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19 août 2011 5 19 /08 /août /2011 09:52

Attentats & Roquettes dans le Sud

- Sept morts dans les attaques terroristes près d'Eilat (JP)
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1302257417556&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
   "Sept personnes ont été tuées et au moins 25 ont été blessés dans des attaques terroristes près d'Eilat, jeudi en fin de matinée. Les victimes ont été évacuées vers l'hôpital Yoseftal d'Eilat. Des soldats figurent aussi parmi les blessés. L'attaque terroriste, en trois temps, a eu lieu le long de la frontière avec l'Egypte jeudi. Des terroristes ont d'abord ouvert le feu sur un bus de la compagnie Egged qui circulait sur la route 12, près d'Eilat. Quelques minutes plus tard, des bombes ont explosé près d'une patrouille de Tsahal qui circulait le long de la frontière avec l'Egypte. Il y a également eu des rapports faisant état de tirs d'obus de mortier depuis l'Egypte. Les terroristes se seraient apparemment déplacés peu après et ont tiré un missile antichar sur un autre véhicule, blessant plusieurs passagers. Le porte-parole du bureau du Premier ministre Ofir Gendelman a annoncé sur Twitter que sept des terroristes impliqués dans l'attaque ont été tués par les forces spéciales. [...]"
- Attaques dans le sud d'Israël : sept morts (AP)
http://fr.news.yahoo.com/attaques-sud-disra%C3%ABl-sept-morts-145755095.html
   "[...] Les attaques ont eu lieu en milieu de journée à une quinzaine de kilomètres de station balnéaire israélienne d'Eilat, près de la frontière égyptienne. Elles ont été perpétrées en l'espace de trois heures par un "nombre important" d'assaillants, répartis en plusieurs groupes, a déclaré une porte-parole de l'armée, le lieutenant-colonel Avital Leibovich. "Nous parlons là d'un commando terroriste qui s'est infiltré en Israël. C'est une attaque terroriste coordonnée contre des Israéliens", a-t-elle ajouté. [...]
    Selon le général Yoav Mordechaï, un autre porte-parole de l'armée, les forces israéliennes ont poursuivi certains des assaillants et des échanges de tirs ont suivi. Plusieurs des membres du commando ont été tués lors de la fusillade avec les forces israéliennes, selon le ministère de la Défense. On ignore dans l'immédiat si des assaillants ont été capturés vivants ou combien d'hommes étaient impliqués. Les attaques avaient été minutieusement préparées et les assaillants étaient munis d'explosifs et d'armes lourdes, dont des mortiers et un missile antichar, précise-t-on de même source.
    L'attaque a d'abord visé un autocar de la compagnie israélienne Egged, sur une route au nord d'Eilat. Selon la radio israélienne, deux ou trois hommes à bord d'une voiture qui suivait l'autocar ont ouvert le feu à l'arme automatique, avant de prendre la fuite. En l'espace de près d'une heure, sur la même route, les assaillants ont ouvert le feu sur un autre autocar et sur deux voitures de civils, tandis qu'un engin explosif a sauté au passage d'un véhicule d'une patrouille militaire israélienne se portant sur les lieux. Au total, selon le général israélien Tal Russo, six civils et un soldat ont été tués. [...]"
- Attentats à Eilat : une huitième victime, française (Guysen)
http://www.guysen.com/news_-Attentats-a-Eilat-une-huitieme-victime-francaise_324015.html
   "Les attaques à Eilat ont fait une huitième victime : l'adjudant-chef Pascal Avrahami, 49 ans, tireur d'élite de l'unité de police antiterroriste Yamam. Venu de France, Pascal s'était installé en Israël en 1977. Il s'était distingué par ses prouesses de tireur et son courage au combat. Pascal a été tué dans les échanges de tirs avec les terroristes, alors que le ministre de la Défense Ehoud Barak était sur place pour un briefing avec les responsables militaires."
- La frontière égyptienne, un nouveau « front » pour Israël, Pierre Haski (Rue89)
http://www.rue89.com/2011/08/18/la-frontiere-egyptienne-un-nouveau-front-pour-israel-218335
   "La station balnéaire israélienne d'Eilat a cette particularité d'être à un des rares carrefours entre quatre Etats : Israël, l'Egypte, la Jordanie, et l'Arabie saoudite. C'est cette zone qui s'est enflammée jeudi, avec l'attaque de deux bus israéliens, faisant sept morts et des dizaines de blessés, des échanges de tirs le long de la frontière israélo-égyptienne, et des affrontements entre soldats israéliens et des hommes armés.
    La première attaque a visé un bus de la compagnie Egged faisant la liaison Bersheba-Eilat, à travers le désert du Neguev. Lorsque les forces israéliennes sont arrivées, elles ont été accueillies par des engins explosifs. Elles ont ensuite subi plusieurs attaques au mortier ou à la roquette, en provenance d'Egypte ou sur le sol israélien. Une voiture privée a elle aussi été prise pour cible. Au cours de leurs opérations de poursuite, les forces israéliennes ont détruit un véhicule des assaillants et tué plusieurs membres du commando. [...]"
- Le Shin Bet avait des informations sur une possible incursion d'assaillants en Israël (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Le-Shin-Bet-avait-des-informations-sur-une-possible-incursion-d-assaillants-en-I_323974.html
   "Selon une enquête menée par Tsahal, le Shin Bet disposait d'informations selon lesquelles une cellule terroriste était prête à s'infiltrer en Israël. Mais les autorités pensaient que de telles attaques ne surviendraient pas la nuit."
- 'Bus driver prevented catastrophe', Aviel Magnezi (Ynet)
http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4110722,00.html
   "Benny Belevsky, the bus driver on the 392 Egged bus that was attacked by terrorists on Thursday en route from Beersheba to Eilat, was able to prevent a tragedy from turning into a catastrophe by taking swift action in real time. Witnesses say the 60-year-old driver continued to drive through the hail of gunfire, doing his best to escape the terrorists. Passengers on the bus also reported a few soldiers on board fired back at the terrorists as the bus sped away.
    "Just before Netafim junction I heard gunfire," the driver told Ynet. "The bullets hit the bus and two of them shattered the window near me, passed just above my head and hit the ceiling. I am experienced enough to know that I should keep driving and that I mustn't stop so that the damage doesn't get worse." Belevsky added that the passengers panicked, and that some of them were hurt, but he knew he had to get to the IDF checkpoint at Netafim. "It was scary – you never think something like this will happen to you. But I did what I had to do," he said.
    The packed bus was filled with passengers, mostly on their way to a pleasant summer vacation. "The driver accelerated and was able to prevent a much more serious outcome," one said. Some passengers also reported seeing three people open fire on the bus. [...] "We were lucky nothing happened to us," said Sarah. "The children were only lightly wounded by shattered glass, and are being treated at the hospital right now"."

- Netanyahou promet une réponse, Tovah Lazaroff & Yaakov Katz (JP)
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1302257418684&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
   "Le Premier ministre Binyamin Netanyahou s'est entretenu jeudi avec le maire d'Eilat, Meir Yitzhak-Halevy, peu après les trois attaques terroristes qui ont frappé la zone. Il lui a déclaré : "Nous parlons d'un incident sérieux au cours duquel des citoyens israéliens ont été touchés et la souveraineté du pays mise en danger." Il a promis au maire qu'Israël répondrait aux attaques qui ont coûté la vie à au moins sept Israéliens. D'autre part, le bureau du Premier ministre a rappelé aux Israéliens qu'il existait un avertissement pour les voyageurs désirant se rendre dans le Sinaï, et a exhorté tous les vacanciers s'y trouvant à partir."
- Attaque en Israël : Netanyahou menace (AFP)
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/18/97001-20110818FILWWW00474-attaque-en-israel-netanyahou-menace.php
   "Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a promis jeudi soir de faire payer "un prix très fort" à ceux qui, attaquent des Israéliens, lors d'une brève intervention télévisée après une série d'attaques sanglantes dans le sud d'Israël. "Si les organisations terroristes pensent qu'elles peuvent blesser nos concitoyens sans que nous répondions elles se trompent. Israël leur fera payer un prix très fort", a affirmé le premier ministre Netanyahu. "J'ai fixé un principe: quand on attaque des Israéliens, nous répondons immédiatement et très fermement. Ce principe a été appliqué aujourd'hui", a-t-il dit."
- Attentats dans le sud : le Hamas évacue ses bases militaires de crainte d’une riposte israélienne (Guysen)
http://www.guysen.com/news_-Attentats-dans-le-sud-le-Hamas-evacue-ses-bases-militaires-de-crainte-d-une-rip_323940.html
   "Le Hamas a évacué toutes ses installations militaires de crainte d’une riposte israélienne aux attentats coordonnés de ce jeudi. Pour l’heure aucune organisation a revendiqué la responsabilité de ces attaques."
- Le Hamas nie toute implication dans les attaques terroristes contre Israël (Guysen)
   "Le Hamas « n’a rien à voir » avec les attaques terroristes perpétrées dans le sud d’Israël, a déclaré jeudi après-midi le porte-parole du gouvernement Hamas, Taher Nunu, ajoutant que le mouvement islamiste rejetait les accusations du ministre de la Défense Ehoud Barak selon lesquelles, « les terroristes sont venus de Gaza »."
- L'AP met en garde Israël contre une riposte ''irresponsable'' à Gaza (Guysen)
http://www.guysen.com/news_L-AP-met-en-garde-Israel-contre-une-riposte-irresponsable-a-Gaza_324020.html
   "Le diplomate palestinien Saëb Erekat a mis en garde Israël contre une ''riposte irresponsable'' ou des ''punitions collectives contre la population civile'' à Gaza, après les attaques terroristes à Eilat. Il a ajouté que l'Autorité palestinienne ''s'oppose à toute violence ne servant pas la cause palestinienne ou les aspirations du peuple palestinien à la liberté et à l'indépendance''. Il a également souligné que l'AP ''ne tolère pas l'utilisation de l'attentat à Eilat pour justifier l'agression contre la bande de Gaza''."

