles ce mercredi 21 mars, le tueur de Toulouse a accepté d'engager le dialogue avec les policiers. L'échange a duré plusieurs heures. Le Monde a pu prendre connaissance des retranscriptions de l'enregistrement de cette conversation dont TF1 a révélé, dimanche 8 juillet, des extraits audio. [...]
Jamais Merah n'aura de mot pour les victimes. Avec une précision clinique, il liste toutes les autres cibles qu'il envisageait d'abattre. Ses "frères" lui auraient soufflé quelques idées : des "diplomates", l'ambassadeur d'Inde notamment. Mais l'enfant du quartier des Izards avait son propre programme. Les militaires d'abord, parce qu'ils "sont engagés en Afghanistan". Le 19 mars, c'est à nouveau l'un d'eux qu'il visait.
Mais il a raté sa cible, et a décidé de passer à la catégorie suivante sur la liste de ses "ennemis", les juifs. Ce sera l'école Ozar Hatorah. Il avait également "repéré une maison juive où il y a beaucoup d'habitants dedans", et la "synagogue à Bagatelle", une cité de Toulouse. Il avait aussi noté l'adresse d'un gendarme, celles de policiers. [...]"
- «Merah maniait les lieux communs du djihad», Judith Duportail (Le Figaro) - "Pour un djihadiste, la mort est une délivrance. Merah a pu lire cette phrase sur n'importe quel forum islamiste. Cela ne prouve pas qu'il a reçu une instruction spécifique".
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/07/09/01016-20120709ARTFIG00328-merah-maniait-les-lieux-communs-du-djihad.php
"Les discussions entre Merah et les négociateurs de la DCRI diffusées par TF1 révèlent que Mohamed Merah «avait une culture très basique de l'islam» et n'appartenait probablement pas à al-Qaida, estime Dominique Thomas, spécialiste de la culture islamiste."
"- «Moi la mort, je l'aime comme vous aimez la vie», a indiqué Mohamed Merah aux enquêteurs. S'agit-il selon vous d'une référence à Ben Laden qui a déclaré aimer «la mort sur la voie de Dieu autant que vous aimez la vie» ?
- Cette phrase est un lieu commun de la culture djihadiste. Elle est très utilisée par ceux qui veulent mettre en avant leur absence de peur de la mort en opposition aux Occidentaux attachés selon eux à leur vie et à leur confort matériel. Pour un djihadiste, la mort est une délivrance. Merah a pu lire cette phrase sur n'importe quel forum islamiste. Cela ne prouve pas qu'il a reçu une instruction spécifique ou qu'il s'est rendu au Pakistan comme il l'affirme. Ces enregistrements viennent confirmer que Mohamed Merah avait une culture très faible et répétait aux enquêteurs des phrases toutes faites entendues ça et là.
- Merah affirme faire une référence au Coran en déclarant «Al Harb Khoudaa, la guerre est une ruse.» Cette référence est-elle exacte ?
- Oui, Merah a sûrement eu accès à des traductions du Coran, car il n'est pas arabophone. Il peut l'avoir apprise par cœur. Cette référence est toutefois très pauvre et trahit une nouvelle fois une culture très basique, Merah n'était pas un érudit de la culture islamique. Je suis surpris par le fait qu'il ne cite directement aucun idéologue de la pensée djihadiste comme Abou Moussab al-Zarqaoui ou Abdullah Yussuf Azzam. Sans même citer leur nom, il pourrait faire référence à leurs actions, une opération célèbre... Cette absence de référence me fait notamment douter de son appartenance au réseau d'al-Qaida. Un stage de préparation au djihad orchestré par al-Qaida comprend des lectures de manuels, une formation spirituelle et idéologique aussi importante que la formation au maniement des armes.
- Pourtant Merah affirme avoir été «envoyé par al-Qaida» ?
- Comme un grand nombre d'Occidentaux, Merah mélange sans doute toutes les organisations djihadistes et emploie le mot al-Qaida à mauvais escient. Il est possible que Merah ait rencontré le groupe des Soldats du Califat, qui se situe entre le Pakistan et Tadjikistan et qui a revendiqué les attaques. Merah fait l'amalgame, car il sait bien que dire «j'appartiens à al-Qaida» est plus percutant que de dire «j'ai rencontré un groupe terroriste à la frontière du Tadjikistan». Le terme al-Qaida est devenu en Occident synonyme de violence ou de terrorisme, il est complètement dénaturé de son sens premier. Même le forcené de Toulouse qui a retenu en otage quatre employés dans une banque en juin dernier s'est revendiqué d'al-Qaida."
- Grand entretien avec Richard Prasquier (Président du CRIF) - "lorsque je vois le dossier publié par le Nouvel Observateur jeudi 5 juillet, c’est un dossier qui tranche fondamentalement avec tout ce que nous avions l’habitude de voir. C’est un dossier qui pose les problèmes et je rends hommage aux journalistes qui ont effectué ce dossier" ; "Lorsque Mme Benbassa dit que « d’un côte il y a des musulmans qui n’aiment pas les juifs et que je l’autre côté il y a des juifs qui n’aiment pas les musulmans », elle est tout à fait à côté de la plaque. Il n’y a jamais eu d’attaque contre les mosquées et de violence (par des juifs) : cela se passe toujours dans un seul sens".
http://jssnews.com/2012/07/08/grand-entretien-avec-richard-prasquier-ne-pas-mettre-dans-le-meme-sac-islamophobie-et-antisemitisme/
"- JSSNews : Richard Prasquier, vous avez rencontré, jeudi 5 juillet en fin d’après-midi, le Président français François Hollande. Que vous-êtes vous dit pendant ce rendez-vous ?
