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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 17:55

France

- Clash entre Patrick Cohen et Frédéric Taddeï sur France 5 (Vidéo 6mn22) - à propos des invitations répétées de Tariq Ramadan, Dieudonné, Soral, Nabe chez Taddeï.
http://www.dailymotion.com/video/xy5ujk_clash-entre-patrick-cohen-et-frederic-taddei-sur-france-5_tv#.UULhIVeKU_4

- Cet apprenti-politique à qui Véronique Genest offre une visibilité ("Le Lab" d'Europe 1) - "Sous les lumières : Véronique Genest. C'est à l'interprète de Julie Lescaut que l'on tend les micros et pose les questions. Mais avec elle, pour l'élection législative partielle des Français de l'étranger, un franco-israélien : Jonathan-Simon Sellem. C'est cet homme qui sera député si toutefois il est élu".
http://lelab.europe1.fr/t/cet-apprenti-politique-a-qui-veronique-genest-offre-une-visibilite-8007


Israël

- Cabinet de civils, Nahum Barnea (Yediot Aharonot)
http://www.ambafrance-il.org/IMG/pdf/130315.pdf
   "En pleine campagne électorale, le président du Foyer juif, Naftali Bennet, a été interrogé par des journalistes sur la question d’une attaque israélienne contre les installations nucléaires iraniennes, pour savoir s’il était « pour ou contre ». Bennet a pris son temps avant de répondre d’une voix douce : « à vrai dire, je n’en ai aucune idée. A ce jour, je n’ai jamais eu l’occasion d’étudier ce dossier ».
    Lors de l’un de ses entretiens avec Tzipi Livni, Nétanyahu a révélé à la présidente du parti « Hatnua » qu’il avait essayé d’évoquer avec Bennet des questions liées à la Défense. « Il ne voulait rien écouter », s’est plaint le Premier ministre à l’ex-chef de la diplomatie. « Tout ce qui l’intéressait était de raconter son vécu de la 2ème guerre du Liban ».
    Netanyahu ne comprenait pas, ou bien ne voulait pas comprendre. A l’instar d’autres israéliens revenus du Liban, Bennet y a perdu la confiance qu’il avait dans le mythe de la Défense. Il a appris que tout ce qui se disait au nom de la Défense n’était pas sacré, que tous les secrets chuchotés à l’oreille n’étaient pas pertinents. Il a voulu faire comprendre à Nétanyahu, que son parti, bien que très marqué à droite, ne soutiendrait pas automatiquement toute mesure belliqueuse.
    Il sera donc fascinant de suivre les débats au sein du nouveau cabinet restreint de sécurité. Dans la plupart des gouvernements, ce forum était riche d’anciens généraux et de chefs d’état-major. En revanche, au sein du gouvernement qui se profile, le secteur de la Défense n’aura qu’un seul représentant – Moshé Yaalon. Tous les autres sont des civils. Lorsqu’il y
aura une polémique, des allégations quant à l’ignorance et l’amateurisme de certains participants émergeront dans les médias. Or, rappelons que l’histoire a passé outre des milliers de mots vides, figés, prononcés en réunions du cabinet par d’anciens généraux et chefs d’état-major ; ce sont plutôt les remarques intelligentes et libres de psychorigidité, faites par des civils comme les ministres David Lévy ou Arié Déri, qui resteront à jamais gravées dans l’histoire."