- Tsahal tue un leader terroriste à Gaza, Yaakov Katz (JP)
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1302257418917&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
   "La réponse d'Israël aux attaques terroristes d'Eilat ne s'est pas fait attendre. L'armée de l'air a bombardé jeudi soir le sud de la bande de Gaza, tuant la direction des Comités de résistance populaire (PRC) qui a orchestré les attaques. [...] Parmi les membres des PRC tués figure le chef du groupe, Kamal Nirab, dont le Shin Bet (Agence de sécurité d'Israël) indique qu'il a personnellement planifié et dirigé l'attaque d'Eilat.
    Un des autres hommes tués dans la frappe aérienne : Amas Hamed, commandant de la branche armée des PRC et habitant de Rafah. Le Shin Bet précise qu'Hamed était impliqué dans l'enlèvement du soldat israélien Guilad Schalit en juin 2006 et a supervisé plusieurs attaques contre Israël, y compris des attentats-suicide et des attaques à la roquette. Deux autres terroristes connus des services israéliens, dont l'un également impliqué dans l'enlèvement de Schalit, ont été tués dans le raid. "Les terroristes étaient directement liés aux attaques le long de la frontière israélo-égyptienne", selon un responsable de la sécurité. [...]
    Le ministre de la Défense Ehoud Barak a de son côté déclaré que Tsahal allait revoir à la hausse sa réponse à ces attentats. L'Egypte a perdu sa mainmise sur le Sinaï et les organisations terroristes sont capables de s'y déplacer librement, indique-t-il. "L'armée a déjà visé la tête des PRC à Gaza et s'il y a besoin, les frappes s'intensifieront", a déclaré le ministre de la Défense. "Tsahal usera de toute la force nécessaire pour protéger les citoyens israéliens et leur assurer une vie normale dans le pays"."
- Gaza : 6 Palestiniens tués par un raid (AFP) - "Selon un photographe de l'AFP et des témoins, l'un des tués est Kamal al-Nayrab, le secrétaire général des Comités de résistance populaire (CRP), une organisation radicale palestinienne armée".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/18/97001-20110818FILWWW00436-gaza-6-palestiniesn-tues-par-un-raid.php
   "Six Palestiniens ont été tués lors d'un raid aérien israélien sur la ville de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, a-t-on appris de sources médicales palestiniennes. Le raid est survenu quelques heures après une triple attaque sanglante contre le territoire israélien, près de la ville d'Eilat, imputée par Israël à des groupes armés palestiniens opérant à Gaza. "Le raid sioniste contre une maison de Rafah a fait six martyrs", a déclaré à l'AFP Adham Abou Selmiya, porte-parole des services d'urgence du mouvement islamiste Hamas qui contrôle la bande de Gaza.
    Selon un photographe de l'AFP et des témoins, l'un des tués est Kamal al-Nayrab, le secrétaire général des Comités de résistance populaire (CRP), une organisation radicale palestinienne armée. Le ministre israélien de la Défense Ehoud Barak a confirmé le raid, lors d'une conférence de presse, affirmant qu'il "visait des militants des CRP". Selon la chaîne de télévision 10 israélienne, un drone israélien a tiré un missile sur un véhicule transportant des cadres militaires des CRP. [...]"
- IDF bombs Gaza, 6 dead, Elior Levy (Ynet)
http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4110783,00.html
   "The army bombed a target in Gaza Thursday evening in response to four terror attacks that killed seven Israelis and injured 31 in the south. The IDF says the target was a Rafah building used by terrorists, and Palestinian sources reported six dead in the strike, among them two senior operatives in the Popular Resistance Committees. The two senior operatives are, according to Palestinian sources, Abu Oud al-Nirab, the commander of the group's military wing, and Khaled Shaath, a senior member of the terror group. Preliminary reports say IDF aircraft bombed a house, killing the two men and four others inside. Earlier, the IDF scattered fliers in the area, sources said. It remains unclear what the fliers said.
    Palestinian news agencies reported that the PRC was responsible for the attacks in the south. A spokesman for the group threatened retaliation for the strike. Earlier Palestinian sources reported that Hamas' interior minister ordered the the security forces headquarters in Gaza to be immediately evacuated for fear of IDF retaliation. It was also reported that Israel closed the Kerem Shalom border crossing without further notice. The central cargo channel was shut immediately after the terror attack. [...]"
- 1ère réaction d’Israël à Gaza, nouveaux affrontements à Eilat (Mena)
http://www.menapress.org/
   "De source sécuritaire israélienne, on apprend qu’un aéronef vient d’effectuer une frappe ciblée contre une voiture dans le sud de la Bande de Gaza. Six individus, tous des chefs des Comités de résistance, dont on ne connaît pas encore l’identité, ont été neutralisés. Les Comités de résistance, qu’Israël a identifiés comme étant à l’origine des agressions de la journée dans le sud d’Israël, sont également l’organisation qui détient le caporal Guilad Shalit en otage depuis le 25 juin 2006.
    Le Hamas a ordonné à ses miliciens d’abandonner leurs casernements et de se mettre à l’abri dans la crainte de vastes représailles de l’Etat hébreu. En fin d’après-midi, des porte-parole de l’organisation djihadiste ont affirmé que le Hamas n’était pas impliqué dans les assassinats collectifs perpétrés dans la région d’Eilat, ajoutant que la branche palestinienne des Frères Musulmans égyptiens n’était militairement active qu’à partir de Gaza. Les mêmes intervenants ont également menacé de lancer des roquettes contre Israël en cas d’attaque de Tsahal.
    On s’attend toutefois à d’autres raids de l’armée, qui a acquis la certitude que des miliciens de l’organisation de Mashal et Hanya sont actifs dans la péninsule du Sinaï, et que les groupes terroristes islamistes opérant depuis Gaza font partie intégrante du dispositif du Hamas. [...]"
- Gaza : 7 raids aériens israéliens, 1 tué (AFP)
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/19/97001-20110819FILWWW00228-gaza-7-raids-aeriens-israeliens-1-tue.php
   "L'aviation israélienne a lancé cette nuit sept raids contre la bande de Gaza, qui ont fait un tué et 17 blessés, a-t-on appris de source médicale palestinienne. Durant un première série de quatre raids, une maison a été visée à l'est de la ville de Gaza et un adolescent a été tué. D'autres attaques ont visé des installations des services de sécurité palestiniens dans le secteur, faisant 15 blessés. Une autre attaque qui n'a pas fait de blessé s'est produite à l'est de la ville de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, a-t-on précisé. Une heure plus tard, trois attaques qui ont fait deux autres blessés ont visé deux bases d'entraînement des Brigades Ezzedine al-Qassam, la branche armée du Hamas, respectivement dans le nord de la bande de Gaza et près de Khan Younès, dans le sud. Un tunnel creusé sous la frontière avec l'Egypte à la hauteur de Rafah a aussi été attaqué. [...]"