- Richard Prasquier (RP) : Je lui ai fait part de notre inquiétude – le terme est faible – à la suite de l’explosion des actes antisémites qui sont survenus après l’attentat de Toulouse (ndlr : Mohamed Merah), et dont les derniers événements sont ceux de Villeurbanne et du train Toulouse-Lyon. Comme cet événement est survenu le jour de notre entretien, nous en avons évidemment beaucoup parlé. A cet effet, François Hollande avait fait venir tout exprès le ministre de l’Intérieur Manuel Valls.
- JSSNews : Est-ce que des promesses ont été faites ou des actions mises en œuvre par François Hollande et son gouvernement ?
- RP : Vous comprenez bien qu’avez des événements aussi complexes et qui durent depuis aussi longtemps, ce n’est pas un claquement de doigts qui va changer la situation. Ce qui va changer les choses, c’est une sérieuse prise de conscience de ce qui est en train de se dérouler sous nos yeux et un refus de complaisance de ces actes, de ses auteurs et de l’idéologie qui les anime. Là, je crois que nous pouvons avoir tout à fait confiance dans cette prise de conscience de la part du Président de la République et du ministre de l’Intérieur.
- JSSNews : Quelles sont les pistes à explorer ?
- RP : Il y a de nombreuses pistes à exploiter et l’éducation est un point central de ces priorités. C’est un travail de longue haleine. Ceci dit, le versant répression n’est pas suffisant mais est indispensable, le versant éducation est à long terme, le versant prise de conscience – par la communauté nationale toute entière, je parle aussi bien des médias – est extrêmement important.
- JSSNews : A quel point estimez-vous les médias coupables de cet antisémitisme ?
- RP : Je n’ai pas utilisé le mot coupable, je dis simplement que, lorsque je vois le dossier publié par le Nouvel Observateur jeudi 5 juillet, c’est un dossier qui tranche fondamentalement avec tout ce que nous avions l’habitude de voir. C’est un dossier qui pose les problèmes et je rends hommage aux journalistes qui ont effectué ce dossier. Pour la première fois les choses ont été dites. Le témoignage du professeur d’histoire-géographie dans une zone sensible, Yannis Roder, est tout à fait éclairant. Cela fait des années qu’il tire la sonnette d’alarme et j’espère que cette fois-ci, ce sera entendu !
- JSSNews : Pensez-vous que les médias, à travers de mauvaises informations, des insinuations, une certaine désinformation parfois, sont également coupables de ce qui se passe en France ? Pensez-vous qu’ils peuvent comprendre et accepter leur part d’erreur ?
- RP : Je préfère ne pas utiliser le terme de coupable ou non-coupable qui ne fait qu’aggraver, par rejet, la situation. J’aimerais me concentrer sur la « prise de conscience ». Si cette dernière ne se fait pas, les conséquences sur la pérennité de la vie juive en France seront très importantes.
- JSSNews : Vous aviez déclaré à JSSNews la semaine dernière, et vous avez été repris par Jonathan Hayoun de l’UEJF, vouloir faire de l’antisémitisme une « grande cause nationale ». Avez-vous fait cette proposition au Président François Hollande ?
- RP : Oui, nous en avons parlé. Il y a déjà un comité interministériel sur l’antisémitisme qui a été mis en place il y a quelques années mais qui n’a jamais effectivement fonctionné. Il pourrait aujourd’hui être le lieu d’élaboration des projets qui permettront de mieux s’organiser contre le développement de ce fléau dont nous savons qu’il est devenu de plus en plus important chez certains jeunes appartenant à la communauté arabo-musulmane en France. C’est un travail qui doit être fait dans le cadre des pouvoirs publics et il est hors de question que les faits survenus récemment soient considérés comme des conflits inter-communautaires comme certains voudraient nous le faire croire.
Lorsque Mme Benbassa dit [sur France Inter] que « d’un côte il y a des musulmans qui n’aiment pas les juifs et que je l’autre côté il y a des juifs qui n’aiment pas les musulmans », elle est tout à fait à côté de la plaque. Il n’y a jamais eu d’attaque contre les mosquées et de violence (ndlr : par des juifs) : cela se passe toujours dans un seul sens. Il faut en être conscient ! Je suis là à constamment répéter qu’il ne faut pas installer d’islamophobie mais je ne mets sûrement pas l’islamophobie et l’antisémitisme dans le même camp : ce sont deux choses complètement différentes. C’est là justement tout le problème, traiter les choses pour ce qu’elles sont et de non pas les idéologiser. [...]"
- Bashar Assad juin 2012, Michel Kichka (Blog)
http://fr.kichka.com/2012/06/10/bashar-assad-juin-2012/
"Quand les massacres deviennent routine, les dessins eux doivent se renouveler."
France
- Mohamed Merah : "Moi la mort, je l'aime comme vous vous aimez la vie" (AFP)
http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20120708.OBS6523/mohamed-merah-moi-la-mort-je-l-aime-comme-vous-vous-aimez-la-vie.html
"Ce sont des échanges qui éclairent sur la personnalité de Mohamed Merah. TF1 a diffusé ce dimanche 8 juillet, pour la première fois, des extraits audio des discussions entre le "tueur au scooter" et les policiers pendant les 32 heures du siège de son appartement toulousain qui s'est achevé par la mort du tueur au scooter le 22 mars. Dans ces extraits diffusés dans l'émission "Sept à Huit", Merah affirme être prêt à poursuivre sa folie meurtrière, assure être en liens avec Al-Qaïda et le grand banditisme, et explique comment il a trompé la vigilance de la DCRI qui le surveillait. [...]
