Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 01:42

Ynet.jpg

 

- Israel releases map of Hezbollah bunkers in Lebanon (Ynet) - "Notre intérêt est de montrer au monde que l’organisation Hezbollah a transformé ces villages en zones de combat".
http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4050124,00.html
Adaptation française Marc Brzustowski :
http://lessakele.over-blog.fr/article-israel-publie-une-carte-des-bunkers-du-hezbollah-au-liban-70624905.html
   "Un responsable israélien de la sécurité a fourni au Washington Post une carte détaillant pas moins de 550 bunkers, 300 postes d’observations et 100 autres installations que l’Etat Juif pense appartenir aux terroristes du Hezbollah au Liban. La plupart des sites indiqués sur la carte, parue dans le journal américain, mercredi, sont localisés au sud de la rivière Litani. 10 caches d’armes sont indiquées sur une autre carte, figurant une vue aérienne du village d’Al Khiyam au Sud Liban. Les installations d’entrepôt d’armes sont situées en étroite proximité de centres médicaux et d’écoles. Selon la carte, l’un des bunkers du Hezbollah est situé dans une mosquée.
    "En publiant cette carte, l’armée israélienne semble tenter d’anticiper sur la critique internationale dans une possible future offensive contre les sites mentionnés, beaucoup d’entre eux étant localisés dans des villages résidentiels, tout à côté d’hôpitaux, d’écoles et même d’habitations civiles", rapporte le Post. Le quotidien cite un commandant supérieur israélien disant : "Notre intérêt est de montrer au monde que l’organisation Hezbollah a transformé ces villages en zones de combat".
    Il y a environ six mois, le chef d’Etat-Major de Tsahal d’alors, le Lieutenant-Général (res.) Gaby Ashkenazi avait averti que le Hezbollah était en train d’établir des « villages-roquettes » au Sud-Liban, ajoutant que le groupe chi’ite utilisait les civils et le manque d’autorité de la FINUL pour agir dans le but de fortifier ses positions et ses lance-roquettes à l’intérieur même des villages."

Partager cet article
Repost0
31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 01:41

France

- Dieudonné en Libye : "Kadhafi est plus honnête que Sarko et BHL" (7 sur 7) - "Dieudonné poursuit sur sa lancée et s'en prend à Israël et au lobby juif, son cheval de bataille".
http://www.7sur7.be/7s7/fr/9478/Revolution-dans-les-pays-arabes/article/detail/1242914/2011/03/29/Dieudonne-en-Libye-Kadhafi-est-plus-honnete-que-Sarko-et-BHL.dhtml
   ""L'humoriste" français Dieudonné est arrivé sur le sol libyen pour venir en aide au Général Kadhafi, victime selon lui "d'une agression occidentale". Une arrivée triomphalement affichée sur son blog officiel iamdieudo.com, où il pose sous une affiche montrant le colonel Mouammar Kadhafi le point levé. L'espoir du militant antisioniste est d'ailleurs de rencontrer Kadhafi au cours de sa "tournée libyenne", à l'image de son voyage à Téhéran où il avait rencontré le président iranien Mahmoud Ahmadinejad.
    Dieudonné a motivé son séjour en Libye au travers d'une vidéo postée sur son blog, où il revient sur l'action militaire "aberrante" en Libye et soutient Kadhafi "une figure africaine importante bien plus honnête que Nicolas Sarkozy ou que Bernard Henri Lévy". "Les médias occidentaux ont réussi à diaboliser Kadhafi. C'est quand même lui qui a aidé Nelson Mandela pendant ses 27 années de prison. C'est grâce au colonel libyen que l'AMC va vivre. Kadhafi est une figure africaine importante. Pour moi, Kadhafi est une figure bien plus honnête que Nicolas Sarkozy ou que Bernard Henri Lévy.
    Le Français de souche doit le comprendre que son intérêt n'est pas d'aller faire cette guerre. Imaginez que le sionisme agresse la France, elle devra se défendre. L'Afrique doit se défendre. Et il faudra soutenir les Africains dans cette agression. C'est pour ça que l'armée française doit se retirer. Parce que ce sont des français qui vont mourir. Des innocents vont mourir",
lance-t-il, avant d'inviter les Français à le rejoindre. "Je pense qu'il faudra un moment donné se mobiliser contre cette guerre. Je partirai en Libye et j'invite les Français à se rendre sur les sites stratégiques en bouclier humain (sic)".
    Africain d'origine (son père est Camerounais), Dieudonné poursuit sur sa lancée et s'en prend à Israël et au lobby juif, son cheval de bataille. "Je ne peux pas laisser l'Afrique se laisser bombarder par les forces sionistes. Les Nations Unies perdent tout crédit, la France est devenue le chien de garde des intérêts américano sionistes. Ce n'est pas la France qui attaque, c'est l'Américain Sarkozy et Bernard Henri Lévy, aidé par le lobby juif français. Kadhafi n'est pas arabe. Il est soutenu par les Africains. La Libye n'a jamais représenté un danger pour la France".
    Présent en Tunisie lors des premiers mouvements de révolte, où selon lui, "il y eut une volonté de masquer l'aspect anti-occidental de la révolution arabe" et où il prétend avoir été victime de la censure par le président déchu Ben Ali "sur demande du maire de Paris, Bertrand Delanoë, tunisien d'origine", Dieudonné se montre hostile voire haineux à l'égard du philosophe français BHL. "BHL, dégage de l'Afrique et retourne avec l'armée française te faire butter par les soldats libyens qui défendent leur pays, car le peuple libyen ne veut pas de toi. BHL tire-toi, dégage. Laisse la France tranquille, retourne dans ton pays en Israël, laisse l'Afrique tranquille. L'Afrique t'a jeté à coup de pompes dans le cul avec ta famille. Bientôt ce sera la France. Et que la France ne rentre pas dans ce jeu". Quant à Nicolas Sarkozy, selon lui, "la guerre est une solution politique pour rebondir et amorcer les échéances de 2012".
    Arrivé dimanche à Tripoli, Dieudonné était accompagné, d'après rue89.com, de la militante pro-palestinienne Ginette Skandrani, représentante du courant "rouge-brun, révisionniste, négationniste et pro-Chavez". La récente condamnation pour injures à caractère raciste et ses propos tenus lors d'un spectacle où il avait été convié sur scène par un historien négationniste n'a visiblement pas calmé Dieudonné qui a quitté depuis longtemps (et définitivement ?) les salles obscures où il faisait rire pour plonger vers des desseins tout aussi sombres. Où il fait peur."

- L’ami français de Bachar el Assad, Luc Rosenzweig (Chronique Radio Chalom) - "Il faut dire que Gresh entretient depuis de longues années des rapports chaleureux avec le clan Al Assad, le père d’abord, le fils ensuite".
http://www.radiochalomnitsan.com/blog/l%E2%80%99ami-francais-de-bachar-el-assad/
   "Par obligation professionnelle, et non par masochisme, je rends régulièrement visite au site internet du Monde diplomatique. On trouve là les dernières nouvelles de la détestation d’Israël, et l’éloge régulier de ses pires ennemis. Tout cela étant, bien sûr emballé dans une rhétorique pseudo-savante propre à séduire les gogos dans les milieux cultivés et les enceintes universitaires.
    Le spécialiste du Proche-Orient de cette publication, Alain Gresh, avait traité en long et en large les révoltes populaires de Tunisie et d’Egypte, en ne ménageant ni Ben Ali, ni Moubarak. Normal, car ces dictateurs avaient aux yeux de Gresh un défaut rédhibitoire : ils appartenaient au camp dit des « modérés » au sein du monde arabe.
    Lorsque la contestation a atteint la Syrie, et provoqué une répression sanglante dans la ville de Deraa par les forces de Bachar el Assad, Alain Gresh est resté longtemps silencieux. Il faut dire que Gresh entretient depuis de longues années des rapports chaleureux avec le clan Al Assad, le père d’abord, le fils ensuite. Il est régulièrement invité en Syrie, et a réalisé avec les maîtres de Damas des entretiens, publiés dans le « Diplo » où il ne fait pas montre d’une agressivité journalistique exagérée à leur égard, et c’est un euphémisme.
    Lundi enfin, il a publié sur le site du mensuel un long article embarrassé sur les derniers événements en Syrie, où il ne mentionne nulle part que la répression des manifestants est implacable, et que les soldats de Bachar El Assad tirent à balles réelles dans la foule. Les morts se comptent par dizaines et les blessés par centaines. Alain Gresh, pour se donner bonne conscience, exhorte le régime de Damas à faire quelques gestes pour donner un visage plus avenant à la dictature la plus féroce du Proche-orient. Et incite ses lecteurs à se joindre à une pétition de soutien.
    Celle-ci ne vient pas au secours des révoltés syriens, comme on pourrait le penser, mais des insurgés du Bahrein, dont les liens avec Téhéran sont de notoriété publique."

- Entretien avec Rony Brauman (Télérama n°3194, 30 mars) - Où il révèle qu'au fond, son opposition à l'intervention en Libye vient de sa frustration qu'il n'y ait pas eu de coalition pour bombarder l'Etat juif.
   "[...] - Êtes-vous sûr que, sans intervention de la coalition, Benghazi n'aurait pas été un nouveau Guernica ?
    - Plutôt un nouveau Gaza ! Rappelons que [...] Bernard Kouchner, qui était ministre des Affaires étrangères en 2009, n'a jamais demandé de no fly zone (zone d'exclusion aérienne) contre Israël qui menaçait pourtant la population gazaouie. [...]"



Israël

- Des Arabes manifestent à Lod, Claire Dana-Picard (Arouts 7)
http://www.israel7.com/2011/03/des-arabes-manifestent-a-lod/
   "La Journée de la Terre est marquée chaque année par les Arabes israéliens, depuis 1976. Tous les ans, ils manifestent le 30 mars pour protester contre ce qu’ils appellent la confiscation de leurs terres et contre la « judaïsation de la Palestine ». Un grand rassemblement est prévu dans la journée dans le village d’Al Arkiv, dans le Néguev, construit de façon illégale et détruit à une dizaine de reprises, depuis l’été dernier, par les autorités de l’administration domaniale. La police a renforcé ses effectifs pour pouvoir parer à tout débordement. Toutefois, il semble que la journée devrait se dérouler sans incident majeur. [...]"