- Gaza : salve de 8 roquettes sur le sud d'Israël, Ashdod, Ashkelon et Béersheva visées (Guysen)
http://www.guysen.com/news_-Gaza-salve-de-8-roquettes-sur-le-sud-d-Israel-Ashdod-Ashkelon-et-Beersheva-vise_324010.html
   "Les terroristes palestiniens se sont déchaînés cette nuit dans la bande de Gaza, et ont tiré pas mois de 8 roquettes Qassam et Grad sur le sud d'Israël. Un engin a atterri vers minuit et demi près d'un kibboutz de Shaar Hanéguev. Deux autres ont explosé dans des terrains vagues du conseil régional de Shaar Hanéguev et Sdot Néguev vers 5 heures du matin. Puis vers 6 heures du matin, un missile Grad a été lancé sur Béersheva et deux vers Ashdod, et sont tombés dans des terrains vagues. Un autre engin est tombé dans le conseil régional d'Eshkol peu de temps après, puis deux autres tirs de roquettes ont été localisés en direction d'Ashkelon et de Guédéra. Le système antimissile Dôme de fer a intercepté la roquette lancée sur Ashkelon. On ne déplore aucun blessé."
- Gaza : deux autres tirs de roquettes sur Ashdod, 6 blessés dans une école talmudique (Guysen)
http://www.guysen.com/news_-Gaza-deux-autres-tirs-de-roquettes-sur-Ashdod-6-blesses-dans-une-ecole-talmudiq_324017.html
   "Deux autres tirs de roquettes ont retenti à Ashdod. L'un des engins a atterri dans la cour d'une yeshiva - école talmudique. Un étudiant a été grièvement blessé à la poitrine par des éclats, un autre sérieusement atteint et 4 autres sont sous le choc. Les blessés ont été évacués. Le bâtiment a été légèrement endommagé."
- Deux blessés par des tirs de roquettes dans le sud d'Israël (AFP)
http://www.liberation.fr/monde/01012354990-deux-blesses-par-des-tirs-de-roquettes-dans-le-sud-d-israel
   "Deux roquettes ont été tirées vendredi matin de la bande de Gaza contre Israël, faisant deux blessés dans la ville d'Ashdod, au sud de Tel-Aviv selon une source policière. «Une première roquette a explosé sans faire de dommage dans une zone inhabitée à Ashdod, mais un second engin a blessé grièvement une personne et plus légèrement une autre», selon une porte-parole. Une douzaine de roquettes ont été tirées au cours des dernières heures, selon l'armée. [...]"
- 10 rockets strike Israel a day after coordinated terror attacks kill 8, Anshel Pfeffer (Haaretz)
http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/10-rockets-strike-israel-a-day-after-coordinated-terror-attacks-kill-8-1.379518
   "Less than a day after coordinated terror attacks killed eight Israelis, Palestinian attacks on Israel continue as 10 Grad and Qasasm rockets were fired Friday morning at Ashkelon, Be'er Sheva and Kiryat Gat. Most of the rockets fell in open areas and did not cause damage or injuries, but one of the missiles hit a building in an Ashdod industrial park, wounding six people, one of them seriously. Three Qassam rockets were shot at the western Negev communities overnight. Emergency sirens were sounded, but no injuries or damage were reported. [...]"
- Iron Dome intercepts 3 rockets fired at Israel (Ynet)
http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4110902,00.html
   "While the IDF continued to search for the terrorists who committed four deadly attacks in the south, the Iron Dome missile defense system intercepted three rockets fired at Ashkelon from Gaza. Of the first rocket attack, Yaakov Ronen, a resident of the city, told Ynet, "I heard a siren and went to the window. I am certain that Iron Dome was activated because I saw smoke go up." Lucy Zutub, another resident of the city, also reported hearing a loud blast. Later two additional rockets were fired at the city, and again intercepted.
    Meanwhile, defense officials said Thursday that Iron Dome would be re-deployed in Beersheba, due to fears that the IDF's retaliation in Gaza to the days' terror attacks would cause an escalation of violence there, as well. Meanwhile, defense officials said Thursday that Iron Dome would be re-deployed in Beersheba, due to fears that the IDF's retaliation in Gaza to the days' terror attacks would cause an escalation of violence there, as well."

- Livni : Les attentats dans le sud, un appel pour qu’Israël lance des opérations (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Les-attentats-dans-le-sud-un-appel-pour-qu-Israel-lance-des-operations_323956.html
   "La chef de l’opposition israélienne Tsipi Livni, a soutenu ce jeudi que les attentats perpétrés aujourd’hui dans le sud "appelaient à une opération d’Israël". "Le parti Kadima soutiendra le guovernement en ce qui concerne des opérations anti-terroriste"."
- Livni : Israël devrait envisager à nouveau de bloquer la frontière égyptienne (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Israel-devrait-envisager-a-nouveau-de-bloquer-la-frontiere-egyptienne-Livni-_323958.html
   "La chef de l'opposition Tsipi Livni a soutenu jeudi qu'Israël devrait envisager à nouveau de bloquer sa frontière avec l'Egypte, après des attentats perpétrés aujourd'hui dans le sud qui ont fait sept morts."

- Terror attacks have damaged Israel’s peace with Egypt, Amir Oren (Haaretz) - "Egypt is a hostile state that enables Israel's enemies to attack it".
http://www.haaretz.com/print-edition/news/terror-attacks-have-damaged-israel-s-peace-with-egypt-1.379439
   "Peace with Egypt, a central pillar of Israel's security for three decades, was badly hurt Thursday. An active war between Israel and Egypt has not broken out yet, but there is hostility, and unhindered acts are taking place from Egypt's sovereign territory. [...]
    With the crumbling of Mubarak's government Israel has lost a cold but tough partner. Mubarak also had difficulty imposing authority on Sinai, but his deposers and heirs aren't even trying. As long as Israel held the Gaza-Egypt border, a reasonable modicum of security prevailed along the border between Rafah and Eilat. Now there is no Egyptian army threatening Eilat, but Hamas, together with "rogue" organizations like the popular resistance committees and Islamic Jihad, Hezbollah, Iran and other terror groups, have created an intolerable situation.
    Israel does not border on the Suez Canal or the Nile. Egypt is a hostile state that enables Israel's enemies to attack it. The American-run multinational force is useless. So will NATO forces be if they are sent on peace policing missions. Without Mubarak, and with Hamas in Gaza, with a Jordanian king fearing for his throne and an American administration that doesn't believe in Israel's judgment, what comes next could be even worse."

- Israel, invest in big fences, Yigal Walt (Ynet) - "The halcyon days of Oslo and dreams of a “New Middle East” and open borders between Israel and its neighbors are long gone".
http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4110949,00.html
   "Thursday’s bloody terror offensive in southern Israel marks the second time in recent months where the Jewish state had been caught off guard in the face of infiltration. Earlier this year, unarmed masses breached the Syrian border with incredible ease, roaming freely in Israeli territory for long hours. This time around, the consequences were much graver.
    Israel’s porous boundaries have devastating strategic implications. In the south, the largely unguarded border had been maligned by human trafficking, drug smuggling, a growing wave of illegal immigration, and most recently terrorist infiltration. The border issue may soon become over more acute on the most basic level, with Palestinians potentially marching towards Israel en masse in the wake of a UN declaration of statehood.
    As Ehud Barak famously declared in the past, Israel is akin to a “villa in the jungle,” struggling survived amid a sea of brutality, hostility and backwardness. This observation appears more relevant than ever these days with the Middle East sinking into unprecedented chaos. Moreover, as recent events taught us, regional developments unrelated to Israel may prompt Arab aggression aimed at our borders.
    In the abovementioned Syrian case, Assad broke from tradition by allowing masses of local Palestinian refugees to reach the border area, in an apparent attempt to draw attention away from atrocities committed against his own people. Similarly, Thursday’s offensive in the south appears to have some connection to growing tensions in the Sinai Peninsula and the struggle between terror groups and Egypt’s rulers.
    Mideastern Affairs expert Guy Bechor noted that local Bedouins in the Sinai are cooperating with Jihadist groups currently flourishing in the area and fighting Egyptian troops. These Global Jihad forces have much in common with Gaza’s terrorists, producing a lethal, explosive brew. Indeed, the Sinai today is one of the world’s most dangerous regions, Bechor warns.
    Yet another volatile front is the Lebanese border, which may erupt at any time as result of external considerations, be it Iran’s efforts to draw attention away from its nuclear program or a Hezbollah diversion in the wake of the Hariri tribunal and charges that group members were behind the former PM’s assassination.
    Given this grim regional reality, Israel must take action, quickly. The halcyon days of Oslo and dreams of a “New Middle East” and open borders between Israel and its neighbors are long gone; instead, we are facing a Mideast that is crueler and more dangerous than ever. As it did in the face of Palestinian murderousness in the past decade, Israel’s government must embark on a national project aimed at building large, effective fences around much of the country.
    The notion of fences may be unsavory to many of us, but ignoring reality would not be a wise move. Should we fail to protect our villa by all means necessary, we shall find ourselves increasingly vulnerable to the Arab jungle around us."

- Palestinian Arabs respond to terror attack with glee (Elder of Ziyon) - "I have yet to find a single expression of sadness or condemnation for the attack".
http://elderofziyon.blogspot.com/2011/08/palestinian-arabs-respond-to-terror.html
   "The talkbacks on Palestinian Arab news sites are filled with happiness and glee at the murder of Israelis today near Eilat. And not only the Hamas or Islamic Jihad oriented sites, but the Fatah-leaning sites as well. Palestine Press Agency, which is a Fatah-leaning site, has commenters saying:
    - "God praise the [Hamas] Al-Qassam Brigades" (they have not taken responsibility)
    - "Our Lord is with the heroes"
    - "[I] call for resistance in the Gaza with rocket fire and suicide bombings and the Glory of God and His Messenger"
    - "Tribute to the Heroes of each attack and no matter what their affiliation"
    - "God is great and victory is coming"

    By far the most popular comment in the Hamas-oriented PalTimes is "God is great." Firas Press has a numbr of "God is Great" comments as well as one referring to the victims as "monkeys." The popular Paldf.net forum site has hundreds of messages of praise as well as digging up every possible scrap of rumor they can find.
    I have yet to find a single expression of sadness or condemnation for the attack. One person thought that it was "suspicious" and implied it was a Zionist false flag attack to be a pretext for invading Egypt or Gaza; that's the closest I could find to a reservation about the attack. Everyone else is pouring out happiness and congratulations to the heroic terrorists."