- Bennet, grand vainqueur de ces tractations, Lahav Harkov (JP)
http://www.ambafrance-il.org/IMG/pdf/130315.pdf
   "Le journaliste israélien Nissim Mishal a déclaré dans une émission télévisée qu’il pariait « un falafel » que Naftali Bennet, le chef de file du Foyer juif, ne ferait pas partie du prochain gouvernement au vu de ses relations exécrables avec le Premier ministre. Le journaliste a donc perdu son pari car non seulement Bennet est au gouvernement mais il est l’architecte principal de sa composition et le grand gagnant des tractations. Souvenons-nous : au lendemain des élections législatives du 22 janvier, il aura fallu deux semaines au Premier ministre pour convoquer Bennet alors qu’il s’était entretenu avec les partenaires improbables que sont les partis arabes et le Meretz d’extrême gauche.
    Mais Bennet a joué finement en s’alliant avec Lapid, un tandem sans lequel Nétényahou aurait été incapable de former son cabinet. Une coalition est donc en route et Bennet devrait y jouer un rôle d’influence majeure. Car il a obtenu des postes importants au sein du gouvernement. En effet, s’il a abandonné les Finances qu’il convoitait tant au profit de son ami Lapid, il sera à la tête du ministère de l’Economie et du Commerce et pourra tenir ses engagements, notamment sur libéralisation du marché. En outre, son parti obtient le portefeuille de l’Habitat qui pourra à la fois diminuer les couts du Logement et promouvoir la construction de milliers d’unités de logement au delà de la Ligne verte. Enfin, troisième victoire : la gestion des Cultes, dérobée aux ultra-orthodoxes, qui devrait lui permettre de réconcilier les laïcs d’Israël avec les institutions rabbiniques du pays."

- Syrie, Iran, Palestine : les scénarios de l'armée israélienne, Jacques Benillouche (Slate.fr) - "Pour le général Kochavi, chef du renseignement militaire israélien, la Syrie est sur la voie de la désintégration, l'Iran hésite à franchir le pas de l'arme nucléaire et une troisième intifada palestinienne est peu vraisemblable".
http://www.slate.fr/story/69487/syrie-iran-palestine-scenarios-armee-israelienne
   "Les interventions publiques du général Aviv Kochavi, qui dirige l'Aman, (Agaf Ha-Modi'in. en hébreu), acronyme désignant le service de renseignement militaire israélien, ne sont pas vraiment courantes. En général, il réserve ses commentaires et ses scénarios à l’état-major et au gouvernement. Mais il s’exprimait le 14 mars 2013 lors de la Conférence annuelle d’Herzliya organisée par l'IPS (Institute of Policy and Strategy). Une occasion unique de connaître les grandes lignes des scénarios envisagés par les experts de l'armée israélienne en Syrie, en Iran et en Palestine.
    Nous avons eu droit à une étude détaillée de l’impact des changements intervenus au Moyen-Orient et à l’analyse militaire des trois menaces qui pèsent sur la sécurité d’Israël : la Syrie, l’Iran et le Hamas. Le général Kochavi a évoqué la montée de l’islam radical au Moyen-Orient estimant que «les mouvements des Frères musulmans ont pour objectif l’établissement de la charia dans les Etats arabes et des objectifs plus stratégiques afin de renforcer leur emprise sur le pouvoir y compris à Gaza et en Turquie».