- Israel's Military Justice System in Times of Terror, Judge Brig.-Gen. (ret.) Amnon Strashnov (Former IDF Military Advocate General) - "Every inhabitant of the West Bank has the right to petition Israel's Supreme Court. This is unique and unprecedented in the rules of international law".
http://www.jcpa.org/JCPA/Templates/ShowPage.asp?DRIT=1&DBID=1&LNGID=1&TMID=111&FID=442&PID=0&IID=6599&TTL=Israel%27s_Military_Justice_System_in_Times_of_Terror
Abstract :
   "- Israel and the world must fight terrorism without any reservations and without any concessions, since terrorism endangers everyone. On the other hand, Israel has an obligation to guard the basic rights of the local population in the West Bank and Gaza.
    - Why should Israel keep the rules of engagement and follow international law while fighting terrorists when the terrorists do not adhere to the rules of engagement? Because Israel is a civilized state and the Israeli soldier is not the same as the Palestinian terrorist. We do not shoot at civilians or kill women and children, and we do not put bombs in buses.
    - Every inhabitant of the West Bank has the right to petition Israel's Supreme Court. This is unique and unprecedented in the rules of international law - that a resident of an administered area can turn to the High Court of the administering state to ask for a remedy based on justice. In many cases the Court has accepted these petitions.
    - Some human rights organizations have said that because terrorists are civilians, they should be protected under Article 51 of the Geneva Convention. However, Israel's Supreme Court has declared that once you harm civilians, then you are no longer entitled to be covered by this section.
    - International law does not say that collateral injury to civilians is forbidden. What is forbidden is if you purposely kill civilians, which is what Hamas does when it shoots at kibbutzim, towns and cities in Israel from Gaza."
Extrait :
"The Principles by Which Israel Fights Terrorism
    There are four main principles by which Israel fights terrorism:
    - Military necessity - the obligation to use force only in a way that yields a direct military advantage.
    - Distinction - the obligation to distinguish between combatants and innocent civilians, who must be kept unharmed to the extent possible.
    - Humanity - the obligation to refrain from operations which cause unnecessary suffering.
    - Proportionality - the obligation to ensure that actions against legitimate targets do not affect protected persons and targets in a manner disproportionate to the military advantage expected from the attack.
    The most important of these principles are distinction and proportionality. The first Palestinian uprising (intifada) between 1987 and 1991 (when I was the Military Advocate General) was basically civil unrest. There were demonstrations, roadblocks, and burning tires. It was not terror and we took measures such as bringing Palestinians to trial, administrative detention, and deportation. The difference is that now it is a situation of terrorism - a situation which is just short of war, and it is necessary to take other measures, one of which is targeted killing.
    There must be proportionality between eliminating the terrorists wherever they are and keeping the civilian population as safe as possible. Sometimes there is collateral damage, when you shoot at a terrorist and some innocent civilians can be harmed, but you cannot do this intentionally. There is a case before the Supreme Court right now regarding proportionality when many people were killed in the bombing of one terrorist. In the war against terrorists, the State of Israel acts within the framework of the rules of humanitarian law.
    Every inhabitant of the West Bank has the right to petition Israel's Supreme Court. This is unique and unprecedented in the rules of international law - that a resident of an administered area can turn to the High Court of the administering state to ask for a remedy based on justice. In many cases the Court has accepted these petitions. The settlement of Elon Moreh near Nablus (Shechem) was first established on land claimed to be private. The Supreme Court accepted the claim of the Arabs and Elon Moreh was moved to state land. Since then, Israel has established settlements only on state land."


Gaza & Hamas

- Gaza : 2 raids aériens israéliens, un mort et un blessé palestiniens (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Gaza-2-raids-aeriens-israeliens-un-mort-et-un-blesse-palestiniens_308283.html
   "Selon des sources médicales palestiniennes, un individu a été tué et un second blessé dans une frappe de Tsahal à Rafah, au sud de la bande de Gaza. L'armée de l'air a indiqué avoir visé un groupe de terroristes qui avait tiré des missiles contre Israël. Tsahal a également bombardé dans la nuit de mardi à mercredi un tunnel reliant le sud de Gaza à l'Egypte, en représailles au tir de roquettes de mardi soir."
- Gaza : un terroriste du Djihad islamique tué dans la frappe de Tsahal (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Gaza-un-terroriste-du-Djihad-islamique-tue-dans-la-frappe-de-Tsahal_308287.html
   "Selon un communiqué des Brigades d'Al-Qods, la branche armée du Djihad islamique, un terroriste du mouvement a été tué et un second blessé dans la frappe de Tsahal au sud de la bande de Gaza. Les deux Palestiniens circulaient à moto et "allaient prier" au moment où ils ont été attaqués, selon l'organisation terroriste."
- Une frappe israélienne tue un militant à Gaza (AP) - "L'organisation soutenue par l'Iran a appelé à la vengeance".
http://fr.news.yahoo.com/3/20110330/twl-israel-palestiniens-violences-951b410.html
   "L'armée de l'air israélienne a attaqué mercredi deux Palestiniens circulant à moto dans la bande de Gaza Strip, tuant un des passagers et blessant l'autre, a annoncé le Jihad islamique. L'armée israélienne a annoncé avoir "touché une escouade terroriste", qui avait lancé des roquettes sur le sud d'Israël la veille. Elle a mené une autre frappe aérienne dans la nuit contre un tunnel de contrebande également à Gaza. Selon le Jihad islamique, les hommes se rendaient à la mosquée pour prier. L'organisation soutenue par l'Iran a appelé à la vengeance."
- Roquettes : tolérance zéro (JP)
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1300962198453&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
   "Les forces de l'air israéliennes ont répondu à des tirs de roquettes Kassam provenant du sud de la bande de Gaza. Selon un communiqué publié par le Jihad islamique, un de ses membres à été tué et un autre blessé. Un peu plus tôt mercredi matin, des avions de l'armée de l'air israélienne ont détruit un tunnel dans le sud de la bande de Gaza. Selon un communiqué de Tsahal, l'opération a été menée en réponse à des tirs de roquettes Kassam sur le sud d'Israël, mardi.
    Le porte-parole de l'armée a ajouté qu'il ne permettrait pas que les communautés proches de la bande de Gaza soient obligées de vivre sous la menace constante d'une attaque ayant pour but de blesser des civils israéliens. Plus tôt cette semaine, le Premier ministre Binyamin Netanyahou a affirmé ne pas être intéressé par une escalade de la violence dans la bande de Gaza, mais qu'il ne tolèrerait pas non plus les attaques qui touchent le sud de l'Etat hébreu. « Ces deux dernières semaines, des organisations sont venues troubler la paix et la sécurité du pays », a déclaré Netanyahou, avant d'ajouter : « nous ne voulons pas de surenchère de la violence mais nous n'hésiterons pas à activer la force de frappe de Tsahal si besoin »."

- Gaza : heurts violents entre manifestants et police du Hamas (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Gaza-heurts-violents-entre-manifestants-et-police-du-Hamas_308330.html
   "La police du Hamas, qui contrôle Gaza, s'est heurtée, mercredi, à des manifestants dans la ville de Gaza, à l'occasion de la "journée de la terre", selon des témoins. Des centaines d'étudiants rassemblés près de l'Université Al-Azhar de Gaza ont été bloqués par la police du Hamas, qui a interpellé plusieurs d'entre eux. En outre, quelque 300 étudiants ont marché jusqu'à la principale place de Gaza, où leur manifestation pour célébrer la "Journée de la terre" et appeler à la "fin de la division" palestinienne a été dispersée de force, selon des témoins. De nombreux policiers se sont déployés sur la place, frappant des manifestants et en arrêtant d'autres, selon la même source qui n'était pas en mesure de déterminer dans l'immédiat s'il y avait des blessés."

- Gaza : un Palestinien condamné à mort pour collaboration avec Israël (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Gaza-un-Palestinien-condamne-a-mort-pour-collaboration-avec-Israel_308349.html
   "Un Palestinien reconnu coupable de collaboration avec Israël a été condamné à mort mardi dans la bande de Gaza, par un tribunal militaire, a annoncé le ministère de l'Intérieur du gouvernement Hamas qui contrôle le territoire. Un second à écopé de quinze ans de travaux forcés. "Le tribunal permanent a condamné mardi l'accusé à la peine de mort par pendaison pour trahison et implication dans un meurtre", a indiqué le ministère sur son site internet. L’organisation terroriste avait exécuté en avril 2010 deux Palestiniens coupables de collaboration avec Israël."

- Israël : projet d'île au large de Gaza (Le Figaro.fr) - "ce projet permettrait à Israël de se débarrasser "définitivement de la bande de Gaza" en abandonnant sa tutelle sur les échanges commerciaux du territoire".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/03/29/97001-20110329FILWWW00792-israel-projet-d-ile-au-large-de-gaza.php
   "Israël étudie des plans pour la création d'une île artificielle au large de la bande de Gaza avec un port et un aéroport destinés aux Palestiniens, a indiqué aujourd'hui  la deuxième chaîne de télévision privée israélienne.
    Ce projet, mis au point depuis trois mois par le ministre des Transports Yaakov Katz, avec le soutien du chef du gouvernement Benjamin Netanyahu, prévoit la construction d'une île artificielle de 4 km de long sur 2 km de large. Cette île accueillerait, outre un aéroport, un port, une zone touristique, une marina, des hôtels et une unité de dessalement de l'eau de mer. Elle serait reliée à la terre ferme à Gaza par un pont de quatre km de long. Son coût est estimé à 5 à 10 milliards de dollars selon les options choisies tandis que les travaux devraient durer de 6 à 10 ans, a ajouté la télévision.
    Les responsables du projet, qui doivent encore obtenir le soutien final et officiel de Benjamin Netanyahu, estiment que cette île devrait être gérée par l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas. [...] Selon le projet de développement israélien, les contrôles de sécurité des personnes, mais aussi des marchandises, seraient assurés par une "force internationale", qui pourrait inclure des représentants de l'Otan, à la fois sur l'île ainsi que sur le pont "afin d'éviter des trafics".
    Selon la télévision, ce projet, qui a également reçu le "soutien enthousiaste" du président Shimon Peres, permettrait à Israël de se débarrasser "définitivement de la bande de Gaza" en abandonnant sa tutelle sur les échanges commerciaux du territoire tout en maintenant son blocus en pleine mer pour empêcher la contrebande d'armes."
- Projet d’île artificielle au large de Gaza, "une coupure totale" avec l’enclave palestinienne (Guysen) - "J'ai cherché une solution qui permette de rompre toute relation avec Gaza tout en conservant notre maîtrise de la sécurité en mer".
   ""Israël examine un projet de construction d'une île artificielle au large de Gaza, équipée d'un port et un aéroport, pour ne plus être responsable des échanges commerciaux de ce territoire", a indiqué mercredi le ministre des Transports Yaakov Katz à la radio militaire. "Ce projet vise à une coupure totale avec la bande de Gaza, alors qu'aujourd'hui Israël continue à être responsable des échanges de cette région car nous n'avons pas permis la création d'un port et d'un aéroport", a-t-il affirmé. "J'ai cherché une solution qui permette de rompre toute relation avec Gaza tout en conservant notre maîtrise de la sécurité en mer grâce au blocus, qui est critique pour empêcher un trafic d'armes", a ajouté le ministre, à l'origine du projet. "L'Autorité palestinienne pourrait être partenaire de ce projet", a ajouté M. Katz."

- L’objectif : des informations sur Shalit, Eldad Beck (correspondant à Berlin du Yédiot Aharonot) - "l’enlèvement est le fruit d’une collaboration entre le Mossad et les services de renseignement ukrainiens".
http://www.ambafrance-il.org/REVUE-DE-PRESSE-Mercredi-30-mars.html
   "Cela fait déjà plus d’un mois que l’ingénieur palestinien Dirar Abu-Sissi, qui selon des publications étrangères a été kidnappé en Ukraine par le Mossad alors qu’il était en route vers Kiev, est détenu en Israël. Le journal allemand Der Spiegel en révèle la raison dans son édition internet d’hier : Abou-Sissi aurait été kidnappé car il détient des informations importantes concernant Gilad Shalit.
    Dans le reportage publié sur le site internet du Der Spiegel, le quotidien précise qu’Israël n’a pas renoncé à la possibilité de libérer Shalit dans le cadre d’une opération menée par un commando et que, dans ce contexte, est à la recherche d’informations précises sur le lieu exact de détention du soldat kidnappé. En Israël, on espère qu’Abou-Sissi connaît ce lieu.
    L’article précise par ailleurs que l’enlèvement est le fruit d’une collaboration entre le Mossad et les services de renseignement ukrainiens : des sources au sein de services de renseignements occidentaux cités dans l’article ont confié que deux agents ukrainiens sont montés dans le train dans lequel se trouvait Abou-Sissi et l’ont enlevé à la demande d’Israël, avant de le transmettre à des agents israéliens."
- Netanyahou : "l’ingénieur palestinien a révélé des renseignements précieux" (Guysen)
   "Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré que l’ingénieur palestinien enlevé en Ukraine et détenu en Israël, a "communiqué des renseignements précieux". Netanyahou a ajouté que Dirar Abou Sissi est un membre du Hamas."