Le 21 mars vers 3 heures du matin, les policiers du Raid tentent de prendre d'assaut l'appartement du "tueur au scooter". Ils sont accueillis par un feu nourri. Mais le contact s'établit ensuite et les discussions avec Merah montrent toute sa détermination. "Je suis quelqu'un de déterminé, je n'ai pas fait ça pour me laisser faire attraper, t'as vu. Là, on négocie tu vois, on est en train de négocier, après, en dehors des négociations, n'oublie pas que j'ai les armes à la main, je sais ce qui va se passer, je sais comment vous opérez pour intervenir", dit-il au négociateur, selon cet enregistrement diffusé dans l'émission "Sept à Huit". "Je sais que vous risquez de m'abattre, c'est un risque que je prends. Donc voilà, sachez qu'en face de vous, vous avez un homme qui n'a pas peur de la mort. Moi la mort, je l'aime comme vous vous aimez la vie", ajoute-t-il. [...]"
- Valls : "Il y a un antisémitisme qui est né dans nos banlieues" (AFP) - "On n'hésite plus aujourd'hui à insulter, à frapper un citoyen parce qu'il est juif au nom même de son appartenance".
http://www.france24.com/fr/20120708-valls-il-y-a-antisemitisme-est-nos-banlieues
"Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls s'est inquiété dimanche sur Radio J d'un "antisémitisme nouveau" depuis plusieurs années, "né dans nos quartiers, dans nos banlieues". "Il y a un antisémitisme qui est né dans nos quartiers, dans nos banlieues", a dit Manuel Valls. "Il y a dans nos quartiers des jeunes ou des moins jeunes qui, au nom d'une identité qui se sentirait attaquée, décident de la manière la plus imbécile, la plus dangereuse pour nos valeurs, de s'attaquer aux juifs. Ils considèrent le juif comme l'ennemi", a ajouté le ministre.
A la question de savoir si le constat selon lequel cet antisémitisme serait le fait notamment de jeunes se revendiquant de l'islam, Manuel Valls a répondu : "Je le crains". Mais il a aussi appelé à "être prudent dans les termes" : "Il ne s'agit pas de stigmatiser d'autres Français", de jeter "l'opprobre (sur) nos concitoyens notamment de confession musulmane".
Manuel Valls affirme "que depuis plusieurs années", "on a un antisémitisme nouveau de la part notamment de jeunes", avec "une parole qui se libère". Cet antisémitisme ne serait plus lié "à des événements qui se dérouleraient ailleurs dans le monde, à travers le conflit israélo-palestinien". "On n'hésite plus aujourd'hui à insulter, à frapper un citoyen parce qu'il est juif au nom même de son appartenance", a-t-il dit.
Manuel Valls a recommandé la prudence pour imputer à un "effet Merah" ce qu'il a décrit comme "une recrudescence d'actes antisémites intolérables". "Mais sans doute malheureusement, chez les esprits faibles et qui revendiquent cette haine, ce qui s'est passé a pu peut-être libérer une parole", a-t-il ajouté."
- Où va l’Egypte, Michel Kichka (Blog)
http://fr.kichka.com/2012/06/25/ou-va-legypte/
"Premières élections démocratiques en Egypte. Peut-être. Mais les frères musulmans se trouvent face à un défi incroyable. Si ils se montrent capables de faire transiter ce qu’on appelle déjà l’ancien régime vers quelque chose qui va ressembler à une premiere démocratie arabe, alors tous les espoirs seront de nouveau possible."
France
- Agression/Juif : l’antisémitisme retenu (AFP)
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/07/07/97001-20120707FILWWW00373-agressionjuif-lantisemitisme-retenu.php
"Les deux agresseurs présumés d'un adolescent juif dans un train mercredi ont été mis en examen aujourd'hui pour violences en réunion et en raison de l'appartenance de la victime à une religion. Le caractère antisémite de l'agression est donc retenu par le juge d'instruction. Les deux agresseurs présumés, âgés de 18 ans et d'origine maghrébine, ont été placés sous contrôle judiciaire. Ils nient de leur côté toute connotation religieuse dans l'altercation avec l'adolescent, âgé de 17 ans, et contestent avoir tenu des propos antisémites."
- Homs Sweet Homs (Le Canard Enchaîné, 5 juillet 2012)
http://nosnondits.wordpress.com/2012/07/05/homs-sweet-homs/
France
- Témoignage : «Durant la bagarre entre Toulouse et Lyon, seul l’un des deux a fait référence à mon judaïsme» (Le Progrès)
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/07/05/lyon
"L’adolescent qui vient de sortir de l’hôpital, est actuellement à l'Hôtel de police de Lyon où il est entendu. Il reste encore très choqué par l’agression dont il vient d’être victime. «J’avais pris le train de Toulouse hier en début d’après-midi. Tout allait bien jusqu’à la correspondance à Montpellier. Dans la voiture il y avait deux jeunes âgés d’une vingtaine d’années. Ils parlaient fort et je sentais une tension».