    Aviv Kochavi considère que la Syrie est un Etat en cours de désintégration et il s’inquiète ouvertement de l’incapacité des dirigeants du régime de Bachar el-Assad à contrôler à la fois la situation militaire et une partie du territoire syrien. Bachar el-Assad a certes perdu plusieurs régions de Syrie, mais «il continue d'affirmer son contrôle sur les armes chimiques, sur l’armée de l'air, et sur le matériel militaire. Il se prépare à l'avance à utiliser les armes chimiques. Il n'a pas encore donné l'ordre, mais il s’y prépare».
    Le chef du renseignement militaire a été plus explicite quand il a abordé le problème de l’Iran et du Hezbollah : «Les dégâts de la chute imminente de la Syrie sont très élevés à la fois pour l'Iran et le Hezbollah. L'Iran risque de perdre son seul allié dans la région, situé aux portes d’Israël. Il perdra la capacité de transférer des armes au Hezbollah via la Syrie. L'Iran et le Hezbollah font tout ce qui est en leur pouvoir pour aider le régime d'Assad. Ils soutiennent Assad de manière opérationnelle sur le terrain, avec des conseils stratégiques, des renseignements et des armes. Plus récemment, ils ont mis en place une armée populaire formée par le Hezbollah et financée par l'Iran, comptant actuellement 50.000 hommes, avec déjà une planification pour parvenir à 100.000. L'Iran et le Hezbollah se préparent déjà pour les jours qui suivront la chute d'Assad, afin d’utiliser cette armée pour protéger leurs biens et leurs intérêts en Syrie.»
    Sur l’Iran, Aviv Kochavi a été moins alarmiste que la plupart des observateurs israéliens : «Le programme nucléaire de l'Iran progresse lentement selon leur planning, mais il avance. Au rythme actuel d'enrichissement de 14 kilogrammes d'uranium par mois, l'Iran serait en mesure de fabriquer cinq à six bombes nucléaires, si l'ordre est donné. Mais l’Iran tient à ne pas franchir les lignes rouges internationales parce que la survie du régime est sa plus grande priorité. L'Iran ne voit pas aujourd’hui une grande probabilité d'une attaque contre ses installations nucléaires par la communauté internationale.»
    Le chef de Aman a ensuite abordé le problème palestinien et celui de Gaza en particulier : «La paix relative que nous avons connue dans ces derniers mois n’est observée que parce que le Hamas le souhaite. Après l’opération “Pilier de la défense”, la dissuasion a fonctionné. Le Hamas a besoin de temps et de réhabilitation pour respecter ses engagements profonds vis-à-vis de l’Egypte qui a favorisé l'accord avec nous.»
    Il reste optimiste en ce qui concerne la Cisjordanie : «La rue palestinienne a été secouée car la crise économique et est préoccupée par les questions matérielles. La question des prisonniers palestiniens est authentique tandis que les différents incidents s’expliquent par un manque d'espoir pour une solution diplomatique. Cependant, la plupart de ces événements n’ont concerné que moins de 4.000 personnes. C’est pourquoi il n’y aucune possibilité d’envisager une troisième Intifada.»"