Judée-Samarie

- La Journée de la terre marquée aussi à Djénine, Ramallah et Gaza (Guysen)
http://www.guysen.com/news_La-Journee-de-la-terre-marquee-aussi-a-Djenine-Ramallah-et-Gaza_308305.html
   "La 35e Journée de la terre va être aussi marquée ce mercredi par des défilés à Ramallah, Djénine et Gaza. Dans des communiqués publiés pour l'occasion, des organisations et personnalités palestiniennes appellent à ''accentuer la résistance populaire à l'occupant'' israélien."

- Moshe Yaalon condamne la politique du "prix à payer" pratiquée par les habitants juifs de Judée-Samarie (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Moshe-Yaalon-condamne-la-politique-du-prix-a-payer-pratiquee-par-les-habitants-j_308236.html
   "Le vice-Premier ministre Moshe Yaalon a condamné la politique du «prix à payer» pratiquée par les habitants des implantations juives de Judée-Samarie. Selon lui, ces actes sont nuisibles pour Israël. "Le monde nous regarde. Nous sommes un pays respectueux de la loi et nous ne pouvons pas laisser des milices faire surface. Ces actes sont utilisés comme un outil pour délégitimer les implantations", a t-il ajouté."


"Processus de paix"

- AP : placer les « territoires occupés » sous tutelle internationale, Claire Dana-Picard (Arouts 7) - "à Jérusalem, on ne s’inquiète pas outre mesure de ces manœuvres étant donné qu’elles semblent n’avoir pratiquement aucune chance d’aboutir".
http://www.israel7.com/2011/03/ap-placer-les-territoires-occupes-sous-tutelle-internationale/
   "L’Autorité palestinienne, qui prétend toujours vouloir parvenir à un règlement du conflit avec Israël, manœuvre au sein de la communauté internationale en vue d’obtenir son soutien dans ses nouvelles démarches. La direction de l’AP envisage en effet de demander à présent à l’Onu d’œuvrer pour que “les territoires occupés depuis 1967 soient placés sous tutelle internationale”. Cela signifierait que ces régions se trouveraient, pour une période déterminée, sous le contrôle des Nations unies ou d’une autre institution internationale.
    Cette procédure a été envisagée pour répondre aux arguments avancés par Israël et la communauté internationale selon lesquels les Palestiniens n’auraient pas encore atteint la maturité nécessaire leur permettant d’assumer la direction d’un Etat. Par ce biais, ils pourraient ainsi habilement procéder par étapes pour parvenir à leurs fins. L’AP y voit un autre avantage : en effet, si cette option est adoptée, elle incitera le monde à « reconnaître » qu’Israël ne doit pas plus imposer sa souveraineté sur la Judée-Samarie.
    Au ministère des Affaires étrangères, à Jérusalem, on ne s’inquiète pas outre mesure de ces manœuvres étant donné qu’elles semblent n’avoir pratiquement aucune chance d’aboutir. Pour les dirigeants israéliens, ce plan ne ferait pas l’unanimité au sein de la direction palestinienne et il apparaît fort improbable que l’Onu accepte d’envoyer dans la région un gouverneur et des forces armées pour régenter la vie dans le secteur concerné. Cela n’empêche pas Israël de se montrer attentif à toutes les démarches entreprises dernièrement par les Palestiniens. [...]"

- Obama pourrait rencontrer Peres la semaine prochaine, Ben Caspit (Maariv) - "une dernière tentative pour remettre les relations entre Obama et Netanyahu sur des rails positifs".
http://www.ambafrance-il.org/REVUE-DE-PRESSE-Mercredi-30-mars.html
   "Sauf changement de dernière minute, le président israélien, Shimon Peres, devrait rencontrer la semaine prochaine le président américain, Barack Obama. Des contacts avancés ont lieu entre les Américains et la Présidence pour organiser cette rencontre, qui se produira vraisemblablement mardi prochain à Washington. Shimon Peres a pris ces derniers mois la place qu’occupait Ehud Barak comme le ‘dirigeant israélien agréé aux yeux de Washington’, suite à la colère de l’Administration américaine contre le Premier ministre Netayahu et la déception vis-à-vis du ministre de la défense Barak.
    Selon les estimations, S. Peres fera des propositions diplomatiques et tentera de préparer une visite de Netanyahu à la Maison Blanche. La rencontre entre Peres et Obama est une dernière tentative pour remettre les relations entre Obama et Netanyahu sur des rails positifs, après le divorce prononcé entre les Américains et les Israéliens suite à l’échec des efforts pour renouveler le processus diplomatique entre Israël et les Palestiniens."


Syrie

- Syrie : Assad accuse à mots couverts Israël d'être à l'origine des émeutes (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Syrie-Assad-accuse-a-mots-couverts-Israel-d-etre-a-l-origine-des-emeutes_308324.html
   "Le président Bachar Al Asad a accusé Israël à mots couverts d'être à l'origine des émeutes dans son pays en déclarant que la ville de Deraa où ont éclaté les troubles est proche de la frontière avec Israël."
- Syrie : «Le discours de Bachar al-Assad ne pouvait pas surprendre», Elodie Auffray (Libération) - "Il a clairement accusé Israël d'avoir manipulé les gens de Deraa".
http://www.liberation.fr/monde/01012328874-syrie-le-discours-de-bachar-al-assad-ne-pouvait-pas-surprendre
   "Fabrice Balanche est maître de conférences à l'Université Lyon 2 et directeur du Groupe de Recherches et d'Etudes sur la Méditerranée et le Moyen-Orient (GREMMO) à la Maison de l'Orient. Spécialiste de la Syrie, il y a vécu plusieurs années. Il décrypte la mise en scène et les points abordés par Bachar al-Assad dans son discours, le premier depuis le début de la contestation. Le président syrien n'y a annoncé aucune réforme concrète, n'a pas évoqué la levée de l'état d'urgence (promise la semaine dernière par sa conseillère) et évoqué une «conspiration» venue de l'étranger. [...]
    - La conspiration venue de l'étranger : «C'est une rhétorique très classique, je ne m'attendais pas à autre chose. Ce sont des arguments qui portent, la plupart des gens y croient. Le pays vit dans cette ambiance depuis 1963 et la prise du pouvoir par le parti Baas. Il a évoqué un plan américain qui, depuis 2001, viserait tour à tour l'Afghanistan, l'Irak, le Liban, etc.
    A propos de Deraa [la ville qui s'est soulevée la première, sévèrement réprimée, ndlr], il a dit que ce n'était pas possible que ce soient les habitants qui manifestent car, étant proches de "l'ennemi sioniste" (ce sont les termes qu'il a employés), ils savaient mieux que les autres les dangers qu'encourrait la Syrie. Il a donc clairement accusé Israël d'avoir manipulé les gens de Deraa. A Lattaquié [où se sont déroulés de violents affrontements ce weekend, ndlr], il a sous-entendu que c'était le Liban de Saad Hariri qui était intervenu.»
[...]"

- Syrie : le Hamas et le Jihad invités à quitter le pays ?, Shraga Blum (Arouts 7)
http://www.israel7.com/2011/03/syrie-le-hamas-et-le-jihad-invites-a-quitter/
   "Si la nouvelle se confirme, il s’agira d’un événement majeur dans la région: des journaux arabes et des sources palestiniennes annoncent que les autorités syriennes ont demandé aux responsables terroristes du Hamas et du Jihad, basés en Syrie, de fermer leurs bureaux et de quitter le pays dans les plus brefs délais.
    Selon le journal égyptien Al-Youm A-Sabaa, la direction du Hamas à Damas aurait reçu récemment plusieurs propositions de la part d’Arabes et d’Arabes palestiniens, les appelant également à quitter la Syrie « afin d’être préservés ». Ces sources indiquent aussi que certains responsables du Jihad Islamique ont déjà l’intention de s’installer à Téhéran. [...]"

- Iranian and Hizbullah Silence in the Face of U.S. Support for the Syrian Regime, Brig.-Gen. (ret.) Dr. Shimon Shapira (JCPA) - "Nasrallah has been encouraged by American policy towards Assad, who enjoys public American support for his continued leadership".
http://jerusalemcenter.wordpress.com/2011/03/29/iranian-and-hizbullah-silence-in-the-face-of-u-s-support-for-the-syrian-regime/
   "As bloody riots threaten Bashar Assad’s regime and the minority Alawite rule, the silence of Iran and Hizbullah, Syria’s closest allies, is striking. Iran is following developments in Syria with concern, and through its silence is supporting Syria’s massive use of force, which it had earlier criticized in other countries such as Tunisia, Egypt, Yemen, and Bahrain. Iran’s main concern is losing its most important strategic ally in the Middle East. This alliance gives Iran free rein in Lebanon, thus allowing Hizbullah to flourish, and helps fan the flames of jihadi zeal against Israel within Palestinian organizations.
    The Iranian influence in Syria has grown significantly since Assad replaced his father. In recent years, Assad has permitted Iran to invest enormous sums toward the creation of a new Shiite community within Syria to act as a counterbalance to the Sunni majority. These investments include the building of new Shiite mosques in Damascus and the surrounding cities, the establishment of educational and cultural institutions to enable Iranian clergy to spread Shiite beliefs, and Persian-language classes in cultural centers across the country. Syria has become a favorite destination of Iranian tourists who visit holy places in Damascus (such as the Shrine of Sayidda Zaynab) and other cities, as well as a transit station for Iranian “Jihad tourism” to Hizbullah battle sites, including those in southern Lebanon. Thus it is no surprise that cries of “no to Iran” and “no to Hizbullah” have become common slogans among the rebels fighting against Assad’s regime.
    Hizbullah leader Nasrallah, who issued a furious attack against Arab leaders who were massacring their people and offered assistance to Bahrain’s Shiite citizens in their rebellion against the Sunni authorities, drew his inspiration from Tehran in keeping quiet, as well. Al-Manar, Hizbullah’s official television channel, which broadcasts continuous coverage of the “Arab Spring,” hardly reports on the developments in Syria. The reasons for this are obvious. In contrast with his father, Hafez Assad, who refused to meet with Nasrallah and regarded him as simply one of many Lebanese leaders, Bashar Assad turned Nasrallah into a revered hero who fought Israel with military and strategic success. Israel’s withdrawal from Lebanon in 2000 and Hizbullah’s “divine victory” in 2006 transformed Nasrallah into a modern-day Saladin in Assad’s eyes, and he has warmly embraced him. Even the mysterious assassination of Hizbullah Chief of Staff Imad Mughniyeh in the center of Damascus did not harm the special relationship between the two. Nasrallah has never publicly blamed Assad for Mughniyeh’s inadequate protection.
    Astonishingly, as events appear today, Nasrallah has been encouraged by American policy towards Assad, who enjoys public American support for his continued leadership. It seems that even Nasrallah is not willing to voice his support of Assad in such a public way as has the U.S. Secretary of State."