Ce jeune de 17 ans, scolarisé à l’école Ozar Hatorah de Toulouse rentrait à Lyon où il habite. «Arrivé près de Valence, peu avant 19 heures, j’appelle mon frère pour lui dire que je serai bientôt là. Mon frère a un prénom juif et, dans le wagon, je vois que mon appel fait réagir les deux jeunes. L’un d’entre eux me dit alors de fermer ma gueule et m’insulte. Je demande alors pourquoi. Cela ne semble pas lui avoir plu puisqu’il me demande de le suivre sur la plateforme. Je m’exécute pensant que nous allons avoir une simple explication. C’est alors qu’il commence à me frapper. Il est ensuite rejoint par son ami. Durant la bagarre, seul l’un des deux a fait référence à mon judaïsme». Le jeune homme affirme également qu'il ne portait pas d'Etoile de David comme cela a été dit un peu partout, mais simplement une médaille non distinctive.
A Valence, les agents de la police ferroviaire montent dans le train et contrôlent l’identité des deux agresseurs. « Ils m’ont demandé si je voulais porter plainte. J’étais tellement choqué que je n’ai pas su répondre ». Le jeune homme a finalement porté plainte, une fois arrivé à Lyon, au commissariat."
- Hassen Chalghoumi. L’imam des lumières, Annette Lévy-Willard (Libération) - "c’est Israël et les juifs qui déchaînent la hargne des groupuscules islamistes".
http://www.liberation.fr/politiques/2012/07/05/hassen-chalghoumi-l-imam-des-lumieres_831420
"[...] Elevé dans une Tunisie laïque et tolérante, au sein d’une famille religieuse mais libérale, il est le seul des quatre enfants d’un père vétérinaire à avoir choisi d’aller dans une école coranique, à la recherche d’un «islam magique». Recherche qui le conduira, après le bac, à un long périple dans les pays musulmans : de la Syrie à l’Algérie et la Turquie, il a voyagé en Iran, en Inde, au Pakistan… Un parcours qui aurait pu fabriquer un extrémiste fondamentaliste. Mais Hassen Chalghoumi a été séduit par l’Inde et son «islam avec l’esprit de Gandhi» et par la Turquie, «où les minorités sont protégées» et «l’Etat séparé de la religion». Il revendique un attachement à l’islam mystique, au soufisme. [...]
C’est en 2006 que les ennuis ont commencé pour le jeune cheikh, quand il participe à la cérémonie anniversaire de la déportation. Il rentre chez lui avec sa femme et trouve la maison saccagée. Convaincu de la justesse de son combat pour un «islam des lumières, pas un islam de l’obscurité», ce cheikh à l’allure sportive et occidentale, sans barbe, plutôt cadre sup que chef spirituel, ne se décourage pas. Au contraire. Il invite dans sa mosquée toute neuve des «frères ennemis» - et ils viennent – des ambassades du Soudan, d’Algérie, de Palestine, mais aussi des Etats-Unis, ainsi que l’évêque de Saint-Denis et le grand rabbin de Paris.
Il agace encore les islamistes quand il soutient la loi contre la burqa. «Ce n’est pas une obligation religieuse», explique-t-il. Dans son livre, Pour l’islam de France, il défend non seulement le dialogue avec les juifs, mais se dit féministe, dénonce la situation des femmes «victimes de la barbarie» au nom de l’islam, réclame l’interdiction de la polygamie… On est surpris de découvrir que sa femme, française d’origine tunisienne, épousée un an après son arrivée en Seine-Saint-Denis, est voilée. Elle porte le foulard traditionnel, pas la burqa. «Elle était voilée quand je l’ai rencontrée, dit Chalghoumi, mais ma mère, mes sœurs, ma fille de 14 ans, ne sont pas voilées. C’est leur choix. Dans l’islam, l’apparence ne compte pas pour Dieu.» Le couple a cinq enfants qui vont dans une école catholique, «pour avoir une meilleure éducation que dans les collèges publics du 93».
Mais c’est Israël et les juifs qui déchaînent la hargne des groupuscules islamistes. Premier voyage en 2009 de l’imam avec le père Mathieu et le rabbin Sarfati. Les religieux vont à Sdérot, en Israël, et à Gaza, passant d’un côté à l’autre du conflit israélo-arabe. Le cheikh devient alors «l’imam des juifs». Les islamistes assiègent sa mosquée, manifestant à l’appel du collectif Cheikh Yassine (du nom d’un chef du Hamas assassiné). En 2010, un commando tente même de prendre le pouvoir et de virer «l’agent des sionistes».
Aujourd’hui, des affichettes collées sur le mur proclament : «Ce n’est pas une mosquée, c’est une synagogue.» Au mois de juin, l’Internet intégriste s’est enflammé. Une pétition circule, exigeant la démission de l’imam. Et les menaces de mort déferlent parce que Chalghoumi vient de retourner en Israël, invité par l’ambassade de France pour un colloque sur «religion et laïcité». Ses dénonciateurs oublient de dire que l’imam de la mosquée Al-Aqsa et le grand mufti de Jérusalem l’ont accueilli en grande pompe, et que le ministre palestinien des Affaires religieuses l’a reçu à Ramallah, où il est «venu apporter au peuple palestinien le soutien de la communauté musulmane de Drancy et de la Conférence des imams de France» (qu’il a créée). Emu, Hassen Chalghoumi nous dit que les Palestiniens ont compris sa lutte contre l’extrémisme : «J’essaie de faire un pont entre les peuples.»