Gaza & Hamas

- La vérité derrière la photo d'un bébé palestinien mort souligne les problèmes de l’image photographique, Paul Farhi (Washington Post, traduit par la newsletter du CRIF) - "le bureau de l'ONU a conclu que les dommages causés au domicile de l'enfant étaient incompatibles avec ceux d’un raid aérien israélien".
http://www.crif.org/fr/tribune/la-v%C3%A9rit%C3%A9-derri%C3%A8re-la-photo-dun-b%C3%A9b%C3%A9-palestinien-mort-souligne-les-probl%C3%A8mes-de-l%E2%80%99image-photographique/35799
   "Cela a été sûrement l'une des photos d'actualité les plus déchirantes et les plus controversées de l'année écoulée, peut-être même des décennies écoulée. L'image d'un homme palestinien – la tête renversée par la peine alors qu’il berce le corps enveloppé de son petit garçon - a déclenché une féroce guerre des mots israélo-palestinienne, lorsque les journaux et les sites web l’ont publiée, en novembre 2012.
    Les propalestiniens ont identifié la photo, prise par un photographe d'Associated Press, comme une preuve de l'agression militaire israélienne contre les civils palestiniens; les pros israéliens l’ont vue comme l’outil d’une propagande mensongère, soigneusement orchestrée pour susciter la sympathie pour les Palestiniens de Gaza en pleine période du dernier conflit. Il s'avère aujourd’hui qu’aucune de ces hypothèses n’est la bonne. Et l'histoire derrière cette image suggère toute la difficulté à laquelle les journalistes font face dans le tri entre la vérité et la fiction dans le chaos d'une zone de guerre, en particulier lorsqu’il s’agit du Moyen-Orient.
    Près de quatre mois après que la photographie a été diffusée dans le monde entier, une commission onusienne vient de conclure qu'Israël n'était pas directement responsable de la mort de l'enfant. Cette commission informe que le bébé, Ahmad Masharawi, a été tué par une roquette palestinienne, tombée par erreur sur la maison de ses parents à Gaza. Le missile, tiré par les terroristes de Gaza, fait partie des centaines de roquettes qui ont été tirées contre le territoire israélien pendant le conflit.
    Le Haut Commissariat aux droits de l'homme des Nations Unies, en publiant cette conclusion, longue d'une ligne, a provoqué la surprise totale dans cette histoire chargée d'émotion. La photo avait en effet engendré de telles réactions qu'elle était devenue un symbole de la perception du conflit. Le père de l'enfant était un journaliste employé par la BBC.
    Beaucoup de lecteurs du Washington Post ont été scandalisés de voir que l'image avait été publiée, sur quatre colonnes, à la Une du journal le 15 novembre 2013. Certains parmi eux ont demandé pourquoi le journal ne traitait pas de la même manière les photos d'Israéliens entassés dans les abris antimissiles. La légende de la photo disait que l'enfant était mort « après un raid aérien israélien à Gaza», ce qui impliquait la culpabilité d’Israël. À la lumière du rapport de l'ONU, le journal a indiqué qu’il va publier une note de la rédaction avec la photo pour faire la lumière sur les circonstances réelles qui l'entourent. Cette note dit, entre autres, que le rapport de l'ONU "a émis un doute" sur l'implication israélienne.
    L'Associated Press a publié lui aussi cette semaine une correction de sa légende de la photo. L’agence écrit : «Une roquette palestinienne perdue, et non pas un tir israélien, a probablement tué l'enfant, lors de combats dans le territoire régis par le Hamas en novembre, selon un rapport de l'ONU qui contredit l'histoire largement admise derrière cette image, devenue un symbole de ce que les Palestiniens ont qualifié d’"agression israélienne" ». [...]
   « La photo n'aurait jamais été aussi digne d'intérêt pour les médias occidentaux si la légende avait expliqué qu'il était difficile de savoir comment le bébé était mort », a déclaré de son côté Éric Rozenman, directeur à Washington du « Committee for Accuracy in Middle East Reporting in America », un groupe de veille médiatique. L’image a joué sur des idées préconçues de la puissance militaire d'Israël. « La leçon à tirer pour les agences de presse et les journalistes est la nécessité de faire preuve de prudence dans leurs rapports sur le conflit arabo-israélien », a-t-il encore dit. « Si vous ne connaissez pas avec certitude les circonstances de l'image que vous publiez, alors elle doit avoir une légende qui précise cette incertitude ».
    Après avoir interrogé des témoins, le bureau de l'ONU a conclu que les dommages causés au domicile de l'enfant étaient incompatibles avec ceux d’un raid aérien israélien. Il a déclaré que le bébé a été « tué par ce qui semblait être une roquette palestinienne ». Un porte-parole de l'Organisation des Nations unies a déclaré qu'il ne pouvait, « sans équivoque », indiquer une cause palestinienne, mais qu’une enquête a démontré qu'il y avait eu des tirs de roquettes palestiniennes près de la maison de l'enfant, quand il a été tué.
    Malgré cette conclusion, le Centre palestinien pour les droits de l'homme basé à Gaza a déclaré qu'il considère toujours Israël comme responsable de la mort du bébé..."