Egypte

- L’Egypte veut se rapprocher de l’Iran, Shraga Blum (Arouts 7)
http://www.israel7.com/2011/03/l%E2%80%99egypte-veut-se-rapprocher-de-l%E2%80%99iran/
   "Moubarak craignait le régime iranien et le tenait en aversion. Mais le nouveau pouvoir au Caire veut au contraire se rapprocher de Téhéran. Le nouveau ministre égyptien des Affaires étrangères, Nabil El-Arabi a déclaré mardi que « son pays désirait ouvrir une nouvelle page dans ses relations avec l’Iran ». « L’Iran n’est pas notre ennemi », a-t-il déclaré à des journalistes, sans vouloir dire qui était aujourd’hui considéré comme « l’ennemi de l’Egypte ». Il a précisé que « le niveau de relations entre les deux pays serait fonction de la réaction iranienne à la proposition égyptienne ».
    Les dirigeants iraniens n’avaient pas caché leur satisfaction après la chute et le départ de Hosni Moubarak. Les relations entre les deux pays étaient très distantes voire tendues du fait du rapprochement du Caire avec les Etats-Unis et de la « paix » signée avec Israël. Une rue de Téhéran porte même le nom d’Islambuli, le terroriste qui avait assassiné le Président Anouar El-Sadate. [...]"

- Egypt's transitional constitution keeps references to Sharia (Elder of Ziyon) - "The Muslim Brotherhood was adamant it remain in place".
http://elderofziyon.blogspot.com/2011/03/egypts-transitional-constitution-keeps.html
   "From DPA: "Egypt's military unveiled an interim constitution on Wednesday, in the wake of the ousting of president Hosny Mubarak, outlining the government's powers and replacing the country's 1971 constitution. The declaration from Supreme Council of the Armed Forces asserts that Egypt is a democratic country and ensures freedom of religion and opinion, spokesperson Mamdouh Shahin said in a press conference."
    Well, sort of. In fact, Al Arabiya reports that the part of the constitution that has been most problematic - Article 2 - has remained intact: "(Article 2): Islam is the Religion of the State. Arabic is its official language, and the principal source of legislation is Islamic Jurisprudence (Sharia)." Coptic Christians in Egypt had objected to the part about Sharia. The Muslim Brotherhood was adamant it remain in place. We see who won that battle."


Libye

- Libye : peu de sang, et encore moins de sang froid…, Gil Mihaely (Causeur) - "les insurgés pour leur part voient en Kadhafi un allié d’Israël".
http://www.causeur.fr/lybie-peu-de-sang-et-encore-moins-de-sang-froid%E2%80%A6,9365
   "Au début de la crise en Libye on parlait de massacres. Plus tard, on a plutôt parlé des massacres à venir qu’il faudrait empêcher. On évoquait les menaces explicites de Kadhafi envers les habitants de Benghazi et le passé chargé du dictateur. Il fallait croire ce qu’il disait et intervenir avant qu’il soit trop tard.
    Depuis quelques jours, les allers-retours des forces pro et anti-Kadhafi permettent de voir comment les forces fidèles au Frère guide se comportent dans des villes libérées qui tombent de nouveau entre leurs mains. Pierre Barbancey de l’Humanité l’avait fait. Il s’est rendu à Ajdabiya, une ville côtière située à 150 km à l’ouest de Benghazi et considérée comme un verrou sur la route principale qui mène vers la capitale de la rébellion. Voici son témoignage :
    « En entrant dans Ajdabiya, que l’on avait quitté il y a dix jours alors que les troupes kadhafistes y étaient victorieuses, on est surpris par l’état de la ville. Il ne semble pas y avoir eu de "durs" combats et les magasins n’ont pas été pillés, ni détruits par des "soldats enragés", ainsi que le proclame Libya Horia, la radio de la rébellion dont le ton s’islamise de plus en plus. Quelques façades portent des impacts de balles mais ce sont celles situées sur la route principale. Les quartiers n’ont pas été touchés et il n’y a pas eu de forte résistance de la part d’une population qui a préféré se réfugier à Benghazi ou dans les fermes environnantes. »
    Plus étonnant encore est un certain délire qui semble s’emparer de quelques têtes rebelles. Selon Pierre Barbancey les insurgés pour leur part voient en Kadhafi un allié d’Israël. « On nous a même demandé, raconte-il, s’il était vrai qu’à Benghazi l’armée israélienne était venue soutenir les forces gouvernementales ! » Avec un tel sens du discernement, pas étonnant que les rebelles aient abattu leur propre avion de chasse au-dessus de Benghazi…"

- OTAN : des membres d'Al-Qaïda pourraient figurer parmi les insurgés libyens (RIA Novosti) - Il existe des "signaux d'une présence potentielle d'Al-Qaïda et du Hezbollah".
http://fr.rian.ru/world/20110330/189021400.html
   "Des membres du réseau terroriste international Al-Qaïda et du mouvement chiite libanais Hezbollah pourraient figurer parmi les insurgés qui luttent contre le colonel Mouammar Kadhafi, a annoncé mardi l'amiral américain James Stavridis, commandant suprême des forces de l'Otan en Europe. "Nous examinons à la loupe la composition des groupes rebelles et leurs leaders", a annoncé l'amiral, cité par la presse occidentale. Il existe des "signaux d'une présence potentielle d'Al-Qaïda et du Hezbollah", a-t-il poursuivi. "Toutefois à ce stade la présence d'Al-Qaïda ou de toute autre organisation terroriste (au sein de l'opposition libyenne, ndlr) n'est pas réellement ressentie", a souligné M.Stavridis. [...]"

- L'intervention occidentale divise les dirigeants et les intellectuels africains, Philippe Bernard (Le Monde) - une personnalité malienne s'indigne qu'une coalition ait bombardé les forces de Kadhafi et non Israël, dénonçant un "deux poids deux mesures". Pour rappel, c'est à Bamako, capitale du Mali, qu'il existe un monument en l'honneur de la mémoire de Mohammed al-Dura...
http://www.lemonde.fr/libye/article/2011/03/29/l-intervention-occidentale-divise-les-dirigeants-et-les-intellectuels-africains_1500075_1496980.html
   "Les raids occidentaux en Libye déchirent les intellectuels africains. Largement inaudible et impuissante dans la gestion de la crise libyenne, l'Afrique subsaharienne n'en est pas moins préoccupée par l'intervention militaire anti-Kadhafi, et ses élites divisées à propos des frappes aériennes. [...]
    Des personnalités africaines ont pourfendu l'intervention occidentale en invoquant le droit des Africains à régler eux-mêmes leurs conflits, et en pointant le contraste avec l'inaction internationale pour faire respecter les droits des Palestiniens. "Il faut qu'on nous explique la politique du "deux poids deux mesures"", écrivait à ce propos Adame Ba Konaré, historienne et épouse de l'ancien président malien Alpha Konaré, dans une lettre ouverte, publiée le 20 mars, au lendemain du vote de l'ONU. "L'Afrique est exclue d'un débat qui aurait dû être prioritairement le sien", ajoutait-elle en présentant Mouammar Kadhafi comme "l'un des chantres de l'unité africaine" et en appelant à "barrer la route à la recolonisation" du continent. [...]"


ONU

- Ban Ki-moon critique ''l'occupation'' israélienne (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Ban-Ki-moon-critique-l-occupation-israelienne_308281.html
   "Dans un message adressé par son assistant à une conférence en Uruguay pour la promotion d'un accord de paix israélo-palestinien , le secrétaire général de l'Onu Ban Ki Moon a déclaré que "l’occupation" était "moralement et politiquement insoutenable et qu’elle devait, par conséquent, prendre fin". "Une voie doit être trouvée pour que Jérusalem devienne la capitale de deux Etats", a-t-il ajouté. Ban Ki-Moon a fustigé la politique israélienne et appelé, mardi, à la division de Jérusalem. "La date-butoir pour l’achèvement du programme de l’Autorité Palestinienne d’établissement d’un Etat en deux ans approche à grands pas", a-t-il encore souligné."
Partager cet article
Repost0
29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 18:48

real-liberals-6.png

 

- Real Liberals Love Israel #6: Equal rights before the law (Elder of Ziyon)
http://elderofziyon.blogspot.com/2011/03/real-liberals-love-israel-poster-6.html

Partager cet article
Repost0
29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 18:47