- Attentats - Commentaires haineux sur Le Monde.fr - "On ne va pas plaindre l'occupant et le colonisateur israélien passé maître dans l'art de la désinformation".
http://www.lemonde.fr/proche-orient/reactions/2011/08/18/cinq-israeliens-blesses-dans-l-attaque-d-un-bus_1560847_3218.html
- Admirateur (17h47)
   "Quand on sème le vent on récolte la tempête. On ne va pas plaindre l'occupant et le colonisateur israélien passé maître dans l'art de la désinformation. Les palestiniens se battent depuis plus 60 ans pour que leur droit à un état et au retour des réfugiés soit acceptés. Ils ont toute mon approbation et mon admiration."
- roland Munier (18h18)
   "[...] Les Israeliens ont designer davance les responsables de cette action terroriste, car cela leur convient pour les represailles a venir ce soir ou demain.bombarder dans la masse"
- TOLSTOI (18/08/11 19h17)
   "Si Israël quittait la Palestine (frontières de l'ONU de 1946) il n'y aurait plus d'attentats ... C.Q.F.D. .. C'est pourtant facile à comprendre ! Je ne comprend pas que les Israéliens ne comprennent pas ! Même un âne comprendrait cela !"
- H. Sterne (18/08/11 19h20)
   "En représailles, Israël vient de tuer six habitants de Gaza, à 300 km de là. Des gens qui n'étaient évidemment pour rien dans ces attentats. Gaza est un réservoir d'otages, une sorte de cage aussi où on tue ceux qui approchent des barreaux."
- Joker (18/08/11 20h39)
   "Logiquement ceux qui sont horrifiés par ces attentats vont bien sûr condamner les crimes commis par l'armée Israélienne à Gaza ou récemment dans le Golan Syrien! [...]"
- diedey (18/08/11 21h10)
   "On se demandait combien de morts serait necessaire à Israël: six pour le moment: activiste, terroriste, palestinien: cela revient à peu près au même pour l'IDF qui confond tous les arabes, surtout s'ils sont issu de l' "entité hostile" nommée Gaza où on peut expérimenter à peu près toutes les attaques et toutes les perversité, blocus, punition collective, privation de liberté pour 1,5 millions de personnes, tir meurtriers de sniper à la frontière, mais chut, les victimes sont les israéliens"
- Gérard BARBIER (18/08/11 21h16)
   "Israël n'a-t-il jamais pratiqué l'opération plomb durci ou l'attaqaue du sud Liban massacrant des femmes et des gosses au phosphore blanc et armes à sous munitions,au su et au vu du monde entier [...]"
- MARC VILLARD (18/08/11 22h57)
   "J'en ai assez que les résolutions de l'ONU ne soient pas appliquées. J'espère ne pas en avoir assez, bientôt, d'un Pays qui devrait pourtant savoir ce qu'est l'immonde !"
- JULES (18/08/11 23h47)
   "[...] Certes construire des logements ne tue pas des gens comme le fait l'attentat d'Eilat, mais cela détruit des maisons palestiniennes, condamne des familles à la pauvreté, à la misère. Comparons l'espérance de vie en Israël et en Palestine ou encore dans le Bantoustan de Gaza..."
Commentaire discordant :
- Gregory (18/08/11 22h18)
   "La lecture de ce titre du Monde ainsi que les nombreuses réactions suscitées me donnent envie de VOMIR. Comment ces journalistes osent-ils titrer en commençant par "Israel tue ..." alors même que les faits sont un attentat commis contre Israel. Je suis outre quand je vois la façon dont le Monde traite ce sujet, et ce titre est un chef d'oeuvre de détournement et de désinformation. Je suggère a tous les lecteurs de consulter les titres d'autres journaux, juste pour comparer."


France

- Le trouble passé de Coco Chanel refait surface, Nicole Vulser (Le Monde) - "La nouvelle biographie, nourrie d'archives françaises, anglaises, allemandes et américaines, met l'accent - fait nouveau - sur l'antisémitisme de Coca Chanel".
http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/08/17/le-trouble-passe-de-coco-chanel-refait-surface_1560458_3234.html
   "Un petit parfum de déjà-vu. Coco Chanel, la plus connue des créatrices de mode françaises, aurait été une espionne nazie pendant la seconde guerre mondiale, affirme Hal Vaughan, un journaliste américain né en 1928, qui vit en France, dans une biographie parue mardi 16 août aux Etats-Unis. Sleeping with the Enemy, Coco Chanel's War ("au lit avec l'ennemi, la guerre de Coco Chanel") est le cinquante-septième ouvrage consacré à Gabrielle Bonheur Chanel.
    Les sympathies troubles de la grande dame de l'élégance avec l'occupant tout comme son histoire d'amour avec un officier nazi, le baron Hans Günther von Dincklage - surnommé "Spatz" ("chéri") étaient déjà connues. La BBC les avait expliquées dès 1995. Le groupe Chanel n'a jamais nié cette liaison en précisant même, mardi, que ce dernier "était anglais par sa mère et qu'elle l'avait connu avant guerre".
    Le nouvel ouvrage affirme qu'en 1940, Coco Chanel, âgée de 57 ans, est recrutée par l'Abwehr, le service de renseignement de l'état-major de l'armée allemande - elle devient l'agent F-7124, nom de code Westminster -, tout comme son ex-amant, le duc du même nom. Le biographe américain écrit qu'elle va en Espagne en août 1941 avec un autre espion, le baron Louis de Vaufreland, ex-mouche de la Gestapo au Maroc, pour recruter de nouveaux agents. Elle espère obtenir en échange la libération d'un neveu prisonnier dans un camp allemand. Selon Hal Vaughan, c'est d'ailleurs "Spatz" qui lui a permis, durant l'Occupation, d'être la seule Française à vivre à l'année à l'hôtel Ritz, alors réquisitionné par les Allemands.
    Espionne ? Coco Chanel a toujours nié avoir collaboré avec les nazis. Edmonde Charles-Roux, dans la biographie - L'Irrégulière - qu'elle lui consacrait en 1974, parlait déjà de l'opération Modelhut ("chapeau de couture") en la décrivant comme une Mata Hari au petit pied. A-t-elle été utilisée, en se rapprochant du premier ministre britannique Winston Churchill, pour jouer les intermédiaires entre les Alliés et les Allemands dans la perspective d'un accord de paix ? S'agissait-il d'une énième tentative sans lendemain pour mettre fin à la guerre ?
    A la Libération, Coco Chanel est passée brièvement entre les mains des Forces françaises de l'intérieur. Arrêtée pour crimes de guerre, elle n'a jamais été condamnée, grâce à l'intervention de Churchill. Elle s'est exilée pendant neuf ans en Suisse avant de revenir à Paris.
    La nouvelle biographie, nourrie d'archives françaises, anglaises, allemandes et américaines, met l'accent - fait nouveau - sur l'antisémitisme de Coca Chanel. "Elle devint riche en se faisant apprécier des très riches, et partageait leur détestation des juifs, des syndicats, des francs-maçons, des socialistes et du communisme", maintient Hal Vaughan. Une hypothèse balayée par la maison Chanel, qui proteste : "Comment aurait- (elle) pu nouer des relations avec la famille propriétaire - les Wertheimer - ou avoir pour amis intimes la famille Rothschild, le photographe Irving Penn ou l'écrivain Joseph Kessel ?"
    L'histoire a déjà été racontée : Coco Chanel a utilisé les lois raciales pour tenter de prendre le contrôle de la marque de parfum Chanel N° 5, propriété des frères Wertheimer, industriels juifs réfugiés aux Etats-Unis pendant l'Occupation. Pour garder leur bien malgré "l'aryanisation" de leur patrimoine, ils avaient placé un prête-nom à la tête du groupe et Coco Chanel avait dénoncé cette manoeuvre. "Elle ne s'était pas résignée à avoir cédé ce qu'elle considérait comme "ses" parfums", concède le groupe. "Quand l'occasion de profiter d'une loi lui permettant de reprendre "son oeuvre" s'est présentée, elle l'a saisie... et a d'ailleurs échoué." Elle ne les a pas gardés. Et Chanel de préciser que "cela n'a finalement pas entaché ses relations avec la famille propriétaire, puisqu'elle lui cédera sa maison de couture dans les années 1950".
    Edmonde Charles-Roux a qualifié cette nouvelle enquête, mardi, sur France Inter, de "bombe à retardement" qui prouve matériellement des compromissions dont on ne pouvait parler qu'à mots couverts. Une autre biographe, l'Anglaise Justine Picardie (Coco Chanel, the Legend and the Life, 2010), qui a eu accès aux mêmes archives, n'a pas dressé un tel portrait à charge.
    Pour Paul Morand, "Coco" était l'ange exterminateur de la mode du XIXe siècle. "Tyrannique, machiavélique, je ferai une très mauvaise morte, car une fois dessous, je m'agiterai, je ne penserai qu'à retourner sur la terre et à recommencer", avait-elle prévenu. C'était vrai."