- Of course Hamas killed the baby, Alan M. Dershowitz (Gatestone Institute) - "He would have been killed by Hamas even if the missile that ended his life had been fired by Israel. Hamas is totally and wholly responsible for this death, as it is responsible for every civilian death in Gaza and in Israel".
http://www.gatestoneinstitute.org/3623/hamas-killed-baby
   "The recent disclosure that Omar Misharawi, the baby son of BBC reporter Jihad Misharawi, was actually killed by an errant Hamas rocket rather than by an Israeli missile, should have absolutely no moral implications. Of course the baby was killed by Hamas. He would have been killed by Hamas even if the missile that ended his life had been fired by Israel. Hamas is totally and wholly responsible for this death, as it is responsible for every civilian death in Gaza and in Israel. It is Hamas that always begins the battle by firing rockets at Israeli civilians. Generally Israel does not respond. When it does, its rockets occasionally kill Palestinian civilians. That's because Hamas wants Palestinians civilians, especially babies, to be killed by Israelis rockets. They want Palestinian babies to be killed precisely so that they can display the kind of photographs that were shown around the world: a grieving father holding his dead baby, presumably killed by an Israeli rocket. For years, I have called this Hamas' "dead baby strategy." The recent United Nations finding simply confirms the reality of this cynical strategy.
    The errant rocket that killed Omar Misharawi was fired by Hamas terrorists from a densely populated civilian area adjacent to the home of the BBC reporter Jihad Misharawi. Hamas selects such locations for firing its rockets precisely so that Israel will respond by firing into civilian areas and killing Palestinian civilians. They regard such dead civilians as "shahids", or martyrs for the cause. It is better for Hamas' publicity campaign if the rocket that kills the Palestinian baby was fired by the Israeli Defense Forces, but even if the rocket was fired by Hamas terrorists, Hamas will claim, as they do regarding this death, that the lethal rocket was fired by Israel. Often the evidence is inconclusive, though the forensic evidence in this case points clearly to a Hamas rocket.
    The important point is that it doesn't really matter who actually fired the rocket that killed the baby. The baby was killed by Hamas as part of a calculated strategy designed to point the emotional finger of moral blame at the IDF for doing what every democracy would do: namely, defend its civilians from rocket attacks by targeting those who are firing the rockets, even if they are firing them from civilian areas. As President Obama said when he visited Sderot shortly before becoming President: "The first job of any nation state is to protect its citizens. And so I can assure you that if…somebody was sending rockets into my house where my two daughters sleep at night, I'm going to do everything in my power to stop that. And I would expect Israelis to do the same thing."
    Babies like Omar Misharawi will continue to die in Gaza and in Israel so long as the world media continues to serve as facilitators of Hamas' dead baby strategy. Every time a picture of a dead Palestinian baby being held by his grieving parents appears on television or on the front pages of newspapers around the world, Hamas wins. And when Hamas wins, they continue with their deadly strategy. The media, therefore, is complicit in the death of Omar Misharawi as it is in the deaths of other civilians who are victims of Hamas' dead baby strategy. Pictures of dead babies in the arms of their grieving fathers are irresistible to the media. That won't change. What should change is the caption. Every time a dead Palestinian baby is shown, the caption should explain the strategy that led to his or her death: namely that Hamas deliberately fires its rockets from areas in which babies live and into which Israel must fire if it is to stop its own babies from being killed.
    It may sound heartless to claim that Hamas wants its own babies to be killed as part of its strategy of demonizing Israel. But there is no escaping the reality and truth of this phenomenon. Indeed it has been admitted by Hamas leaders such as Fathi Hammad: "For the Palestinian people, death has become an industry, at which women excel, and so do all the people living on this land. The elderly excel at this, and so do the mujahideen and the children. This is why they have formed human shields of the women, the children, the elderly, and the mujahideen, in order to challenge the Zionist bombing machine. It is as if they were saying to the Zionist enemy: "We desire death like you desire life"."
    Of course these Hamas leaders don't desire their own death. They build shelters for themselves and for the terrorists who fire the rockets at Israeli civilians. As soon as these rockets are fired from crowded civilian areas, the terrorist scurry into below-ground shelters, leaving babies, women and other civilians in the path of Israeli rockets that target the rocket launchers. This isn't martyrdom by the leaders and terrorists. It is cowardice. That too is part of the dead baby strategy: make martyrs of babies, while the leaders and terrorists hide in shelters. In Israel, it is precisely the opposite; shelters are for civilians; soldiers put themselves in harm's way. That's why the following illustration sums it all up: [voir sur le site]."