France

- Les blessures de Jamal al-Dura étudiées par la justice française, Véronique Chemla (journaliste) - Le jugement sera rendu en avril.
http://www.veroniquechemla.info/2011/03/les-blessures-de-jamal-al-dura-etudiees.html
   "Le 8 février 2011, le Dr Yehuda David et Clément Weill-Raynal, journaliste à Actualité juive, ont comparu et le directeur de cet hebdomadaire français était représenté devant la XVIIe chambre du Tribunal de grande instance (TGI) de Paris. Ils étaient poursuivis pour diffamation par Jamal al-Dura. Au centre des débats, la question cruciale : les blessures de Jamal al-Dura (bras droit, pied gauche) proviennent-elles de coups d’armes blanches portées par des Palestiniens en 1992 ou de balles tirées par des soldats israéliens le 30 septembre 2000 ? Le jugement sera rendu en avril 2011.
    C’est un étrange et long procès – environ dix heures - qui s’est tenu ce 8 février 2011 devant la XVIIe chambre du TGI de Paris, spécialisée dans la diffamation par voie de presse. En dépit de la grève des magistrats, le Tribunal a maintenu l’audience en invoquant la venue spéciale d’Israël à Paris d’un des trois prévenus, le Dr Yehuda David. [...]
    A l’origine de la plainte de Jamal al-Dura, une interview du Dr Yehuda David, chirurgien à l’hôpital Tel ha Shomer à Tel-Aviv, par le journaliste Clément Weill-Raynal, sous le pseudonyme de Daniel Vavinsky, et une réponse de celui-ci à un droit de réponse de Charles Enderlin, publiés dans les numéros respectivement des 4 septembre et 25 septembre 2010 d’Actualité juive, hebdomadaire incontournable de la communauté juive française. Le Dr Yehuda David y affirmait qu’il avait opéré en 1994 Jamal al-Dura, victime en 1992, de blessures à l’arme blanche (hache, couteau) lors d’une rixe entre Palestiniens, donc bien avant le reportage controversé en 2000. Des blessures qui avaient induit une paralysie de la main droite causée par une section des nerfs médian et cubital.
    Chroniqueur judiciaire dans cet hebdomadaire et depuis près de 25 ans sur la chaîne publique France 3, Clément Weill-Raynal s’est exprimé aisément, malgré son stress visible. Il a retracé son enquête, son évolution de l’incrédulité à l’égard des doutes exprimés par Nahum Shahaf ou la Ména vers le scepticisme concernant le commentaire de Charles Enderlin. Celui-ci a alors menacé Clément Weill-Raynal, lui promettant de graves problèmes s’il poursuivait son enquête. « Il avait raison. La preuve : je suis en train de vous parler », constate le prévenu en s’adressant aux magistrats.
    Il a cité des exemples de « manipulations de l’information » par des Palestiniens : un soldat israélien présenté par des médias comme menaçant un Palestinien, alors qu’il protégeait un étudiant Juif américain, Tuvia Grossman, de la violence de Palestiniens ; un Palestinien présumé mort après un présumé « massacre » par des soldats israéliens, tombant de sa civière, et y remontant prestement ; des sources médicales palestiniennes alléguant auprès de l’AFP (Agence France Presse) qu’un adolescent Gazaoui, Muhammad Zen Ismail Al-Farmawi, a été tué par les Israéliens, alors que ce jeune avait fugué via un tunnel de contrebande palestinienne avant de revenir à son domicile, etc.
    Et de rappeler quelques unes des invraisemblances et incohérences – absence de sang, durée inconnue de tirs nourris laissant moins de dix impacts sur le mur derrière les al-Dura, absence d’image de l’évacuation par ambulance, etc. - émaillant le reportage controversé ayant créé l’icône médiatique de l’Intifada II, les témoignages mensongers de cameramen palestiniens présentés lors du procès contre Charles Gouze, webmaster du site Desinfos.com, le procès à rebondissements contre Philippe Karsenty, ceux contradictoires des auteurs du reportage controversé, les « consignes de silence et dissimulation d’un général palestinien », la pétition de soutien à Charles Enderlin recueillant de nombreuses signatures, etc.
    Clément Weill-Raynal a souligné les précautions dont il a fait preuve pour recouper les déclarations du Dr Yehuda David. Il a tenté d’interviewer en hébreu et par téléphone Jamal al-Dura. Celui-ci a refusé. Clément Weill-Raynal a aussi fait traduire en français les propos en arabe de Jamal al-Dura filmé par Talal Abu Rahma pour France 2 en 2004. Ce qui n’avait pas été fait auparavant. [...]
    C’est le Dr Yehuda David qui avait opéré en 1994 Jamal al-Dura dont la main droite était paralysée. Pour restaurer la flexibilité des doigts de cette main, ce chirurgien a prélevé des tendons du pied gauche, puis les a réimplantés dans la main droite.
    Habilement, Me Orly Rezlan, avocate de Jamal al-Dura absent de l’audience, joue de sa solitude contre quatre avocats, et met sur la sellette le Dr Yehuda David qui s’est efforcé de rendre compréhensible, gestes à l’appui, par les trois magistrats composant cette formation juridictionnelle, l’opération dont a bénéficié Jamal al-Dura : un transfert de tendons.
    Ces blessures, ou celle à l’artère fémorale, de Jamal al-Dura peuvent-elles avoir été causées par des balles à haute vélocité, de M 16 ? « Impossible, car l’artère aurait été sectionnée, le bras amputé, la paroi interne de vaisseaux décollée, des tissus auraient été aspirés… », a asséné ce médecin militaire émérite qui s’est défendu d’avoir violé le secret médical. Un grief absent des poursuites lancées par Jamal al-Dura. Fort de l’autorisation de ses supérieurs hiérarchiques, le Dr Yehuda David a souligné avoir été précis dans son interview, sans sortir de son domaine de compétence.
    Pour démonter ce médecin, Me Orly Rezlan a « produit de nombreux documents… Nombre de ces documents (rapports médicaux, radiographies, comptes-rendus d’interviews…) étaient traduits de l’arabe et rédigés sur papier libre le plus souvent sans indication de date ou de source. A noter en particulier, un curieux certificat médical jordanien, contredisant celui de la défense, mais dépourvu du tampon de l’hôpital duquel il était censé émaner. Poussée dans ses retranchements, maître Rezlan a fini par reconnaître qu’elle avait trouvé ce document sur… Internet, provoquant une certaine stupeur dans le prétoire ! » (Actualité juive, 17 février 2011)
    Après le visionnage du film de France 2 sur les cicatrices de Jamal al-Dura, le Tribunal a entendu les témoins. [...]
    Les images des al-Dura ont bouleversé Richard Prasquier, président du CRIF : « Si c’est vrai, si un soldat israélien tirait sur un enfant, c’est contraire à tout ce que j’ai cru toute ma vie. Il est impossible de soutenir quelque chose de pareil ». Richard Prasquier a rappelé son souhait de constituer une commission d’enquête composée d’experts afin d’établir les faits, et a regretté les réticences de Patrick de Carolis, président de France Télévisions, alléguant qu’il n’arrivait pas à obtenir l’autorisation des autorités israéliennes afin de permettre à Jamal al-Dura de se rendre à Paris via Israël. Or, les autorités israéliennes ont assuré n’avoir reçu aucune demande en ce sens. Une demande qui aurait reçu leur accord si elle leur avait été présentée. Le témoignage de Richard Prasquier revêt une signification double : par sa fonction dirigeante au CRIF, et sa volonté d’être présent au côté des prévenus la veille du prestigieux dîner du CRIF.
    Quant au professeur Marcel-Francis Kahn, bien que non chirurgien, il a effectué des expertises en « radiologie osseuse et chirurgie de guerre ». Nul doute pour lui que la cicatrice au niveau de la fesse de Jamal al-Dura résulte d’une blessure par balles israéliennes. Le fondement de sa certitude ? Les radios examinées. Mais ces radios ne mentionnent aucun nom, aucune date, aucun lieu pour les authentifier. « Ce sont des radios sans aucune source. Comment peut-on être sûr qu’il s’agit de radios de Jamal al-Dura ? Le rapport de radiographie n’a pas été communiqué », a raillé Me Alain Jacubowicz. Ce qui a fait sourire les autres avocats des prévenus et la salle. Le professeur Marcel-Francis Kahn a peiné à répondre aux questions précises du Dr Yehuda David, dédaigneux à son égard. Le Dr Yehuda David a informé le Tribunal que des Palestiniens tirent une balle dans la fesse de ceux présumés avoir collaboré avec l’Etat d’Israël. Tandis que Me Gilles-William Goldnadel, avocat de Clément Weill-Raynal, a relevé que le professeur Marcel-Francis Kahn est un témoin qui omettait de mentionner son militantisme pro-palestinien. [...]
    Puis, Mme Dominique Lefebvre-Ligneul, représentant le Procureur de la République, a requis la relaxe des prévenus. [...] Le jugement devait être rendu le 29 mars 2011. La date a été reportée au mois d'avril 2011. « J’aurais aimé continuer [d’enquêter]. Les poursuites judiciaires ont fait qu’il y a moins d’article sur cette affaire dans Actualité juive. C’est peut-être le but recherché… », a déploré Clément Weill-Raynal lors de cette audience. [...]"


"Processus de paix"

- Israël pourrait sévir en cas de déclaration unilatérale de la Palestine (Guysen) - "cette voie n'est pas à sens unique".
http://www.guysen.com/news_Israel-pourrait-sevir-en-cas-de-declaration-unilaterale-de-la-Palestine_308194.html
   "Israël pourrait prendre des mesures de rétorsion contre l'Autorité palestinienne si celle-ci persistait à rechercher une reconnaissance internationale d'un Etat sur les "frontières de 1967" hors du cadre des pourparlers de paix, a prévenu mardi Ygal Palmor, porte-parole de la diplomatie israélienne. ''Nous pensons qu'emprunter la voie des mesures unilatérales est une très dangereuse erreur, car cette voie n'est pas à sens unique", a-t-il affirmé."

- PA leadership considering formally abandoning Oslo in September (Elder of Ziyon) - "Of course, this means that Israel can start building settlements outside the boundaries of existing communities as it has been for years, and can ignore the Areas A, B and C that have been created during the Oslo process".
http://elderofziyon.blogspot.com/2011/03/pa-leadership-considering-formally.html
   "A member of the PLO Executive Committee, Hanna Amira, has told Al Quds Al Arabi Monday that the Palestinian leadership is considering throwing out their agreements with Israel, according to the Oslo accords, in September. "There are proposals on the table for discussion, including the abandonment of the PLO of its obligations under the agreements signed and implemented", he said, stressing that the situation will not remain as it is now, and said, "things after September will be as they were before."
    The PLO has been planning to declare itself a state in September. He also said that the PLO is planning to hold meetings in Arab capitals to prepare for September. The Palestinian Authority reports to the PLO, and the PLO is in charge of all non-domestic issues.
    Of course, this means that Israel can start building settlements outside the boundaries of existing communities as it has been for years, and can ignore the Areas A, B and C that have been created during the Oslo process. The IDF should be prepared to re-enter Ramallah and Nablus in September. After all, if one party abrogates an agreement, then the other is not bound by it either - that's what an agreement means.
    Israel should make that clear today, and the Quartet should tell the PLO that unilateral actions on their part that destroy the existing agreements with Israel will not be rewarded. Not that the Quartet ever had strong words for the PLO and its already existing violations of Oslo."

- Israël envisagerait d'annexer les implantations juives de Cisjordanie (AP) - "d'autres options sont aussi étudiées, comme la limitation de la fourniture d'eau au-delà des quantités prévues et des restrictions à l'utilisation commerciale des ports israéliens par les Palestiniens".
http://fr.news.yahoo.com/3/20110329/twl-israel-palestiniens-cisjordanie-951b410.html
   "Israël envisage d'annexer d'importantes implantations juives en Cisjordanie si les Palestiniens cherchent à obtenir unilatéralement la reconnaissance internationale de leur Etat en septembre aux Nations unies, a affirmé mardi un responsable gouvernemental israélien ayant requis l'anonymat. [...]
    Bien que l'on considère généralement qu'en cas d'accord de paix Israël conserverait les principales implantations de peuplement bâties depuis 44 ans, toute décision officielle d'annexer une partie de la Cisjordanie créerait un précédent qui accentuerait l'isolement de l'Etat hébreu sur la scène internationale. Les Palestiniens entendent que leur futur Etat indépendant comprenne toute la Cisjordanie, Jérusalem-Est et la Bande de Gaza, actuellement tenue par le mouvement islamiste du Hamas.
    La source gouvernementale israélienne a précisé que d'autres options que l'annexion des principales implantations étaient aussi étudiées, comme la limitation de la fourniture d'eau au-delà des quantités prévues [car Israël en fournit davantage que ce que les accords passés ont prévu] et des restrictions à l'utilisation commerciale des ports israéliens par les Palestiniens.
    Le bureau du Premier ministre Benyamin Nétanyahou n'a pas fait de commentaire. Mais Nimr Hamad, un conseiller du président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a déclaré que "ces menaces ne sont pas nouvelles (...) mais nous poursuivons (notre campagne pour la reconnaissance de l'Etat palestinien) et sommes convaincus que notre position est juste". Les Palestiniens refusent de reprendre les négociations de paix tant qu'Israël n'a pas gelé toute construction en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Les autorités israéliennes répondent qu'un moratoire sur la construction n'a jamais été exigé pour discuter auparavant. [...]"
- Netanyahou dément les rumeurs d'annexion des blocs de population de Judée-Samarie (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Netanyahou-dement-les-rumeurs-d-annexion-des-blocs-de-population-de-Judee-Samari_308204.html
   "Le cabinet du Premier ministre a démenti les rumeurs selon lesquelles Israël répliquerait à la création d'un Etat palestinien en annexant les grands blocs de population de Judée-Samarie. "Israël préfère d'autres voies contre les Palestiniens, dans le cadre de négociations directes," selon le communiqué publié par le cabinet de Binyamin Netanyahou suite aux rumeurs provenant de fonctionnaires anonymes proches du ministère des Affaires étrangères. Ces rumeurs faisaient état de représailles par des annexions de blocs de population en Judée-Samarie, suite à la politique "de fait accompli" de reconnaissance de l'Etat palestinien par l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas."

- 'Abbas would give up US aid to reconcile with Hamas' (JP)
http://www.jpost.com/MiddleEast/Article.aspx?ID=214180&R=R1
   "Palestinian Authority President Mahmoud Abbas is willing to give up hundreds of millions of dollars of US aid if that is what is necessary to forge a reconciliation deal with Hamas, the Associated Press quoted his adviser as saying on Monday. Azzam Ahmed stated that "the Palestinians need American money, but if they use it as a way of pressuring us, we are ready to relinquish that aid." [...]"