Israël

- Les dirigeants de la protestation ont entamé des préparatifs en vue de la création d’un parti, Ben Caspit (Maariv)
http://www.ambafrance-il.org/REVUE-DE-PRESSE-Jeudi-18-aout-2011.html
   "Certains dirigeants de la « protestation des tentes » ont entamé des préparatifs et des contacts préliminaires en vue de la création d’un parti politique qui pourrait se présenter aux prochaines élections législatives. Cette démarche n’en est qu’à son tout début et se fait pour l’heure dans le plus grand secret. A ce stade, seule une partie des dirigeants de la protestation y est associée et il n’y a pas encore de consensus à ce sujet. Les dirigeants de la contestation comprennent que les sentiments des Israéliens et leur soutien massif à la contestation peuvent être transformés en force politique s’il s’avère que le gouvernement n’est pas prêt à mettre en œuvre un véritable changement de priorités.
    Ceux qui s’opposent à cette démarche estiment que la création d’un parti politique nuira à la « pureté de la lutte » et se heurtera à des critiques. Ceux qui y sont favorables affirment en revanche qu’un parti qui aurait pour plateforme politique les principes défendus par la contestation prouverait qu’aucun parti existant ne représente véritablement les « tentes ». Au cours des deux prochaines semaines, et en fonction des progrès de la commission Trajtenberg, il sera décidé de donner suite ou non à ces préparatifs."
- Israeli protesters clash with police (Euronews "No Comment", Vidéo 1mn52)
http://www.dailymotion.com/video/xkl02l_israeli-protesters-clash-with-police-no-comment_news

- "Un Tramway nommé Désir" : plus pour très longtemps !, Melanie Lidman (JP)
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1302257416514&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
   "Sabrons le champagne ! Les usagers hiérosolomytains pourront enfin profiter de leur nouveau tramway à partir de ce vendredi 19 août, dès 5h30. Il aura fallu attendre 10 ans pour cela, 10 ans de travaux interminables, de chamailleries de toutes sortes, de scepticisme, et de protestations de riverains et marchands excédés devant les multiples désagréments occasionnés. [...] Pour Naomi Tsur, l'adjointe au maire, l'heure est à la célébration. Si tout se passe comme prévu, Jérusalem "sera en tête de toutes les autres villes d'Israël", affirme-t-elle. Les responsables des transports publics affichent, quant à eux, un certain optimisme : le tramway changera incontestablement la donne. Après le changement des feux de signalisation, plus de 50 lignes de bus seront modifiées, afin de permettre une meilleure coordination et fluidité du trafic. [...]"

- Leading Labor Party candidate: I don't see Israeli settlements as a crime, Gidi Weitz (Haaretz)
http://www.haaretz.com/print-edition/news/leading-labor-party-candidate-i-don-t-see-israeli-settlements-as-a-crime-1.379200
   "Prospective Labor Party leader Shelly Yachimovich has defended her party's role in the establishment of the settlements, saying, "I certainly do not see the settlement project as a sin and a crime." In an interview to be published in Haaretz Magazine Friday, MK Yachimovich added, "In its time, it was a completely consensual move. And it was the Labor Party that founded the settlement enterprise in the territories. That is a fact. A historical fact." The interview took place against the backdrop of her candidacy to head the Labor Party and the proliferation of tent protest camps across the country, with Yachimovich addressing the settlement issue, her public image and the long-term prospects for her party. [...]"
- Disagreement over settlements surface in Labor Party race, Jonathan Lis (Haaretz)
http://www.haaretz.com/print-edition/news/disagreement-over-settlements-surface-in-labor-party-race-1.379446
   "[...] MK Amir Peretz, also a Labor leadership candidate, said "the settlers aren't sinners; they were sent by Israel's governments. But Labor must say clearly: The settlement project is an injustice to Israeli society, to the underprivileged neighborhoods and towns in the periphery, which are the real Zionist goal." Leadership candidate MK Isaac Herzog said on Israel Radio: "Yachimovich's position is not part of Labor's world view. If you want to run the party you must have opinions on state affairs and the peace issue." Businessman Erel Margalit, another candidate, said by "aligning herself with the settlements she has betrayed the party's ideology." [...]"


Judée-Samarie

- En terrain hostile, Tovah Lazaroff (JP) - "On pourrait croire que la démolition d'une cinquantaine de maisons, pour la plupart en préfabriqué, n'a que peu d'impact sur l'avenir de la Judée-Samarie. Et encore moins sur le développement d'un Etat palestinien. Mais elle touche à l'essentiel des controverses sur la présence juive dans la région".
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1302257416289&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
   ""Migron : notre combat", peut-on lire sur une bâche rouge et noire placée au bord de la route 60 qui relie les implantations de la région de Binyamin à la capitale. L'avant-poste, composé d'une cinquantaine de familles installées au sommet d'une colline reculée, s'est retrouvé malgré lui, ces dernières semaines, au centre de l'intérêt médiatique et au cœur d'une actualité sociale et diplomatique surchargée.
    L'arrêt de la Cour suprême, émis mardi 2 août, souligne le caractère illégal de l'implantation, et impose son évacuation sous huit mois. L'Etat a donc jusqu'à fin mars pour reloger ses habitants, délai qu'il juge insuffisant. Cette décision donne pleinement satisfaction à la pétition de l'ONG La Paix maintenant, à l'origine de la procédure en 2006. Si le ministère de la Défense s'est plusieurs fois engagé à démanteler certains avant-postes illégaux de Judée-Samarie, c'est la première fois que la justice israélienne en ordonne la destruction, parmi la centaine construite ces deux dernières décennies.
    A Migron, on assiste, depuis la décision de justice, à une pléthore de soutiens d'hommes politiques conservateurs. Celui du président de la Knesset Reouven Rivlin, qui a demandé la reconnaissance officielle de l'implantation en pleine séance parlementaire. Ou du député Danny Danon qui s'est engagé à plaider la cause de l'implantation auprès du Premier ministre cette semaine. Sans résultat jusqu'à présent : la décision est théoriquement définitive car émise par la juridiction ultime du pays. Théoriquement, puisque l'affaire pourrait être portée devant un panel élargi de juges, mais l'option semble peu probable.
    On pourrait croire que la démolition d'une cinquantaine de maisons, pour la plupart en préfabriqué, n'a que peu d'impact sur l'avenir de la Judée-Samarie. Et encore moins sur le développement d'un Etat palestinien. Mais elle touche à l'essentiel des controverses sur la présence juive dans la région. Parmi ces controverses : le statut des terres situées à l'est de la Ligne verte, l'influence du pouvoir judiciaire sur cette question politique et diplomatique, l'éventualité de violences si le spectre des bulldozers se rependait dans les différentes implantations. Déjà, en 2006, la destruction par l'armée de neuf maisons d'Amona (autre avant-poste illégal de la région de Binyamin) avait mené à de violents affrontements avec des jeunes des localités alentour et donné lieu à plus d'une centaine de blessés.
    Les débuts de Migron datent de mai 2001. A l'époque, l'absence de permis n'inquiétait pas ses fondateurs : une aide financière publique leur permettait raisonnablement de compter sur une régularisation à venir. Le ministère de la Défense avait même entamé une procédure en ce sens. Mais, processus de paix oblige, aucun avant-poste n'a été légalisé. Puis l'arrivée au pouvoir du gouvernement Netanyahou va relancer la question. Sa position officielle consiste à refuser la création de nouvelles implantations tout en permettant l'agrandissement de celles d'ores et déjà existantes. Zone d'ombre : quid des avant-postes existants mais non officiels ? Au sein de la majorité, beaucoup optent pour une légalisation pour les localités situées sur des terrains publics. Mais - comme à Migron - quand l'avant-poste se situe sur une terre palestinienne, la normalisation est impossible.
    Pour leur défense, les habitants soutiennent que la plupart des propriétés étaient abandonnées, et que les autres ont été achetées. La Paix maintenant conteste, elle, toute preuve d'une telle acquisition et considère donc les terres en question comme palestiniennes, classification reprise par l'Etat et confirmée il y a quelques jours par la Cour suprême. Pour la gauche, cette décision est une preuve de l'indépendance du système judiciaire israélien. Mais la droite y voit la marque d'une cour politisée, ancrée dans son rôle d'opposition au gouvernement.
    Autre préoccupation : que l'arrêt fasse jurisprudence pour d'autres avant-postes illégaux (comme Givat Assaf, à quelques kilomètres de Migron), voire même des implantations officielles de Judée-Samarie, comme Ofra. Il pourrait également avoir des conséquences politiques majeures, en coupant Netanyahou d'une partie de la coalition gouvernementale et de sa base électorale, dont les 350 000 habitants juifs de Judée-Samarie constituent une source conséquente. Tout cela au moment où le Premier ministre s'engage à des concessions territoriales pour convaincre l'Autorité palestinienne de renoncer à ses velléités de reconnaissance devant l'ONU, le mois prochain.
    Six ans après le désengagement du Goush Katif et de quatre villages au nord de la Samarie, et moins d'un an après la fin du moratoire sur la construction à l'est de la Ligne verte, les habitants de Judée-Samarie réalisent à nouveau la fragilité de leur présence dans la région. D'où une mobilisation massive en faveur de Migron, de ses 50 familles et de ses ruelles pavées encombrées de vélos et de poussettes."