Ses ouailles – qui autofinancent leur mosquée et l’imam – ne le suivent pas tout à fait. Le maire de Drancy, Jean-Christophe Lagarde, constate que si les 4 000 fidèles se sentent proches de cet islam modéré, certains trouvent que leur imam «en fait trop» : «Ils viennent pour prier dans une mosquée, ils ne veulent pas d’une telle politisation et, surtout, de médiatisation. Hassen, lui, ne résiste pas aux caméras.» Le cheikh est-il conscient de cet isolement ? Désormais Français, il a voté et pense que la gauche va le soutenir, «parce qu’il défend ses valeurs». Déterminé mais inquiet pour lui et sa famille, malgré la garde policière : «Je suis un homme de foi français, un citoyen qui veut changer les choses, et on me traite de collabo, de traître.»
Seul ? Don Quichotte de l’islam ? Malgré la violence des sites radicaux, la voix de Hassen Chalghoumi se fait entendre, il a même été interviewé par Al-Arabiya, la chaîne saoudienne où il a pu exposer aux sept millions de téléspectateurs arabes sa conception optimiste du vivre ensemble en France."
Gaza & Hamas
- Alerte sur Sdérot, pas de victimes (Guysen)
http://www.guysen.com/news_-Alerte-sur-Sderot-pas-de-victimes-_356002.html
"Une roquette lancée depuis la Bande de Gaza et qui n'a pas encore été localisée est tombée sur Sdérot. Il n'y a pas de victimes."
Judée-Samarie
- Crise financière sans précédent de l'Autorité palestinienne, Laurent Zecchini (Le Monde) - "Les dirigeants de l'Autorité palestinienne dramatisent l'enjeu, afin de mettre les Etats arabes devant leurs responsabilités".
http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2012/07/06/crise-financiere-sans-precedent-de-l-autorite-palestinienne_1730235_3218.html?xtmc=crise_palestinienne&xtcr=1
"Si l'Autorité palestinienne est entrée dans une zone critique, c'est moins sur le plan politique que financier, encore que la crise budgétaire qu'elle traverse pourrait vite avoir des répercussions politiques. Si elle ne peut plus payer ses 154 000 fonctionnaires, ce qui risque d'être le cas en juillet, nul doute que le vent de contestation qui souffle en Cisjordanie pour dénoncer l'inanité de tout processus de paix avec Israël va se renforcer.
Le constat des responsables palestiniens est confirmé par les experts du Fonds monétaire international (FMI) : l'Autorité palestinienne connaît une crise sans précédent depuis sa création, en 1994. La raison ? La baisse drastique de l'aide des pays donateurs. Confronté à cette situation d'urgence, le premier ministre palestinien, Salam Fayyad, a engagé des discussions exploratoires avec le gouverneur de la Banque centrale israélienne, Stanley Fischer.
Les deux hommes se connaissent bien : ils ont travaillé ensemble à la Banque mondiale et au FMI, à Washington, à la fin des années 1990 et jusqu'en 2001. En avril, ils ont demandé aux équipes du Fonds monétaire de travailler sur des "pistes". De là à affirmer, comme le quotidien israélien Haaretz, que l'Etat juif a essayé d'emprunter "1 milliard de dollars au FMI pour éviter l'effondrement de l'Autorité palestinienne", il y a une sérieuse marge.
Dans un entretien au Monde, mercredi 4 juillet, Oussama Kanaan, chef de mission au FMI pour les territoires palestiniens, corrige cette affirmation : "Salam Fayyad et Stanley Fischer ont demandé aux experts du Fonds d'envisager les options possibles pour aider l'Autorité palestinienne, y compris via Israël. Ce travail se poursuit, aucune solution concrète n'a encore été arrêtée et aucun montant officialisé." En tout état de cause, celui de 1 milliard de dollars paraît très exagéré. M. Kanaan rappelle que le FMI ne peut prêter de l'argent à un Etat membre - ce qui n'est pas le cas de la Palestine - que dans certaines circonstances, comme un fort déséquilibre de la balance des paiements. Mais il est formel : "dans ce cas une telle aide ne peut s'envisager que dans le cadre d'un programme d'ajustement structurel". Israël n'étant pas dans cette situation, le scénario selon lequel il pourrait contracter un tel prêt pour le compte des Palestiniens est irréaliste.
Il reste que les dirigeants israéliens ont intérêt à voir l'Autorité palestinienne surmonter ses difficultés : l'arrêt du versement des salaires, notamment ceux des forces de l'ordre, aurait des conséquences négatives sur la situation sécuritaire en Cisjordanie. [...] L'Autorité palestinienne semble aujourd'hui dans une impasse : elle ne peut plus emprunter auprès des banques ou du secteur privé, en raison de ses arriérés de paiement.
Alors qu'elle espérait obtenir un montant total de donations étrangères de 1 milliard de dollars (799 millions d'euros) pour 2012, elle n'a obtenu des confirmations que pour 480 millions de dollars. Les principaux fautifs sont les pays arabes, dont le total des contributions est de 115 millions de dollars, contre 290 millions de dollars en 2011, et 462 millions de dollars en 2009. A cela s'ajoute la réticence persistante des Etats-Unis, qui n'ont pas versé une aide envisagée de 200 millions de dollars.
Les dirigeants de l'Autorité palestinienne dramatisent l'enjeu, afin de mettre les Etats arabes devant leurs responsabilités : si les fonctionnaires ne sont plus payés, on risque d'assister à une éruption de violence en Cisjordanie. D'ores et déjà Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, fait face à une contestation inusitée de la rue : plusieurs manifestations se sont déroulées ces derniers jours à Ramallah pour exiger l'arrêt des contacts politiques avec les Israéliens."