- Rivline : « Il n’y aura pas deux souverainetés à Jérusalem », Shraga Blum (Arouts 7) - « cela transformerait la ville en une autre Belfast »
http://www.israel7.com/2011/03/rivline-%C2%AB-il-n%E2%80%99y-aura-pas-deux-souverainetes-a-jerusalem-%C2%BB/
   "Une imposante délégation de personnalités et donateurs juifs membres du K.K.L, venues de 30 pays, et dirigée par le président mondial, Effi Schtanzler, a visité mardi la Knesset. Les invités ont été reçus pas le président du parlement, Reouven Rivline et par un certain nombre de députés. Dans son intervention, Rivline a rappelé à ses hôtes que « la Knesset se trouve à quelques kilomètres à peine à vol d’oiseau de Bethlehem ou Ramallah, et les populations juive et arabe sont étroitement imbriquées ». Il a également déclaré : « Il n’y a aucune possibilité d’établir deux souverainetés séparées dans la capitale, car cela transformerait la ville en une autre Belfast »."

- Facebook bloque l’appel à l’Intifada, Claire Dana-Picard (Arouts 7)
http://www.israel7.com/2011/03/facebook-bloque-l%E2%80%99appel-a-l%E2%80%99intifada/
   "Le réseau social Facebook a finalement décidé de fermer son accès au groupe qui a appelé à une troisième Intifada le 15 mai prochain, date de l’indépendance de l’Etat d’Israël que les Arabes surnomment le jour de la Naqba, la « catastrophe ». Ce groupe, ouvert le mois dernier, avait déjà réuni près de 250 000 adhérents. Rappelons que le ministre de la Diaspora et de la Hasbara Youli Edelstein avait adressé la semaine dernière une lettre au fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, pour lui demander de fermer la page appelant à des actions violentes contre Israël."

- Israel and The Occupation Myth, Danny Ayalon (Deputy Foreign Minister) - "This myth has no historical foundation, but is easy to proclaim for those who have little understanding of the conflict".
http://jssnews.com/2011/03/29/israel-and-the-occupation-myth/
   "The recent murder of a family of five in Itamar shocked Israelis to their core. A terrorist broke into the Fogels’ home before stabbing and garroting to death the two parents, Udi and Ruth, and their children Yoav, 11 years old, Elad, 4, and almost decapitating Hadas, who was only three months old.
    There has since been very little outcry from the international community. Many nations who are so used to condemning the building of apartment units beyond the Green Line remained silent on this sadistic murder. Meanwhile, the few international correspondents to have covered the massacre have placed it in the context of ongoing settlement-building and Israel’s so-called “occupation.”
    However, regardless of one’s views on which people have greater title to Judea and Samaria, or the West Bank, it is a historically inaccurate distortion to claim that the occupation that breeds this type of violence. If this mantra were true, then it must be the case that before the occupation there was no violence. This defies the historical record.
    In 1929, the Jewish community of Hebron—which stretches back millennia, long before the creation of Islam and the Arab conquest and subsequent occupation of the area—was brutally attacked. The Jews who had been living peacefully with their Muslim neighbors were set upon in a bloody rampage, inspired by Palestinian Mufti Haj Amin al-Husseini, who later became notorious as Hitler’s genocidal acolyte during the Holocaust. In two days, 67 Jews were hacked or bludgeoned to death. Jewish infants were beheaded and Jewish women were disemboweled. Limbs were hacked off the dead as well as those who managed to survive.
    On visiting the scene shortly after the massacre, Britain’s High Commissioner for Palestine John Chancellor wrote to his son “I do not think that history records many worse horrors in the last few hundred years.”
    This and other similar pogroms happened, not only before the “occupation” of Judea and Samaria, but even two decades before the state of Israel was reestablished. From 1948 to 1967, Judea and Samaria were illegally occupied by Jordan, which renamed the area the West Bank, in reference to the East Bank of the Kingdom of Jordan that fell beyond the Jordan River. Not one Israeli was allowed into this area, yet nor did Israel know one day of peace in that time, during which it saw brutal attacks launched from the West Bank against Israeli civilians.
    Further evidence against the mantra that the occupation breeds violence can be culled from Palestinian sources. Take Hamas’s founding charter, for instance, which does not mention occupation or settlements. What is does contain are calls for the complete destruction of Israel, down to its last inch, such as: “Israel will exist and will continue to exist until Islam will obliterate it, just as it obliterated others before it.” The charter goes even further, aspiring to a point in time when there will be no Jews left anywhere in the world.
    Meanwhile, the Palestine Liberation Organization, currently headed by President Mahmoud Abbas, notes in its founding charter that “this organization does not exercise any regional sovereignty over the West Bank,” while still calling for a “liberation of its homeland.” This was written in 1964, fully three years before Israel conquered the West Bank during the Six Day War.
    It’s safe to say that the violence and terror visited upon Israelis has little connection to “occupation” or settlements. This myth has no historical foundation, but is easy to proclaim for those who have little understanding of the conflict.
    Yet these fatuous canards only make our conflict harder to solve. The recent massacre in Itamar highlighted the Palestinian Authority’s ongoing incitement to violence through its media, mosques and educational system. At this point, the basic parameters of the peace process need an overhaul. If our aim is to reach a peaceful resolution, then merely ending the “occupation” would far from guarantee that, as history has shown.
    Israel was assured in the past by the international community that if it just retreated from Gaza and Lebanon, peace would flourish and violence would come to an end. In both cases, this hope proved deadly wrong, and millions of Israelis have been subjected to incessant attacks from these territories since the retreat.
    This is not about “occupation” or territory; it is about meaningful coexistence. Only when the root ideological causes of our conflict are solved can Israelis and Palestinians make the painful concessions necessary for peace."

- The Palestinians: Why Is Abbas Running After Hamas?, Khaled Abu Toameh (Hudson Institute) - "The message he is sending to the Americans and Europeans is: Get me all that you can from Israel or else I will go to Hamas".
http://www.hudson-ny.org/1999/abbas-running-after-hamas
   "Instead of searching for ways to revive the peace process with Israel, Palestinian Authority President Mahmoud Abbas has been busy seeking permission from Hamas to visit the Gaza Strip. However those who think that Hamas would one day agree to cede control over the Gaza Strip are living in an illusion. It would be better for Abbas if he invested his energies in reviving the peace process instead of courting Hamas.
    Abbas, who has not been able to visit the Gaza Strip ever since Hamas drove the Palestinian Authority out of the area in the summer of 2007, says he would like to travel to the Gaza Strip to talk with Hamas leaders about the establishment of a new Palestinian government that would prepare for presidential and parliamentary elections and pave the way for reconciliation between his Fatah faction and the Islamist movement.
    On March 15, thousands of Palestinians took to the streets in the West Bank and Gaza Strip as part of a Facebook campaign inspired by the current wave of popular uprisings sweeping through the Arab world. In response to the campaign, Abbas immediately announced that he was prepared to go to the Gaza Strip to talk with Hamas about ways of ending the split between the West Bank and Gaza Strip: he launched his initiative to travel to the Gaza Strip after calls from many Palestinians to Fatah and Hamas to end their power struggle.
    His announcement, however, is seen by many Palestinians as an attempt to absorb popular discontent with the ongoing power struggle between Hamas and Fatah. Abbas's initiative is aimed at showing Palestinians that -- contrary to Hamas allegations -- he is interested in putting an end to the dispute. Abbas's critics argue that his initiative is nothing but a ploy intended for local consumption because he does not want to be held responsible for obstructing "national unity."
    But other Palestinians say that Abbas's plan is also designed to send a message to the Americans and Europeans that unless they step up pressure on Israel he will have to join forces with Hamas. The Palestinian leader wants the US and EU to force Israel to make concessions to the Palestinians, including a complete cessation of construction in West Bank settlements and east Jerusalem neighborhoods. The message he is sending to the Americans and Europeans is: Get me all that you can from Israel or else I will go to Hamas.
    Abbas's initiative could also be directed against Prime Minister Salam Fayyad, whom he asked a few weeks ago to form a new government. Abbas's offer to discuss with Hamas the formation of a new government came while Fayyad continues to negotiate with representatives of various Palestinian political factions about the formation of a new cabinet. Some Palestinians are wondering whether Abbas is trying to bypass or marginalize his prime minister.
    In the meantime, Hamas leaders also appear to be suspicious of Abbas's true intentions. Many Hamas leaders have dismissed his initiative as a "conspiracy" aimed at undermining the Islamist movement's authority in the Gaza Strip. Hamas's armed wing, Izaddin al-Kassam, has even gone as far as threatening to assassinate Abbas if he dares to set foot in the Gaza Strip.
    Whatever his motives are, it is obvious that Abbas is just wasting precious time."

- The effect of changes in the Arab world: Israelis and Palestinians, take note, Yossi Alpher (former director of the Jaffee Center for Strategic Studies at Tel Aviv University) - "this might conceivably suggest the possibility of armed Arab intervention in Palestinian affairs or in some aspect of the Israeli-Palestinian conflict" ; "The more extreme elements in the Hamas leadership make no secret of their anticipation that this will strengthen their hand".
http://www.bitterlemons.org/inside.php?id=46
   "The past ten days of revolution in the Arab world have been marked by four dramatic developments that could be relevant to the Israeli-Palestinian conflict and its solution. Saudi Arabia led a Gulf Cooperation Council expeditionary force into Bahrain. A coalition of mainly western countries led an armed intervention in Libya upon the request of the Arab League. In Egypt, a referendum overwhelmingly approved a series of constitutional amendments that were supported by the Muslim Brotherhood and the army but opposed by the youth coalition that led the revolution. And violent protests against the regime erupted throughout Syria.
    The revolutionary dynamic in Bahrain, Libya, Egypt, Syria and elsewhere has not yet run its course. Hence any attempt to draw lessons and point to ramifications from events in these countries must be cautious. Nevertheless, what is happening is so dramatic that it begs closer observation by Israelis and Palestinians alike.
    Let's begin with the least likely ramifications and work back to the more immediately relevant. If the GCC can intervene militarily in Bahrain due to fear of Iranian-backed Shiite encroachment there, and if the Arab League can ask the United Nations to impose a no-fly zone over Libya in order to rescue the opposition to Muammar Gaddafi from defeat, this might conceivably suggest the possibility of armed Arab intervention in Palestinian affairs or in some aspect of the Israeli-Palestinian conflict.
    There is a school of Israeli strategic thought that has long proposed returning the West Bank, or part thereof, to Jordan, and the Gaza Strip to Egypt. Under present circumstances, such a "solution" is out of the question. But if the current revolutionary wave were to strike these territories in an extreme manner that endangers not only Israel but their Arab neighbors, perhaps the notion that those neighbors would intervene militarily could become a little less unrealistic. Meanwhile, as we shall see, more limited interaction between events in Palestine and those in neighboring countries is certainly possible.
    The future of the Gaza Strip's relationship with Egypt is relevant also within the context of the Egyptian referendum, where for the first time since revolution broke out the Muslim Brotherhood played a central and influential role. It now has to be assumed that the Brotherhood, which is far better organized politically than Egypt's nebulous youth coalition and the more traditional but small parties like the Wafd, will emerge from September's parliamentary elections as a major power broker, tolerated by the armed forces and endorsed by a considerable portion of the electorate. The more extreme elements in the Hamas leadership make no secret of their anticipation that this will strengthen their hand--in Gaza, perhaps in Sinai, in the West Bank, and certainly in any future Hamas-Fateh negotiations over unity. Under these circumstances, Egypt might no longer support the Palestinian Authority leadership the way it did under Hosni Mubarak, while a clash between Israel and Hamas in Gaza could provoke a crisis between Israel and Egypt.
    Meanwhile, events in Syria pose even greater uncertainties for Israel and the prospects of peace. The Bashar Assad regime has been asking Israel to renew peace negotiations for several years now. Virtually the entire Israeli security establishment endorsed the idea, due to the prospect of leveraging a Golan-for-peace deal into Damascus' agreement to distance itself from Iran, Hizballah and Hamas. Had they become a reality, Israeli-Syrian negotiations could have had far-reaching consequences for Israeli-Palestinian negotiations, whether by pushing the latter to the back burner or by weakening Hamas.
    At this point in time, however, Israel is well-advised to sit tight and wait. The outcome in Syria is impossible to predict. If the Assad regime falls, it could be replaced by either a secular or an Islamist Sunni regime or even by more militant Alawites desperate to preserve their vested interests. Or the Assad regime as we know it could survive, whether by liberalizing or, conceivably, by massacring large numbers of its opponents, as Hafez Assad did in Hama in 1982. The outcome, whatever it is, could potentially affect three Israel-related peace processes or prospects: with Syria, with Lebanon and with the Palestinians. It could also lead to war, if Syria's hundreds of missiles with their chemical warheads fall into the wrong hands.
    Beyond these issues lie heavy questions regarding both the potential relationship between Arab democracy, if indeed it blooms, and Arab-Israel peace, as well as the ongoing relevancy of the Arab Peace Initiative in an era of radical Arab regime change. More immediately, however, we must address events inside Palestine that appear to derive their inspiration from the revolutions around us. Relatively moderate and limited youth demonstrations in Ramallah and Gaza have focused thus far on unity rather than on specific regime change in the West Bank or Gaza. Yet in Israeli eyes, even this fairly modest agitation apparently generated an intra-Palestinian political cycle that has played itself out in the form of mortar and rocket attacks from Gaza and terrorist attacks in Jerusalem and Itamar.
    More such cycles of events are almost certainly in store. It is apparently too late for Israel to initiate peace talks with Syria in the hope of forestalling or influencing revolutionary challenges there. But precisely because developments in Egypt, Syria and possibly even Jordan are liable to end up strengthening Hamas, the Netanyahu government should recognize that it has a powerful interest in strengthening the moderate Palestinian camp through a settlement freeze, confidence-building measures and, above all, sincere negotiations."