- How the British media have covered news regarding Omar Misharawi’s death (CiF Watch)
http://cifwatch.com/2013/03/13/how-the-british-media-have-coverered-news-regarding-omar-misharawis-death/

- Gaza child death: BBC’s pitiful response, Simon Plosker (Managing Editor of Honest Reporting) - "In the BBC’s usual worldview, the United Nations is regarded as a pillar of propriety and virtue. A UN report (and there are many) criticizing Israel is the definition of truth… unless it states the opposite. Why is it that only when a UN report exonerates Israel and blames Hamas is that report not to be trusted?"
http://blogs.timesofisrael.com/gaza-child-death-bbcs-pitiful-response/

- More friction between Egypt and Hamas (Elder of Ziyon) - "Gazans spying on Egypt - after being trained in Iran? There aren't enough details in this report, but the distrust that Egypt has for Hamas seems to be growing, despite Hamas' efforts to calm things down".
http://elderofziyon.blogspot.fr/2013/03/more-friction-between-egypt-and-hamas.html

- Egypte : 60 tunnels de contrebande vers Gaza mis hors de service (Guysen)
http://www.guysen.com/fil-infos/egypte-60-tunnels-de-contrebande-vers-gaza-mis-hors-de-service/
   "Des équipes d’ingénierie de l’armée égyptienne ont mis hors service dimanche quelque 60 tunnels de contrebande vers la Bande de Gaza, en les inondant d’eau. « Désormais, ils sont inutilisables », a déclaré un haut responsable militaire."


Judée-Samarie

- Cisjordanie : 4 Israéliennes blessées après des jets de pierres sur une route (AFP) - « Sa troisième fille, âgée de deux ans, a été hospitalisée dans un état grave ».
http://nosnondits.wordpress.com/2013/03/15/cisjordanie-4-israeliennes-blessees-apres-des-jets-de-pierres-sur-une-route/
   "[...] « La mère, qui était au volant sur une route près d’Ariel, a été modérément blessée, ainsi que deux de ses filles, après que la voiture a percuté un camion, très probablement en raison de jets de pierres », a dit à l’AFP le porte-parole de la police Micky Rosenfeld. « Sa troisième fille, âgée de deux ans, a été hospitalisée dans un état grave ». « Une enquête a été ouverte. Mais il est extrêmement probable que l’accident a été causé par des jets de pierres car le pare-brise du camion a été brisé et de nombreuses pierres ont été retrouvées sur la route », a-t-il précisé."
- Israël/Territoires disputés : arrestation de 10 Palestiniens suspectés d’avoir lapidé le véhicule israélien dont un des enfants passagers est dans un état désespéré (Guysen)
http://www.guysen.com/fil-infos/israelterritoires-disputes-arrestation-de-10-palestiniens-suspectes-davoir-lapide-le-vehicule-israelien-dont-un-des-enfants-passagers-est-dans-un-etat-desespere/
   "Le porte-parole de Tsahal a indiqué vendredi que « les soldats des forces spéciales de l’armée israélienne, avec l’aide de renseignements précis , ont arrêté huit Palestiniens originaires du village de Haris, au sud de Qalqilya et deux autres du village de Kifl Haris. Les suspects ont été arrêtés après qu’hier soir un groupe de Palestiniens a provoqué un accident de la circulation blessant un enfant (dans un état désespéré, ndlr) et trois civils israéliens grièvement et un autre modérément près d’Ariel ». En outre, la nuit dernière, d’autres jets de pierres ont eu lieu blessant légèrement deux civils israéliens voyageant dans un bus dans la zone d’Ariel. Les blessés ont été évacués par le Magen David Adom vers l’hôpital le plus proche. Les suspects ont été transférés aux forces de sécurité pour interrogatoire. « Tsahal ne tolérera aucune tentative de nuire aux soldats et aux citoyens israéliens, et continuera à opérer avec force et détermination, de façon visible et invisible contre tout élément qui utilise le terrorisme contre Israël », peut-on lire dans le communiquer du porte-parole de l’armée."