"Processus de paix"
- 'Polonium found on Arafat's clothing was planted', Yaakov Lappin (JP) - "the conclusion is that the polonium is much more fresh".
http://www.jpost.com/MiddleEast/Article.aspx?id=276447
"The high levels of the radioactive poison polonium reportedly found on the belongings of the late Palestinian leader Yasser Arafat indicate that the toxin was planted on them long after his death, a senior counterterrorism analyst told The Jerusalem Post Thursday. Dr. Ely Karmon, of the Interdisciplinary Center, Herzliya’s Institute for Counterterrorism, is a specialist in chemical, biological, radiological and nuclear terrorism.
Responding to an Al Jazeera report published Wednesday – which said that researchers at the Institut de Radiophysique in Lausanne, Switzerland, discovered abnormally high levels of polonium on Arafat’s belongings – Karmon said that the half-life of the substance would make it impossible for polonium to have been discovered at such high levels if it had been used to kill Arafat eight years ago.
According to the Al Jazeera report, polonium has a half-life of 138 days, “meaning that half of the substance decays roughly every four-and-a-half months.” And yet, eight years after Arafat’s death, the Swiss scientists reported finding polonium levels of 54 millibecquerels (mBq) and 180 millibecquerels on his belonging, considered to be high levels. “If it had been used for poisoning, minimal levels should be seen now. Yet much higher levels were found. Someone planted the polonium much later,” Karmon said. “Because of the half-life of the substance, the conclusion is that the polonium is much more fresh,” he added.
Karmon added that the Al Jazeera report raised additional unanswered questions. Referring to the fact that Arafat’s widow, Suha, provided the researchers with Arafat’s belongings, Karmon asked: “If Suha Arafat safeguarded these contaminated materials, why, after seven years, was she not poisoned too? She touched these things and Arafat in hospital.” [...] “Did Al Jazeera check the home of Suha Arafat in Paris and Malta where she kept the items for traces of polonium, as the British did in their investigation?” Karmon asked.
Karmon also cited an article published Wednesday by the French daily Le Figaro which, he said, reported that the symptoms found in Arafat’s French medical file do not fit a polonium poisoning. After Arafat’s death, “why did neither Suha nor the PA agree to release the French hospital’s medical file?” he asked."
- With toxic Arafat revelations, the PA is looking to embarrass Israel, Elhanan Miller (Times of Israel) - “The PA has been trying to create a popular mobilization against Israel.”
http://www.timesofisrael.com/pa-seeks-to-embarrass-israel-with-toxic-arafat-revelations/
"The Al-Jazeera documentary claiming this week that Yasser Arafat was poisoned by a radioactive substance was helpfully timed for the Palestinian Authority (PA). Gradually losing legitimacy on the street and with limited political prospects, the PA is already moving to use the allegations to embarrass Israel and isolate it internationally. But Palestinian and Israeli experts doubt that the revived controversy will have any long-lasting impact.
A writer in the PA mouthpiece Al-Ayyam led the way in blaming Israel on Thursday: “Only time, and a serious investigation of the crime, will reveal the complete circumstances of this crime, which can be added to the list of heinous crimes perpetrated by Israel against the Palestinian people,” Talal Okal wrote in an editorial, also blaming Western and Arab leaders for colluding in the crime.
[...] for most Palestinians, no testing is needed to prove Israel’s involvement in Arafat’s demise. “Israeli officials clearly stated that Arafat was an obstacle to peace that must be rid of,” Fatah spokesman Ahmad Assaf told The Times of Israel Thursday. “How does one get rid of a person except by killing him?” Assaf said his movement would wait until the investigation is complete before issuing an official statement, but added that the fact that Israel besieged Araft’s compound in Ramallah for three years, “directing tank cannons at his window,” left little room for doubt about its intentions.
“Who would we blame besides Israel?” asked Sameeh Hamoudeh, a political scientist at Ramallah’s Bir Zeit University. “It is clear that Arafat was killed. Medical science has no explanation for his cause of death.” Hamoudeh told The Times of Israel that although Al-Jazeera did not time its report to serve the PA, Israel’s image will certainly be tarnished as a result.
In the climate of the Arab Spring, the Palestinian Authority has been under increasing pressure to deliver a political breakthrough. Previous attempts to achieve state status at the UN have gone nowhere, and that seems unlikely to change despite talk of another attempt to push for international endorsement of statehood at the General Assembly this fall. A rare series of anti-PA demonstrations took place in Ramallah this week, condemning Abbas’ leadership for its security coordination with Israel and its helplessness on releasing prisoners held by Israel. The prisoner issue was, and remains, the top concern of many ordinary Palestinians. Hamas is also vocal, organizing regular demonstrations in the West Bank against the PA’s political detention and harassment of its members.
The most obvious solution to this predicament would be venting the pent-up anger towards Israel. “The PA has been trying to create a popular mobilization against Israel,” Hillel Frisch, an expert on Palestinian politics at the Begin Sadat Center for Strategic Studies at Bar Ilan University, told The Times of Israel. “But Palestinians aren’t mobilized, they’re divided.” Frisch said that Fatah’s youth organization (Shabiba) is a shadow of what it was in the 1980s. Fatah’s battalion commanders, men in their thirties, have mostly been arrested and imprisoned by Israel. With Abbas still committed to non-violent opposition to Israel, the Palestinian leadership has very few cards up its sleeve.