Israël

- Quatre Palestiniens suspectés d'avoir violé pendant plusieurs semaines un enfant de 11 ans originaire de Bney Brak (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Quatre-Palestiniens-suspectes-d-avoir-viole-pendant-plusieurs-semaines-un-enfant_308209.html
   "Quatre Palestiniens séjournant illégalement en Israël ont été mis en garde à vue par la police du district de Dan (région de Tel Aviv). Ils sont suspectés d'avoir violé pendant plusieurs semaines un enfant de 11 ans, originaire de Bney Brak, une ville ultra-orthodoxe de la banlieue de Tel Aviv. L'enfant aurait fini par avouer à son frère, qui a porté plainte, les sévices dont il aurait été victime."


Gaza & Hamas

- Une protection à l’épreuve, Yossi Yehoshua, Yaron Sasson & Roni Shaked (Yediot Aharonot) - "Chaque missile d’interception coûte près de 40 000 dollars" ; "Le Caire a annoncé son intention de rouvrir prochainement à titre permanent le poste-frontière de Rafah, comme geste de bonne volonté du nouveau régime à l’égard du Hamas".
http://www.ambafrance-il.org/REVUE-DE-PRESSE-Vendredi-25-mars.html
   "Pour la première fois, Israël a déployé hier [dimanche] un dispositif de protection contre les roquettes autour d’une ville menacée. La batterie du système Dôme de Fer qui a été placée autour de Béer Shéva fournira pour l’heure une protection contre les tirs mais les responsables militaires soulignent : Ce système n’offre pas une protection complète.
    « Le système fournira aux habitants du sud du pays une bonne protection face aux tirs de roquettes, mais pas une protection hermétique », a indiqué hier le commandant de la protection aérienne, le général Doron Gavish. Selon lui, la population doit continuer à respecter les consignes de la Défense civile. Chaque missile d’interception coûte près de 40 000 dollars.
    Le Premier ministre Netanyahu a évoqué hier le déploiement de Dôme de Fer, déclarant que la véritable réponse à la menace des roquettes est de conjuguer moyens offensifs et dissuasion, d’une part, et moyens défensifs, de l’autre. Netanyahu s’est entretenu hier avec les maires du sud du pays et a demandé au ministre de l’Education, Gideon Saar, et au ministre chargé de la défense civile, Matan Vilnaï, de lui remettre d’ici cinq jours un état des lieux concernant la protection des établissements scolaires dans le sud du pays.
    En attendant, quelques heures à peine après que les organisations palestiniennes aient annoncé un cessez-le-feu « tant qu’Israël le respecterait », un appareil israélien a tué deux membres du Jihad islamique qui s’apprêtaient à tirer des roquettes dans le nord de la bande de Gaza. Un troisième a été blessé. Le Jihad islamique a admis que les deux hommes qui ont été tués étaient membres de sa branche armée mais a démenti qu’ils aient été en train d’opérer. « Leur mort prouve qu’Israël poursuit sa politique de haine et ses crimes contre notre peuple et se prépare à une nouvelle guerre contre la bande de Gaza », a fait savoir l’organisation.
    Par ailleurs, l’Egypte indique au Hamas qu’elle souhaite améliorer ses relations avec la bande de Gaza et tourner la page dans ses relations avec le gouvernement de Hamas. Le Caire a en effet annoncé son intention de rouvrir prochainement à titre permanent le poste-frontière de Rafah, comme geste de bonne volonté du nouveau régime à l’égard du Hamas. Dans la bande de Gaza on affirme que le cessez-le-feu réclamé par le Hamas fait suite à la demande égyptienne d’un retour au calme."

- Les discussions Hamas/Fatah se poursuivront au Caire, Khaled Abu Toameh (JP) - "Ces discussions, au Caire, seront les premières en dehors de l'arbitrage du président Hosni Moubarak".
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1300962198190&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
   "Le week-end dernier, le dirigeant de l'Autorité palestinienne (AP) Mahmoud Abbas, rencontrait de nombreux représentants du Hamas, dans son bureau de Ramallah. Il s'est notamment entretenu avec Abdel Aziz Dweik et Nasser Eddin al-Shaer, l'un des plus hauts-gradés du mouvement. Selon Khaled Abdel Majid, secrétaire général du Comité de suivi national et de l'Alliance des forces palestiniennes, les membres des deux partis sont d'accord pour se rencontrer à nouveau, en Egypte. Ils poursuivront ainsi les négociations sur la possibilité d'une réconciliation nationale.
    Ces discussions, au Caire, seront les premières en dehors de l'arbitrage du président Hosni Moubarak. Elles se concentreront sur la proposition d'Abbas de voyager dans la bande de Gaza, ainsi que sur l'établissement d'un nouveau gouvernement et sur la mise au point d'une politique commune. Il sera également question des prochaines élections présidentielles et parlementaires. Le secrétaire du Conseil a ajouté que les discussions menées entre les deux parties, en Syrie, étaient positives et s'étaient déroulées dans une atmosphère amicale.
    Le leader du Hamas, Mahmoud Zahar, en visite au Caire, a exprimé, lundi, son souhait de voir Abbas reporter sa visite dans la bande de Gaza, jusqu'à ce que les parties parviennent à un accord. "Il y a un consensus au sein du Hamas sur la nécessité d'une réconciliation [avec le Fatah]", a déclaré Zahar.
    Le leader du parti au pouvoir à Gaza est le premier officiel du Hamas à se rendre en Egypte depuis la chute du régime de Moubarak. Il a affirmé que la "révolution" égyptienne était un bienfait pour la cause palestinienne. Avant d'ajouter qu'il espérait rencontrer prochainement le ministre égyptien des Affaires étrangères, Nabil al-Arabi. Zahar a déclaré que son mouvement souhaitait voir l'Egypte rouvrir le poste-frontière de Rafah, point de passage vers la bande de Gaza. Il a également exprimé le souhait de voir les autorités égyptiennes libérer tous les prisonniers membres du Hamas, détenus sur son territoire. Enfin il a appelé à la réouverture de l'ambassade égyptienne dans la ville de Gaza."

- Roquettes du Hamas : Le porte-parole de Tsahal répond à Al-Jazeera (Vidéo 5mn21) - La traduction française de cet entretien très animé.
http://www.youtube.com/watch?v=EwK0ZW4FR44&feature=player_embedded
    - Al-Jazeera : "Nous revenons vers Avichaï Adraee, porte-parole de l'armée israélienne à Tel-Aviv. Vous vouliez ajouter quelque chose et disiez que nous vous avions coupé, et vous voulez un droit de réponse ? Allez-y."
    - Avichaï Adraee : "Comme je l'ai déjà dit, j'ai suivi la couverture d'Al-Jazeera depuis ce matin et écouté ce que vous disiez, à savoir qu'Israël utiliserait les missiles tirés par les Palestiniens comme une sorte de prétexte pour lancer une campagne militaire et des raids aériens. Cette campagne militaire n'est pas faite d'après un "prétexte". C'est la réponse à un acte de guerre barbare commis par une organisation terroriste qui vise les civils israéliens vivant dans les zones adjacentes à la Bande de Gaza.
    Il y a eu des centaines de missiles tirés sur les têtes de nos hommes, femmes, enfants, personnes âgées ces derniers jours mêmes. Est-ce que quelqu'un a vraiment pensé que nous n'allions pas défendre nos citoyens ? Comment serait-il seulement possible qu'une telle situation dans le sud d'Israël puisse continuer, alors qu'Israël est la cible de ces attaques..."
    - Al-Jazeera : "Pourquoi serait-il normal que vous vous défendiez, et anormal pour l'autre camp de faire la même chose ? Où est la barbarie ici ? Une minute s'il-vous-plaît... Où est la barbarie : dans le fait d'envoyer des missiles ou dans ce que nous voyons ici qui ressemble à un film d'Hollywood, une cruauté où nous voyons des douzaines de corps jonchant le sol ?"
    - Avichaï Adraee : "Ces corps sont ceux de membres du Hamas qui s'engagent dans des actes de guerre contre nous (qui tirent des roquettes). Cette barbarie est maintenant devenue un festival oratoire où les gens font des discours enflammés menaçant Israël et menaçant les citoyens israéliens avec des slogans tels que "après Sdérot et après Ashkélon" et autres semblables. Plutôt que de nous menacer et de nous attaquer ils auraient pu investir leur argent dans les besoins quotidiens des Palestiniens. Voici la barbarie dont je parle.
    Pour chaque citoyen palestinien aujourd'hui tout revient à une chose, et à une chose seulement. Toute plainte, toute souffrance, toute tragédie, tout cela n'est causé que par une seule chose : le mouvement Hamas. Israël le dit, et je l'ai répété de nombreuses fois : le calme répondra au calme. Mais le calme après avoir lancé des centaines de roquettes contre nous ? Ce n'est pas acceptable. Un retour au calme après la fin du cessez-le-feu [était l'intention], mais le Hamas a mis fin au cessez-le-feu. Et maintenant vous voulez revenir à la case départ après nous avoir lancé une pluie de missiles ? Cela n'arrivera pas.
    Israël ne laissera pas les choses se passer ainsi. Il est impossible à Israël d'esquiver ses responsabilités [de protéger ses citoyens]. Le camp responsable de la situation est le Hamas. Vous frappez et après vous pleurez et êtes le premier à vous plaindre ? J'ai déjà dit tout cela auparavant, c'est la situation palestinienne actuelle. Je ne suis pas le Premier ministre et ce n'est pas moi qui décide prioritairement en Israël. Je le dis depuis une perspective militaire : nous sommes engagés dans une opération continue, mais une opération qui peut être arrêtée à tout moment. Seulement [le Hamas] doit fournir les circonstances adéquates pour que cela se produise, et ils doivent comprendre clairement le message. Et je leur dis où qu'ils soient : "Celui qui a l'intention de te tuer, tue-le d'abord [avant qu'il ne te tue]", c'est un célèbre proverbe arabe.
    Si le Hamas croit ou cultive l'illusion qu'ils peuvent continuer à faire pleuvoir les missiles sur nous, eux et leurs leaders s'égarent. Est-ce qu'ils ont vraiment cru que nous n'allions pas défendre nos citoyens ? Nous allons poursuivre ces terroristes où qu'ils soient. Donc s'ils cachent des armes dans une maison civile alors nous la frapperont car autrement ils utiliseront ces missiles contre nous. Les citoyens palestiniens doivent désormais le comprendre très clairement. Israël ne cherche pas des prétextes, Israël défend la vie de ses citoyens. Donc les Palestiniens doivent demander à leurs dirigeants de les défendre..."
    - Avichaï Adraee : "Donc vous dites qu'il n'y a pas eu d'Israélien touché par les roquettes ? OK, super, c'est merveilleux ! Les roquettes palestiniennes sont donc inutiles, elles n'ont pas blessé d'Israélien. Elles ne tuent pas les Israéliens. Parfait. Dans ce cas pourquoi les lancer ? Pourquoi prendre ce risque d'eux-mêmes ? Ce n'est pas un prétexte. C'est une réponse à une attaque, à un acte de guerre. S'il y a une attaque d'un groupe terroriste contre nous, nous protégerons la vie de nos citoyens. Donc s'ils veulent nous retirer ce "prétexte" qui nous permet de répondre, très bien, nous les invitons à cesser de nous envoyer des roquettes ! Si comme vous le dites à Al-Jazeera ces missiles sont inutiles parce qu'ils ne tuent ni ne blessent les Israéliens, OK alors dans ce cas qu'ils arrêtent de les envoyer ! Ils défendent leurs intérêts personnels, et non pas ceux des citoyens palestiniens.
    Maintenant abandonnez vos illusions ! Vous aurez une réponse israélienne [à ces tirs de roquettes]. Commencez à penser à partir de ces données. Pensez au futur. Comment voulez-vous qu'il soit ? Voulez-vous faire couler le sang ? Ne voulez-vous pas mettre fin à ce cycle de violence et de guerre ? Alors pourquoi ne cessez-vous pas ces actions qui de toute façon ne vous aident en rien ?"