"Processus de paix"

- Septembre ? Israël n’a pas de stratégie, Yossi Yehoshua (Yediot Aharonot) - "Le rapport, qui critique l’échelon politique, fait cependant l’éloge de Tsahal pour ses préparatifs en vue du mois de septembre".
http://www.ambafrance-il.org/REVUE-DE-PRESSE-Jeudi-18-aout-2011.html
   "Les Palestiniens sont sur le point de déclarer unilatéralement l’indépendance d’un Etat en septembre, et Israël n’a pas de stratégie claire face à cette initiative. C’est ce qui ressort d’un rapport spécial qui sera publié la semaine prochaine par la commission des affaires étrangères et de la défense de la Knesset.
    Selon ce rapport, Israël continue à faire entendre deux voix différentes : celle du ministre de la Défense, Ehud Barak, qui affirme que les événements de septembre aggraveront les menaces qui pèsent sur Israël et que, par conséquent, il faut dialoguer et reprendre le processus de paix ; et celle du ministère des Affaires étrangères, Avidgdor Liberman, qui affirme que c’est là un caprice d’Abou Mazen et que si on avait fait pression sur ce dernier, on aurait pu empêcher la démarche palestinienne.
    Selon le rapport, la situation actuelle présente de nombreux dangers pour Israël et pour sa position sur la scène internationale et, en premier lieu, le risque d’un affrontement prolongé avec les Palestiniens qui aurait des répercussions face à la Jordanie et à l’Egypte. Un tel développement risquerait aussi d’entraîner une mobilisation contre Israël qui limiterait sa marge de manœuvre sur la scène internationale.
    Le rapport, qui critique l’échelon politique, fait cependant l’éloge de Tsahal pour ses préparatifs en vue du mois de septembre. Les membres de la commission soulignent toutefois qu’il faut envisager la possibilité que les manifestations soient d’une envergure telle qu’il faudra mobiliser des forces bien plus importantes que celles dont dispose le commandement militaire de la région centre.
    Le chef d’état-major, Benny Ganz, qui s’exprimait hier [mercredi] devant le cabinet restreint de sécurité, a déclaré que l’armée se prépare à toute éventualité et, dans le même temps, mène des contacts avec les Palestiniens pour tenter d’éviter la violence."

- Le leader palestinien Marwan Barghouthi met en garde les Etats-Unis contre un veto à l'ONU, Hossam Ezzedine (AFP) - "Le veto américain relèverait du terrorisme et constituerait une agression".
http://www.lesechos.fr/economie-politique/infos-generales/monde/afp_00371362-exclusif-afp-le-leader-palestinien-marwan-barghouthi-met-en-garde-les-etats-unis-contre-un-veto-a-l-onu-207874.php
   "Marwan Barghouthi, un des plus populaires leaders palestiniens, emprisonné en Israël, met en garde les Etats-Unis contre un veto américain à la demande d'adhésion d'un Etat palestinien à l'ONU. "Le veto américain relèverait du terrorisme et constituerait une agression contre la volonté de la communauté internationale dans la mesure où les quatre cinquièmes de l'humanité soutiennent un Etat palestinien", estime Marwan Barghouthi dans un entretien exclusif à l'AFP via ses avocats. [...]
    Un tel veto "marquerait un tournant dans les relations américano-palestiniennes. Les Palestiniens ne pourront plus se fier au parrainage des Etats-Unis dans le cadre d'un processus de paix qui a fait faillite à cause des Américains et d'Israël", avertit M. Barghouthi. En agissant ainsi, les Etats-Unis "auront tout à perdre s'ils s'opposent à la communauté internationale pour défendre l'occupation (israélienne), la colonisation et le système discriminatoire et raciste en Israël", explique-t-il. [...]
    "Les Arabes, le monde musulman et tous ceux qui aiment la liberté, la paix, la justice, devraient participer à des marches avec des millions de manifestants au moment du vote à l'ONU", plaide-t-il. "La bataille pour l'intégration à l'ONU de la Palestine, ne doit pas être menée uniquement par le président (Mahmoud Abbas), c'est l'affaire de tous les citoyens, de tous les Arabes qui doivent lutter sur le terrain", analyse-t-il. M. Barghouthi considère que cette initiative constitue une occasion pour les Palestiniens de "se libérer eux-mêmes".
    Il admet que l'intégration d'un Etat palestinien à l'ONU "ne suffira pas à elle seule pour accorder aux Palestiniens leurs droits nationaux". "Nous sommes absolument persuadés que les efforts politiques et diplomatiques n'aboutiront à rien sans une résistance sur le terrain", répète-t-il. Mais à ses yeux, elle offre la chance
de défier "le monopole américain sur la question palestinienne et le chantage exercé par Israël en s'adressant directement à la communauté internationale". "Elle est une étape importante, un bond en avant vers une nouvelle stratégie d'action des Palestiniens (...) et marquera un changement radical dans la façon de traiter avec Israël", espère-t-il.
    Sur le plan intérieur palestinien, Marwan Barghouthi juge "scandaleux" la division interpalestinienne et l'échec jusqu'à présent de la tentative de rapprochement entre le Fatah et les islamistes du Hamas, qui contrôlent la bande de Gaza, malgré un accord de réconciliation conclu en mai dernier au Caire. "Malheureusement, certains dirigeants ne comprennent pas que nous en sommes encore au stade de la libération nationale et que, pour avancer, nous avons besoin de l'unité du peuple palestinien, de ses mouvements et de ses forces sociales et politiques contre l'occupation"."

- Mother of terrorist "Martyr": Son wanted to marry the "70" Dark-Eyed Virgins of Paradise (PMW)
http://www.palwatch.org/main.aspx?fi=157&doc_id=5491
   "The special Palestinian Authority TV program, The Best Mothers, that is being broadcast during Ramadan, interviewed the mother of a bomb maker from Fatah's military wing, the Al-Aqsa Martyrs' Brigades, named Yusuf Shaker Al-Asi. Al-Asi was killed in a shootout when the Israeli army tried to arrest him. The mother explained that when she spoke to her son about marriage, he said he did not want to marry only one earthly wife, but that he preferred to marry the "70." This refers to the 72 Dark-Eyed Virgins, who, according to Islamic tradition, marry the Martyrs in Paradise. Click to view [...]"

- Will Ariel Block Peace?, Elliott Abrams (lawyer and policy analyst who served in foreign policy positions for two Republican U.S. Presidents, Ronald Reagan and George W. Bush; currently senior fellow for Middle Eastern studies at the Council on Foreign Relations) - "this was a reminder that the administration appears to have learned nothing, and still does not understand the difference between expanding a settlement physically and expanding the population of a settlement by building in already-built-up areas" ; "In the real world those new units in Ariel do not make a final peace agreement harder".
http://blogs.cfr.org/abrams/2011/08/16/will-ariel-block-peace/
   "If there is a single issue that explains the failure of Obama policy toward Israel, it is settlements. And this week the administration once again indulged itself in a knee-jerk reaction that displayed incomprehension in a way that harms U.S.-Israeli relations without doing the slightest bit of good for the Palestinians.
    This week Israel announced a plan to construct 277 more housing units in Ariel, a settlement that is a town of 18,000. The new units are to be constructed in the center of  the town, it was also announced. This is a significant fact, for construction of new units at the edges of the town would mean that the security perimeter would need to be extended to protect the new housing and the people in it. But this will not happen, and Ariel will expand in population but not in land area. It is not, in the usual Palestinian Authority parlance, “taking more Palestinian land.”
    When I worked on these issues in the Bush Administration, we discussed settlement expansion thoroughly with the government of Israel and (as I have explained elsewhere) reached agreement on some principles. These were that Israel would create no new settlements and that existing settlements would expand in population but not in land area. New construction, that is, would be in already-built-up areas, and the phrase we used was “build up and in, not out.” The usual complaints about new construction in the settlements were that “it is making a final peace agreement impossible” or at least more and more difficult by “taking more Palestinian land” that would have to be bargained over in the end and whose taking would right now interfere with Palestinian life and livelihoods. We understood that there would never be a long construction freeze even if there might be some brief ones, for the settlements–especially the “major blocks” that Israel will keep–are living communities with growing families. So we reached that understanding with the Israelis: build up and in, not out. That way whatever the chances of a peace deal were, construction in the settlements would not reduce them.
    This agreement the Obama Administration ignored or denounced, suggesting at various times that it never existed or that, anyway, it had been a bad idea and all construction must be frozen–even in Israel’s capital, Jerusalem. (To be more accurate, construction by Israeli Jews was to be frozen; construction by Palestinians could continue). No Israeli government could long accept such terms and though the Netanyahu government did agree to a short and partial freeze, when that failed to bring the PLO back to the negotiating table the freeze was ended. This Obama fixation with a construction freeze proved disastrous because the president and his secretary of state took the view that it was a precondition for negotiations without which the Palestinians could not be expected to come to the table. Of course once that American position was announced the Palestinian leadership had to adopt it, lest they appear weaker in asserting Palestinian “rights” than Washington.
    The argument over the construction freeze embittered U.S.-Israel relations and killed any chance of negotiations in 2009 and 2010. Late in 2010 the policy was finally abandoned. Nothing has replaced it, and no one really knows what administration policy is these days beyond getting past September’s expected UN General Assembly vote on Palestinian statehood.
    But if the fixation on freezing construction in settlements is no longer the main pillar of Obama policy, those old sentiments and statements linger on. Thus did the announcement that new units were to be built in Ariel evoke a new denunciation from Washington. To be sure, it did not come from the president himself and was a pretty low-key affair; it did not suggest that new a crisis in bilateral relations loomed. But this was a reminder that the administration appears to have learned nothing, and still does not understand the difference between expanding a settlement physically and expanding the population of a settlement by building in already-built-up areas.
    Why not? Without dealing with the question of which individual policymakers are responsible for this foolish policy, it does seem that the policy is based on the view that every square foot of land controlled by Jordan before the 1967 war is rightly part of “Palestine,” so that every Israeli action on that land is wrong. This view also explains why the president believes peace negotiations should start from the “1967 borders.” But there are no “1967 borders,” just the 1949 Armistice lines that all sides agreed in 1949 were not to be regarded as permanent. It is reasonable to have the 1949 map on the table when negotiations begin, and to have next to it the 2011 map, and to seek a compromise. It is not reasonable to view it as a violation of international law and a threat to a peace agreement every time bricks and studs and drywall show up at the center of an Israeli settlement in the West Bank. In the real world those new units in Ariel do not make a final peace agreement harder."