- IDF nabs 10 in Route 5 stone-throwing attack, Yaakov Lappin (JP) - “It was an awful scene. It looked like a terrorist attack.”
http://www.jpost.com/DiplomacyAndPolitics/Article.aspx?id=306554
   "IDF special forces arrested ten Palestinian men overnight Friday on suspicion of hurling rocks at an Israeli vehicle and being behind an attack that led the car to veer off the road, hit a truck, and leave a three-year-old girl fighting for life. Three members of her family  are moderately injured. The suspects were arrested after "accurate intelligence that was quickly assembled" reached the army, the IDF said. Duvdevan undercover soldiers took part in the arrest operation. Eights suspects were arrested in the village of Haras, and two in the village of Harath, southeast of Kalkiliya. [...]
    It took 25 minutes to pull the family out of the car, medic Muawia Kabha said. The youngest girl was not breathing and was resuscitated with a mouth-to-mouth procedure, he said. Medics were able to revive her, but she was unconscious and in critical condition, he said. The mother was also in moderate condition but was conscious, Kabha said. The two girls in the back seat were moderately wounded, because they were not in the part of the vehicle trapped under the truck, he said. “It was an awful scene. It looked like a terrorist attack,” he added. [...]"


"Processus de paix"

- PA daily crosswords: Safed and Haifa are Palestinian cities (PMW) - images des mots croisés sur le site.
http://www.palwatch.org/main.aspx?fi=157&doc_id=8667
   "In its weekly crossword puzzle, the Palestinian Authority daily presented the Israeli city of Safed as a "city in Northern Palestine." Another recent crossword puzzle defined the Israeli city of Haifa as a "Palestinian city." [...] Jerusalem also appeared in a crossword this month described as a "threatened Palestinian city" [...]"

- Abbas on Fatah, Hamas policies: ‘I don’t see much difference’ (The Israel Project)
http://www.theisraelproject.org/site/apps/nlnet/content3.aspx?c=ewJXKcOUJlIaG&b=7717007&ct=13025405&notoc=1#.UUWR4FeKU_4
   "Jerusalem, Mar. 17 – Palestinian President Mahmoud Abbas believes there is little to differentiate between his own Fatah party and Iran-backed Hamas in terms of policies towards Israel. “I don’t see much difference between their policy and ours. In this case, there is no need to label them as a terrorist organization,” he said, calling on the European Union to remove Hamas from its list of designated terror groups. He made the comment during an in-depth interview with the Russian media during his visit to Moscow.
    He continued by denying that Hamas has attacked Israel in recent years: “Neither we nor Hamas did [target Israel with rockets]. Not any longer. After the Second Intifada, we decided to give up on armed resistance. And let me be totally frank with you: we don’t want to launch any armed resistance whatsoever. Hamas has said the same.” However, Hamas has continuously claimed responsibility for the rockets barraging civilians in southern Israel. Terrorist groups in Hamas-controlledGaza fired a total of 1,506 rockets during Operation Pillar of Defense in November 2012. The number of rockets and mortars fired at Israeli civilians from Gaza for 2012 stood at over 2,300. [...]"
- Abbas says no difference between Hamas and Fatah (Elder of Ziyon) - "Hamas last shot rockets at Israel only a mere four months ago. And, incidentally, so did Fatah's Al Aqsa Martyrs' Brigades in Gaza. So in that sense, Abbas is right - they are both the same in supporting terror attacks against civilians".
http://elderofziyon.blogspot.fr/2013/03/abbas-says-no-difference-between-hamas.html


Syrie

- En Syrie, l'irrésistible ascension des islamistes du front Al-Nosra, Christophe Ayad (Le Monde) - "Inscrit par le Département d'Etat américain sur la liste des organisations terroristes, le Front Al-Nosra est encensé par les Syriens pour sa bravoure au combat, sa discipline et sa probité. Au point que ce groupe armé est en train de s'imposer comme le principal groupe armé en Syrie".
http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2013/03/16/en-syrie-l-irresistible-ascension-du-front-al-nosra_1849409_3218.html