But experts say “the Arafat file” is too old to stir a new intifada. “This will not have any significant effect because the story is already eight years old and the United States will prevent any serious investigation into the matter,” said Hamoudeh of Bir Zeit University. “This is the only weapon at their disposal,” said Frisch. “But they’re not going to get anywhere with it. The dead don’t mobilize the living”."
- Rewriting the Arafat story, Alex Fishman (Ynet) - "There is no doubt that it’s much more dignified to arrange a heroic “martyr’s death” for the father of the nation, preferably at the hands of Mossad or Shin Bet".
http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4251378,00.html
"Fatah’s old guard, and especially Arafat’s family, has a great task: Arranging a dignified death for the father of the Palestinian nation. The fact that Arafat left the stage while afflicted with a disease that one does not speak about openly, far away from his people, at a French hospital, is incommensurate with the national ethos. Moreover, immediately after his death, Arafat’s wife, Suha, openly accused the PLO’s top brass of killing him. On top of it, she extorted huge sums of hush money from them.
There is no doubt that it’s much more dignified to arrange a heroic “martyr’s death” for the father of the nation, preferably at the hands of Mossad or Shin Bet. Indeed, every year we see yet another theory about an Israeli conspiracy against Arafat. This time we are being told about a lethal, radioactive toxin implanted by Mossad agents on the supreme leader’s famous fur hat and other items around him.
The truth about Arafat’s death is still found in the medical file possessed by his widow, Suha, who refuses to publish it to this very day. The French hospital is also refraining from publishing the file, as result of the widow’s objection. Suha Arafat knows the truth, and is apparently not quite comfortable with this truth.
The Palestinian Authority, PLO and Fatah announced over the years the formation of at least three commissions of inquiry tasked with looking into the circumstances of Arafat’s death. However, none of these committees ever published any conclusions and did not report receiving the leader’s medical file from his widow. On the other hand, Ahmad Jibril, the head of the Popular Front and an Arafat rival, said that top PLO officials told him that Arafat died of AIDS. In Israel as well, intelligence officials estimated that he died of AIDS or of another infection that prompted his bodily systems to collapse.
Israeli officials in fact liked the version whereby Israel’s long intelligence arms are omnipotent and killed Arafat, and thereby made do with winks and smiles, as if they really knew what was going on in the Palestinian leader’s body. It should also be noted that on the eve of his death, Arafat was perceived by Israel’s defense establishment as a first-rate public relations asset: He was unstable, confused, isolated in his headquarters and not functioning well. At that point, Israel had no interest in assassinating him.
And now, al-Jazeera comes out with an investigative report about a radioactive substance that killed Arafat. The report does not explain where exactly all these articles of clothing, tainted with this radioactive substance, were being held for the past seven years, ever since they were taken from their owner. Perhaps once the investigative reporters manage to pinpoint the journey these tainted items made until they reached the lab in Switzerland, this radioactive mystery will be resolved."
- The unoccupied territories (Elder of Ziyon) - "Levi’s report concludes that Israel has the right to settle Jews in Judea and Samaria, and that it is incorrect to say that building settlements is illegal according to international law".
http://elderofziyon.blogspot.fr/2012/07/unoccupied-territories.html
"From Israel Hayom:
"The biggest news story of the week, perhaps of the year, slipped under the media radar yesterday: Edna Adato of Israel Hayom revealed the main points of a report drafted by the Committee to Examine the State of Construction in Judea and Samaria, headed by retired Supreme Court Justice Edmond Levi. The report touches upon the heart of the Israeli-Palestinian conflict and makes sense of the matter. One can say that the government received permission to toss attorney Talia Sasson's report on settlement outposts into the dustbin of history.
Levi’s report concludes that Israel has the right to settle Jews in Judea and Samaria, and that it is incorrect to say that building settlements is illegal according to international law: "According to international law Israelis have the legal right to settle in all of Judea and Samaria, and at the very least in territories under Israeli control based on agreements with the Palestinian Authority; and therefore the creation of settlements in and of itself is not an illegal act." The committee also concludes: "From the viewpoint of international law, statutes regarding the 'occupation' are inapplicable due to the special legal and historical circumstances regarding the decades-long Israeli presence in Judea and Samaria."
Since the 1970s, senior jurists in Israel and abroad have argued that Israel is completely within its rights to settle its citizens in Judea and Samaria. Among them are the President of the International Court of Justice in The Hague, Judge Stephen Schwebel; Prof. Elihu Lauterpacht of Cambridge University; and Prof. Eugene Rostow, the former Deacon at Yale's school of law, all of whom, along with others, have voiced their clear opinions in regards to Israel's just claim over Judea and Samaria within the historical and legal circumstances.
Since the Six-Day War, however, Israel has refrained from declaring the permanent status of the territories it won, excluding Jerusalem and the Golan Heights. ...If the territories aren't occupied, the Left has argued over the years, they must be annexed, including the populations there. But the reality isn't a polar one, it is complex. The current report recognizes an intermediate reality: At hand is a disputed territory; two entities hold it; none of the sides is considered an "occupier." There is disagreement regarding ownership, which needs to be clarified through different means, but there is no definition of "occupation" in the international legal sense of the word.
A perception of Belligerent Occupation occurs when one country conquers the territories of another country. In our case, the last sovereign power was the British Mandate, which received its legitimacy from the League of Nations to create a national home for the Jews in the Land of Israel. The Jordanian occupation was never recognized (aside from Britain and Pakistan), and Israel never conquered "Jordanian territory." Moreover, Jordan renounced its sovereignty over these territories toward the late 1980s."