- The Israeli protest is indifferent to the Palestinians, Yisrael Harel (heads the Institute for Zionist Strategy in Jerusalem and writes a weekly political column in Haaretz) - "My sense is that the Israeli public is fed up with the Israeli-Palestinian conflict and no longer obsessed with it. Most Israelis want to concentrate on domestic affairs like the economy, education and welfare" ; "Gone are the days when most Israeli and international media could compel Israelis to concentrate only on the conflict, at the expense of their economic well being".
http://www.bitterlemons-international.org/inside.php?id=1429
   "Until Barack Obama entered the White House, Abu Mazen (PLO Chairman Mahmoud Abbas) was obliged, under pressure from the United States and the Quartet, to negotiate with Israel. But his goal was never to reach agreement. This was graphically illustrated in late 2008 by his refusal to accept the most generous set of principles ever proposed by an Israeli prime minister, Ehud Olmert. Hence Abu Mazen exploited the irresponsible decision by an inexperienced American president to back the Palestinian position, ceased direct contact with Israel, maneuvered it into a corner and proclaimed that it rejected peace.
    This was yet another demonstration that the long-term strategy of the Palestinians is to wait. The future, they believe, is on their side, whether for demographic reasons or because of the well-established theory that Israel is growing weaker due to drastic internal polarization and endless, exhausting struggles with the Arabs, and that it will therefore eventually lose its will to survive: the crusader doctrine at its best.
    Quite a few Israelis anticipated that the "Arab spring" would generate, alongside a flowering of democracy among our neighbors, more openness and tolerance, less hatred toward the Jewish state on the part of Arabs and particularly Palestinians, and less inclination to negate its very existence. In reality, the outcome was the opposite. Mass demonstrations on the streets of Tunis, Cairo, Tripoli and Homs added yet another dimension to Abu Mazen's reticence to negotiate: a fear that the muqataa in Ramallah would become another Tahrir Square. If the demonstrations threaten veteran regimes that are ten times stronger than that of Abu Mazen, then this would undoubtedly happen to him, too--with Hamas and Islamic Jihad fanning the flames.
    The unilateral appeal to the United Nations to recognize a Palestinian state offers clear proof of the PLO leadership's submission to the hysteria of the masses. This is the main reason why the senior echelon of the PLO rejects the heavy pressure applied by the US to avoid this hasty step. Indeed, a sudden change of direction now, when the train is speeding forward, could derail Abu Mazen, with an uprising toppling the Palestinian Authority. This may not be the main reason for the Palestinian refusal to negotiate, but it undoubtedly strengthens the strategy of a total break in contact, at least at the official level, with regard to a permanent status agreement between the state of Israel and the PLO.
    Here there enters into the picture another variable, a particularly interesting yet not quite decipherable one, that could affect events. The Israeli protest movement recently presented the government with demands that are restricted solely to economic welfare, particularly that of the middle class with its claim that it is discriminated against. Not a word about the peace process. Indeed, even though the protest movement's originators and leaders are leftists--in some cases on the extreme left--they insist on not allowing their protest to touch the Palestinian issue.
    This is not easy: the protesters are subject to heavy political and media pressures to do so. After all, they read in the columns of the most senior commentators and in the "fatwas" of renowned authors like Amos Oz and Meir Shalev that all their economic troubles can be traced to the settlements. The erosion of the middle class, like the pitiful salaries of the hospital interns, are caused by the over-funding of the settlement project. If Israel would just dismantle the settlements and withdraw from the West Bank, huge resources currently invested there would be freed up for funding cheap housing, improving education, health and welfare, and strengthening deprived sectors of society. Indeed, since complete withdrawal would bring about peace with the Palestinians, it would be possible to move funds from defense spending and settlements toward establishing a welfare state without parallel.
    To date--mid-August--the smart young demonstrators have rejected this advice and refused to present these simplistic ideas to the government. Of course it's still possible that the protest movement will become enmeshed in routine, yield to the media and embrace this demagogic theory. At that point, it will be interesting to see the result. Will this protest movement, having proved its roots among the people and united many diverse sectors of Israeli society, remain united? Or will it disintegrate along the lines of the political views that divide Israeli society when it comes to issues of peace and security?
    My sense is that the Israeli public is fed up with the Israeli-Palestinian conflict and no longer obsessed with it. Most Israelis want to concentrate on domestic affairs like the economy, education and welfare. The protest leaders are well aware of this, which is why they keep asking: why aren't the settlers joining our tent cities of protest? Why don't they join our demonstrations? After all, spiritual leaders of the religious right like rabbis Beni Lau, Yuval Sherlo and Avi Gisser were warmly received when they addressed protest demonstrations.
    If indeed the protest movement avoids taking a stand concerning the conflict with the Palestinians, we may encounter another interesting scenario: the Palestinians are liable to discover that they went too far in rejecting the opportunity offered by the generous proposals of Ehud Barak and Ehud Olmert. Gone are the days when most Israeli and international media could compel Israelis to concentrate only on the conflict, at the expense of their economic well being.
    The current combination of a Likud government and a public that is fed up with focusing solely on the future of the territories is not good news for the Palestinians. If the Palestinians try, by renewing violence, to refocus attention on the conflict, they may be bitterly disappointed. The Israel Defense Forces are preparing to deal sharply with this threat and end it quickly--certainly faster than the first intifada and faster than the terrorist war of the early years of this century, when Palestinian terrorism drowned the Oslo accords in rivers of blood and fire."

- Terrorism is proof that the "peace process" has nothing to do with peace (Elder of Ziyon) - "Today's attack - which included an RPG attack on a family in a car, killing two children - has nothing to do with "Palestine"."
http://elderofziyon.blogspot.com/2011/08/terrorism-is-proof-that-peace-process.html
   "Let's imagine that Israel and the PLO had agreed to the boundaries of a Palestinian Arab state back in 2008. Would today's terror attack have still happened? The answer can be seen by looking at where the attack occurred - in the "internationally recognized borders" of Israel. Not in Gaza. Not in the area that the PLO officially claims they want for a state. In fact, the attack was not even in a place that would have been called "Palestine" before the British Mandate.
    People are so used to hearing the phrase "peace process" that they are conditioned to believe the biggest lie of all: that if only Israel would give up more territory, then there would be peace. An agreement, it is widely assumed, would mean no more claims against Israel and a chance for both nations to live side by side in harmony. Today's attack - which included an RPG attack on a family in a car, killing two children - has nothing to do with "Palestine." The entire point of the attack is to kill Jews who enjoy their own national self-determination in the Middle East. As long as Jews live in freedom in the area, they will be attacked. It will simply never end.
    Hamas and Islamic Jihad and the PRC are not going to disappear after a peace agreement is signed. They would continue to attack Israelis, they way that the fedayeen attacked before there was an "occupation." They will continue to find new claims as Hezbollah does with the Lebanese border after Israel withdrew behidn UN-drawn lines. [...]"


Syrie

- Les forces syriennes ont abattu 26 personnes dans un stade (AFP) - "les yeux bandés".
http://www.romandie.com/news/n/_Les_forces_syriennes_ont_abattu_26_personnes_dans_un_stade_180820112208.asp
   "Les forces syriennes ont abattu 26 personnes les yeux bandés dans un stade, et au moins 2.000 au total, au cours de la répression par Damas des manifestations demandant la fin du régime d'Assad, ont annoncé jeudi à l'AFP des sources proches du Conseil de sécurité de l'ONU. Des responsables de l'ONU ont évoqué devant le Conseil de sécurité les détails de la répression menée en Syrie par le régime du président Bachar al-Assad, selon ces sources, alors que le président américain Barack Obama et ses alliés occidentaux ont appelé dans la journée le dirigeant syrien à partir. D'après ce compte-rendu, un adolescent de 13 ans a été tué alors qu'il était emprisonné et des bâtiments publics comme des hôpitaux ont été pris pour cible. [...]"