USA

- Washington veut empêcher l'Iran d'avoir l'arme atomique (Reuters) - Obama : "Nous pensons qu'il faudrait un peu plus d'un an à l'Iran pour développer une arme nucléaire, mais, à l'évidence, nous ne voulons pas attendre le dernier moment".
http://fr.news.yahoo.com/washington-veut-emp%C3%AAcher-liran-davoir-larme-atomique-071051973.html
   "L'Iran aura besoin d'"un peu plus d'un an" pour développer l'arme atomique une fois que Téhéran l'aura décidé, a déclaré Barack Obama dans une interview diffusée jeudi à la télévision israélienne avant un déplacement au Proche-Orient. Dans cet entretien, diffusé six jours avant sa première visite en Israël, le président américain semble adresser un message au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu lui demandant de faire preuve de patience sur le dossier iranien tout en affichant la volonté des Etats-Unis d'affronter Téhéran si nécessaire. [...] "Nous pensons qu'il faudrait un peu plus d'un an à l'Iran pour développer une arme nucléaire, mais, à l'évidence, nous ne voulons pas attendre le dernier moment", a déclaré le président américain.
    Devant les Nations unies en septembre dernier, Benjamin Netanyahu avait demandé qu'une "ligne rouge" soit fixée avant que l'Iran n'en soit qu'à quelques mois ou quelques semaines d'avoir amassé suffisamment d'uranium enrichi pour fabriquer une arme nucléaire. Il avait évoqué le printemps ou l'été 2013 comme date à laquelle le régime en place à Téhéran pourrait être proche d'acquérir la capacité nucléaire, suggérant la perspective d'une attaque d'Israël à ce moment-là. Mais les observateurs estiment que cette date a été repoussée, compte tenu des dernières discussions de l'Iran avec les grandes puissances mondiales ainsi que des ajustements de Téhéran dans son processus d'enrichissement de l'uranium.
    Prié de dire s'il ordonnerait d'attaquer l'Iran si la diplomatie devait échouer, Barack Obama répondu : "Quand je dis que toutes les options sont sur la table, toutes les options sont sur la table." "Les Etats-Unis ont évidemment des capacités importantes mais notre but ici est de faire en sorte que l'Iran ne possède pas d'arme nucléaire susceptible de menacer Israël ou de déclencher une course aux armements dans la région." [...]"

- Americans’ sympathy for Israel at 22-year high, Haviv Rettig Gur (Times of Israel) - "Ahead of Obama’s visit, Gallup poll finds 64% of Americans sympathize more with Israel, just 12% with the Palestinians".
http://www.timesofisrael.com/americans-sympathy-for-israel-at-22-year-high/
- Poll: Americans' sympathy lies with Israelis (JP) - "Republicans (78%) were much more likely to sympathize with Israel than Democrats (55%)".
http://www.jpost.com/DiplomacyAndPolitics/Article.aspx?id=306595
   "Americans' sympathies for Israel matched an all time high according to a Gallup poll released Friday, just five days before US President Barack Obama was scheduled to visit Israel for the first time as president. According to the poll, Americans' sympathies lean heavily toward the Israelis over the Palestinians, 64 percent vs. 12%. While partiality to Israel has topped 60% consistently since 2010, the 64% recorded in Friday's poll matched the previous record seen in 1991, during the first Gulf War. In the 1991 Gallup poll, only 7% of respondents sympathized more with Palestinians than Israelis.
    Analysis of the poll data showed that Republicans, conservatives and older Americans were more likely to be partial to Israel. Republicans (78%) were much more likely to sympathize with Israel than Democrats (55%), according to the poll. Democratic support for Israel has increased by four percent since 2001, while Republican support for the Jewish state has jumped 18 percentage points in the same period. [...]"
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