Read the whole thing. I saw this first reported in the Jewish Press a couple of weeks ago, but I still have not seen the actual report, which I would love to analyze. (It is said to be 90 pages long and in Hebrew; hopefully it is being translated.)"
Jordanie
- Will anyone call this Jordanian action "apartheid"? (Elder of Ziyon) - "I can't figure out why this issue has been essentially ignored. A real mystery".
http://elderofziyon.blogspot.fr/2012/07/will-anyone-call-this-jordanian-action.html
"I noted back in April that Jordan was segregating Palestinian Syrians from other Syrians fleeing across the border, not allowing most of them to enter the country. HRW just caught up:
"The Jordanian authorities have forcibly returned some newly arriving Palestinians from Syria and threatened others with deportation, Human Rights Watch said today.Since April 2012, the authorities have also arbitrarily detained Palestinians fleeing Syria in a refugee holding center without any options for release other than return to Syria. The Jordanian authorities should treat all Palestinians from Syria seeking refuge in Jordan the same as Syrian asylum seekers, who are allowed to remain and can move freely in Jordan after passing security screening and finding a sponsor.
“To its credit, Jordan has allowed tens of thousands of Syrians to cross its borders irregularly and move freely in Jordan, but it treats Palestinians fleeing the same way differently,” said Gerry Simpson, senior refugee researcher and advocate for Human Rights Watch. “All those fleeing Syria – Syrians and Palestinians alike – have a right to seek asylum in Jordan, move freely in Jordan, and shouldn’t be forced back into a war zone.” Since April, Jordanian authorities have automatically detained all Palestinians who enter Jordan without passing through an official border post, without the possibility of release. No such policy exists for thousands of Syrians entering the same way.
The Palestinians are arriving under the same circumstances as the fleeing Syrians and should not face threats of forced return, Human Rights Watch said. None should be detained unless for compelling and legally prescribed reasons and for a limited period of time, with judicial review. Like Syrian refugees, Palestinians from Syria interviewed by Human Rights Watch in Jordan said they had fled the country due to violence and general insecurity in their home areas."
Isn't this "apartheid"? Where are the protests, the boycotts, the empty-headed entertainers who are so keen on showing how well they understand human rights? Where are the "pro-Palestinian" groups? Where are the petitions and Twitter hashtags and Facebook groups? I mean, these are Palestinian Arabs being discriminated against, which usually elicits outrage because they are so victimized. I can't figure out why this issue has been essentially ignored. A real mystery."
Syrie
- Syrie : 90 morts hier [jeudi] selon une ONG (AFP)
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/07/06/97001-20120706FILWWW00357-syrie-90-morts-hier-selon-une-ong.php
"Des affrontements entre soldats et rebelles syriens ont éclaté aujourd'hui dans un quartier de Damas, au lendemain d'une journée sanglante durant laquelle les violences ont fait 90 morts à travers la Syrie, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). [...] Hier, le pilonnage des fiefs rebelles et les combats entre soldats et rebelles ont fait au moins 90 morts, dont 63 civils et 24 soldats, selon cette organisation basée au Royaume-Uni qui s'appuie sur un réseau de militants et de témoins. Il est impossible d'obtenir un bilan de source indépendante depuis que l'ONU a cessé fin 2011 de comptabiliser les victimes du conflit syrien."
Monde arabe
- Législatives en Libye : les islamistes favoris (AFP)
http://www.lepoint.fr/monde/legislatives-en-libye-les-islamistes-favoris-06-07-2012-1481575_24.php
"Les élections législatives de samedi en Libye pourraient porter les islamistes au pouvoir, comme cela a été le cas en Tunisie et en Égypte après le Printemps arabe, même si les libéraux conduits par les architectes de la révolution libyenne se disent confiants en leur victoire. Avec plus de 100 partis en lice pour ce scrutin qualifié d'"historique" en Libye, après quatre décennies de dictatures, les pronostics sont difficiles. Mais trois partis sortent clairement du lot : les islamistes du Parti de la justice et de la construction (PJC), issu des Frères musulmans, ceux d'Al-Watan, dirigés par l'ex-chef militaire controversé de Tripoli Abdelhakim Belhaj, et les libéraux réunis dans une coalition lancée par l'ex-Premier ministre du Conseil national de transition (CNT, au pouvoir) Mahmoud Jibril. [...]"
Iran
- Larijani : « Le temps est venu pour Israël et les Etats-Unis de disparaitre du monde » (CRIF)
http://www.crif.org/fr/revuedepresse/larijani-%C2%AB-le-temps-est-venu-pour-isra%C3%ABl-et-les-etats-unis-de-disparaitre-du-monde-%C2%BB/31944
"Le président du Parlement iranien, Ali Larijani, a déclaré jeudi 5 juillet 2012, sur Press TV que les États-Unis et le «régime sioniste» sont les principales sources de tyrannie et de tristesse des temps modernes. « Le temps est venu de la disparition d'Israël et de l'Occident de la face de l'univers », a-t-il ajouté."
- Top Iran official: Time has come for Israel, U.S. to vanish from world (Haaretz)
http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/top-iran-official-time-has-come-for-israel-u-s-to-vanish-from-world.premium-1.449072
"The time has come for the disappearance of Israel and the West from the face of the universe, a senior Iranian official was quoted as saying on Thursday, saying that they were the "prime sources of tyranny and gloom." [...]"