Turquie

- Netanyahu a tranché : Israël ne présentera pas d’excuses à la Turquie pour les événements de la flottille, Barak Ravid (Haaretz) - « J’ai accepté d’exprimer des regrets et de verser des dédommagements mais, de toute façon, des excuses ne rétabliront pas les relations avec la Turquie ».
http://www.ambafrance-il.org/REVUE-DE-PRESSE-Jeudi-18-aout-2011.html
   "Le Premier ministre, Binyamin Netanyahu, a fait savoir à la secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton, qu’Israël n’adoptera pas la formule américaine destinée à mettre fin à la crise avec la Turquie et ne présentera pas ses excuses pour les événements de la flottille. M. Netanyahu a fait part de sa position à Mme Clinton au cours d’un entretien téléphonique mardi soir.
    Selon un haut responsable israélien impliqué dans les contacts qui ont été menés avec la Turquie ces derniers mois, cette décision est destinée tout d’abord à permettre la publication du rapport de la commission Palmer mise en place par le secrétaire général des Nations Unies. En effet, affirme ce haut responsable, « ce rapport soutient largement Israël, même s’il comporte des critiques, et il est très mauvais pour la Turquie ».
    « Une fois que le rapport aura été publié et que nous en aurons retiré les bénéfices sur les plans diplomatique et médiatique, on pourra s’asseoir à nouveau à la table des négociations avec la Turquie dans de meilleures conditions et toute cette histoire d’excuses pourrait alors prendre une autre tournure », affirme ce haut responsable qui ajoute cependant que la publication du rapport risque de durcir les positions dans les deux camps. En effet, les Turcs, qui s’opposent aux conclusions du rapport, risquent de camper sur leurs positions tandis que le Premier ministre Netanyahu aura du mal à présenter des excuses si le rapport de l’ONU recommande à Israël de n’exprimer que des regrets.
    Suite à la décision du Premier ministre Netanyahu, la Turquie a l’intention de lancer son « plan B » de lutte diplomatique et juridique contre Israël. Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a déclaré hier que les relations avec Israël ne reviendront pas à la normale tant qu’Israël n’aura pas présenté des excuses et dédommagé les familles des victimes. M. Erdogan a également ajouté que le gouvernement turc compte accentuer la pression sur Israël : « Aussi bien le gouvernement turc que les familles des victimes prendront de nouvelles mesures à ce sujet. C’est un nouveau processus qui est sur le point d’être lancé ».
    Selon de hauts responsables du ministère des Affaires étrangères, le Premier ministre Erdogan fait référence à un plan qu’a élaboré ces derniers mois Ankara au cas où Israël refuserait de présenter des excuses. Ce plan prévoit une campagne juridique et diplomatique contre Israël au sein des institutions de l’ONU et notamment auprès de la Cour internationale de La Haye. De même, les familles des victimes seront encouragées à porter plainte contre de hauts responsables israéliens auprès de tribunaux européens.
    Les mesures de représailles de la Turquie comprendront aussi une nouvelle dégradation des relations diplomatiques avec Israël. L’ambassadeur d’Israël à Ankara, Gaby Lévy, quittera ses fonctions dans trois semaines et son remplaçant n’a pas encore été nommé. A Jérusalem on craint en effet que la Turquie rejette le nouvel ambassadeur et, de fait, abaisse ainsi le niveau des relations diplomatiques entre les deux pays.
    La Turquie a également l’intention d’abaisser le niveau de sa représentation diplomatique en Israël. Depuis un an, il n’y a pas d’ambassadeur turc à Tel Aviv et l’ambassadeur adjoint fait office de chargé d’affaires. Or, ce dernier doit quitter Israël dans les prochaines semaines sans être remplacé. Cela signifie que la Turquie sera représentée en Israël par un diplomate au grade subalterne de premier secrétaire. La Turquie envisage d’autres mesures telles qu’une visite médiatisée du Premier ministre Erdogan dans la bande de Gaza au cours de laquelle il exprimera son soutien au Hamas. Le gouvernement turc pourrait aussi aider le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, à obtenir des soutiens au sein de la communauté internationale en vue du vote aux Nations Unies sur la reconnaissance d’un Etat palestinien en septembre.
    Lors de son entretien avec la secrétaire d’Etat américaine, mardi soir, M. Netanyahu a expliqué son refus de présenter des excuses par sa volonté de préserver sa coalition. Selon un haut fonctionnaire israélien, le Premier ministre a dit qu’il n’est pas prêt à se laisser dicter des excuses : « J’ai accepté d’exprimer des regrets et de verser des dédommagements mais, de toute façon, des excuses ne rétabliront pas les relations avec la Turquie ».
    M. Netanyahu a ajouté qu’une formule qui comporterait des excuses à la Turquie ne serait pas approuvée par la majorité des ministres du Forum des huit ou du cabinet restreint. Le ministre des Affaires étrangères, Avigdor Liberman, un des principaux opposants à des excuses à la Turquie, s’est félicité hier soir de la décision du Premier ministre Netanyahu : « Dommage que nous n’ayons pas pris cette décision plus tôt. Ce retard montre que nous n’avons pas confiance en nous ». Le vice-premier ministre, Moshé Yaalon, a lui déclaré que c’est une bonne décision : « Des excuses à la Turquie auraient causé un préjudice stratégique à Israël dans la région ».
    D’autres raisons politiques semblent avoir influencé le Premier ministre Netanyahu. Selon un ministre de premier plan, le Premier ministre aurait pris connaissance il y a quelques jours d’un sondage selon lequel une large majorité des Israéliens s’oppose à des excuses. « Netanyahu doit faire face ces jours-ci à une contestation sociale qui l’affaiblit politiquement, il n’a pas voulu ouvrir un nouveau front face aux Israéliens ». Au bureau du Premier ministre on dément formellement avoir eu vent d’un tel sondage."

- L'armée turque a bombardé des positions kurdes en Irak, Daren Butler (Reuters) - "Plus de 40.000 personnes ont trouvé la mort dans ce conflit depuis que le PKK a pris les armes en 1984" (soit environ cinq fois le bilan du conflit israélo-palestinien pour la même durée).
http://fr.news.yahoo.com/larm%C3%A9e-turque-bombard%C3%A9-60-positions-kurdes-en-irak-080259405.html
   "L'armée turque a lancé dans la nuit de mercredi à jeudi une importante offensive aérienne précédée de tirs d'artillerie sur des positions de séparatistes kurdes dans le nord de l'Irak. [...] Selon le chef d'état-major de l'armée turc, l'artillerie a touché dans la nuit 168 cibles dans la région avant que l'aviation ne pilonne 60 positions en deux vagues. Des camps abritant des dirigeants du PKK figurent parmi ses cibles, dit-on de sources proche des services de sécurité. [...]
    "Notre patience a finalement atteint ses limites. Ceux qui ne prennent pas de distances vis-à-vis du terrorisme vont devoir payer", avait déclaré la veille Tayyip Erdogan, en marge d'une conférence à Istanbul. Plus de 40.000 personnes ont trouvé la mort dans ce conflit depuis que le PKK a pris les armes en 1984."


Europe

- Comment l'ambassadeur d'Israël en Belgique est intimidé (Philosémitisme) - "une partie de la presse est orientée et s’enracine dans son hostilité à Israël".
http://philosemitismeblog.blogspot.com/2011/08/comment-lambassadeur-disrael-en.html
   "L’ambassadeur d’Israël quitte ses fonctions en Belgique en cette fin de mois d’août 2011. Le journal satirique Ubu Pan (18/08/2011) l'a interviewée. Mme Tamara Samash - tout en restant très diplomate - rappelle que l'hostilité est surtout le fait des francophones belges (Wallonie et Bruxelles). Extraits :
   "- Pour rester très laconique, je dirais: avec la Flandre, ça marche, au contraire de Bruxelles et de la Wallonie, où ça ne marche pas. Je ne citerai qu’un exemple malheureux : l’exposition sur l’architecture à Tel-Aviv. Elle a été présentée dans plusieurs pays. Les problèmes ne sont apparus qu’en Turquie et à Bruxelles ! [...] Je crois bien être le seul ambassadeur qui ait été désinvité ! On m’invitait à des événements officiels, mais en dernière minute, on me conseillait de ne pas venir, sous prétexte que ma présence poserait des problèmes de sécurité…
    - Comment réagissiez-vous aux désinvitations ?
    - Par la fermeté. Pas question de se laisser faire. Dans certains cas, je suis passée outre aux désinvitations.
    - Un exemple ?
    - Je me souviens d’un match de basket, à Charleroi, où était présent le club Maccabi de Jérusalem. J’avais donc été désinvitée, mais j’ai refusé de me plier aux ‘conseils’. Cela se passait à l’époque où la mode était aux attentats à la chaussure (en décembre 2008, le président George Bush, en visite en Irak, avait évité de justesse un lancement de chaussures pendant sa conférence de presse – NDLR). J’avais donc emporté une pantoufle, dans l’intention bien arrêtée de la lancer contre d’éventuels agresseurs à la chaussure ! Du reste, cette pantoufle m’accompagnait régulièrement, bien calfeutrée dans mon sac. Je n’ai jamais dû m’en servir – ce qui en dit long sur le degré de menaces, brandi au nom de la sécurité…"

    Quant à L'Université libre de Bruxelles, Mme Samash évoque "l’agitation de minorités qui voudraient rompre les liens entre l’ULB et les universités israéliennes". C'est d'autant plus paradoxal - mais c'en est peut-être la raison - que quatre universités israéliennes dépassent l'Université Libre de Bruxelles dans le classement Shanghaï : l'Université Hébraïque de Jérusalem, le Technion, l'Université de Tel Aviv et l'Institut Weizmann...
   "- Pensez-vous qu’il y a encore moyen de faire entendre raison aux opinions publiques manipulées ?
    - Ce sera très, très difficile. Comme je vous le disais une partie de la presse est orientée et s’enracine dans son hostilité à Israël. Certains n’hésitent pas à récolter de l’argent dans les écoles en faveur de la flottille pour Gaza. Dans les écoles ! Et officiellement ! Vous rendez-vous compte de l’impact de ce laxisme sur la formation intellectuelle des enfants, futurs décideurs de la Belgique ? Vous étonnerez-vous encore que ces mêmes enfants avaleront sans les contredire des discours évoquant ‘le génocide des Palestiniens’ ? Quel génocide ? En 1948, les Palestiniens étaient 800.000 ; ils sont aujourd’hui trois millions !"
[...]"
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