Judée-Samarie

- Quatre habitations provisoires démolies près d'Hébron (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Quatre-habitations-provisoires-demolies-pres-d-Hebron_308163.html
   "L'administration civile épaulée par les gardes-frontières a détruit ce matin 4 habitations provisoires, dont 2 tentes à Hirbat Soussiya, au sud du mont Hébron. On signale des explosions dans le secteur et l'usage de grenades fumigènes par les policiers, mais aucun incident notoire."

- Jets de pierres en Judée-Samarie, un pare-brise israélien brisé (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Jets-de-pierres-en-Judee-Samarie-un-pare-brise-israelien-brise_308178.html
   "Des Palestiniens ont lancé des pierres sur un autobus israélien qui circulait près d'El-Aroub, faisant voler en éclats le pare-brise. Les passagers n'ont pas été blessés."


Europe

- Un groupe suisse anti-israélien veut faire arrêter Shimon Peres (CRIF) - "sa venue à Genève, ville à tradition humanitaire et lieu de défense des droits de l’homme, est aberrante".
http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=24250&returnto=accueil/main&artyd=5
   "Une ONG suisse pro-palestinienne a déposé plainte, lundi 28 mars 2011, auprès du procureur général de Genève contre Shimon Peres pour "crimes de guerre et crimes contre l’humanité". Le président israélien, en visite d’Etat en Suisse, a rencontré le même jour la présidente de la Confédération helvétique, Micheline Calmy-Rey. Ce mardi 29 mars, il se rend à Londres pour une rencontre avec le Premier ministre britannique David Cameron. L’organisation "Droit pour tous", qui a déposé plainte contre le président israélien, a déclaré que "sa venue à Genève, ville à tradition humanitaire et lieu de défense des droits de l’homme, est aberrante".
    Source : European Jewish Press"

- Boycott : l'Université de Londres refuse une subvention israélienne sous la pression de BDS (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Boycott-l-Universite-de-Londres-refuse-une-subvention-israelienne-sous-la-pressi_308205.html
   "L'Institut de Musique Juive (JMI) de l'École des études orientales et africaines (SOAS), un département de l'Université de Londres, vient de refuser une subvention israélienne, sous la pression de groupes pro-palestiniens appelant au boycott d'Israël. Les militants des groupes "British Committee for the Universities of Palestine" (BRICUP), "Jews for Boycotting Israeli Goods" (J-BIG) et "the Boycott Israel Network (BIN)" ont eu gain de cause, les organisateurs d’un festival à l’Institut ayant assuré que l'événement, prévu la semaine prochaine, ne sera aucunement financé par le gouvernement israélien."

- Le Pr Dershowitz n’est pas le bienvenu en Norvège, Claire Dana-Picard (Arouts 7) - "C’est la seconde fois que je me heurte à un refus. La première fois, c’était en Afrique du Sud, à l’époque de l’Apartheid, lorsque j’étais l’avocat de Nelson Mandela. Et la seconde, c’est ici, en Norvège".
http://www.israel7.com/2011/03/le-pr-dershowitz-nest-pas-le-bienvenu-en-norvege/
   "Le professeur Alan Dershowitz est un brillant avocat américain qui enseigne le droit à l’université d’Harvard. De passage en Norvège, où il a été invité par le ICEJ (International Christian Embassy in Jerusalem), il a profité de son séjour pour rencontrer des responsables du mouvement Habad d’Oslo qui lui ont réservé un accueil chaleureux et lui ont donné la parole lors d’une réunion. Dans l’allocution qu’il a prononcée, le Pr Dershowitz a indiqué notamment qu’il avait eu la désagréable surprise de se heurter à un refus lorsqu’il avait demandé de rencontrer les dirigeants norvégiens. Et lorsqu’il a émis le souhait de donner une conférence dans les universités d’Oslo et de Trondheim, on lui a fait comprendre qu’il ne serait pas le bienvenu en raison de ses prises de position en faveur d’Israël.
    Commentant ces « incidents », le Pr Dershowitz a rappelé : « J’ai pris la parole dans les meilleures universités du monde, que ce soit en Allemagne, en Chine, en Russie et même à Bir Zeit. C’est la seconde fois que je me heurte à un refus. La première fois, c’était en Afrique du Sud, à l’époque de l’Apartheid, lorsque j’étais l’avocat de Nelson Mandela. Et la seconde, c’est ici, en Norvège. »
    Comme indiqué plus haut, le Pr Dershowitz a répondu à l’invitation du ICEJ et a donné une conférence devant des étudiants du NTNU. Il a lu alors les premières lignes d’une pétition rédigée par des professeurs norvégiens, appelant au boycott d’Israël qui selon les signataires, « occupait une terre palestinienne depuis 1948 ». Il a conclu tout naturellement en soulignant que ce n’était pas seulement « l’occupation » (depuis 1967) qui était dénoncée dans cette pétition mais aussi l’existence même d’Israël."


Monde

- IDF Aid Delegation Lands in Japan (Vidéo 37 secondes)
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=2HDfLfegVVI

Partager cet article
Repost0
28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 22:39

econ.png

 

- Economist thinks Jews building is as deadly as Arabs killing (Elder of Ziyon)
http://elderofziyon.blogspot.com/2011/03/economist-thinks-jews-building-is-as.html
   "A sickening cartoon in The Economist, that was published on March 17 - after the Itamar massacre. Yes, it is trendy for oh-so-sophisticated British to say that Jews building homes - within their existing communities - as being as deadly to peace as wantonly killing demonstrators. Years of Arabs repeating the mantra that "settlements are the obstacle to peace" easily gets into the heads of credulous leftists who are already looking for reasons to hate Jews."

Partager cet article
Repost0
28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 22:37

France

- Christophe Bigot : ''Israël a le droit de s'auto-défendre'' (Guysen)
http://www.guysen.com/news_S_308059.html
   "L'ambassadeur de France à Tel-Aviv, S.E Christophe Bigot, a affirmé ce matin qu'''Israël a le plein droit de s'auto-défendre pour garantir la sécurité de ses populations civiles'', en marge de la 5e conférence mondiale des Juifs de France qui se tient au Collège académique de Netanya. Il a dénoncé les attaques anti-israéliennes ''violentes touchant des innocents''."

- Dieudonné est en Libye pour soutenir Kadhafi, Blandine Grosjean (Rue89) - "Le fait que Bernard Henri-Levy ait activement contribué à l'intervention de la France en Libye n'est pas étranger à la mobilisation du courant Dieudonné, BHL étant l'une des obsessions de Dieudonné".
http://www.rue89.com/2011/03/28/dieudonne-est-en-libye-pour-soutenir-kadhafi-197257-0
   "L'humoriste Dieudonné serait arrivé en Libye, selon le site antisioniste à tendance antisémite Médialibre. Le Franco-Camerounais avait annoncé qu'il entendait se rendre à Tripoli « pour rencontrer le colonel Kadhafi, afin de protester contre l'agression occidentale. » Toujours selon le rédacteur en chef de Médialibre, Marc Georges, l'humoriste entendait même se rendre sur des objectifs militaires, afin de mettre la coalition devant ses responsabilités : « Curieusement, cette information avait été consciencieusement censurée par les médias de la “démocratie des droits de l'homme”. »
    Dieudonné a décollé dimanche matin accompagné d'une petite délégation parmi laquelle on comptait notamment l'universitaire Maria Poumier et la militante écologiste et pro-palestinienne Ginette Skandrani, deux représentantes du courant « rouge-brun », révisionnistes, négationnistes et pro-Chavez. Leur présence ne nous pas été confirmée. Ahmed Moualek, proche de Dieudonné, nous a confirmé ce voyage. Sur le blog de l'humoriste, on voit Dieudonné poser devant un portrait du dictateur libyen.
    Le fait que Bernard Henri-Levy ait activement contribué à l'intervention de la France en Libye n'est pas étranger à la mobilisation du courant Dieudonné, BHL étant l'une des obsessions de Dieudonné. Il s'intègre aussi naturellement dans la mouvance mondiale incarnée par Hugo Chavez. Mais plus largement, en Afrique, et singulièrement au Cameroun, l'hostilité à la « guerre » que les Français mènent au président libyen mobilise intellectuels et jeunes. Et désormais, Dieudonné se revendique « Africain ». (Voir la vidéo) [...]"


Israël

- Yaalon n’est pas inquiet, Claire Dana-Picard (Arouts 7) - "Yaalon a encore estimé que le chef de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas ne parviendrait pas, malgré ses efforts, à réconcilier le Fatah et le Hamas".
http://www.israel7.com/2011/03/yaalon-nest-pas-inquiet/
   "Les émeutes qui s’amplifient en Syrie ont suscité une certaine inquiétude en Israël où on craint certains débordements. Mais le ministre des Affaires stratégiques Moché Yaalon (Likoud) ne semble pas préoccupé outre mesure par ces derniers développements. Interviewé par la radio Kol Israël, Yaalon a déclaré qu’on ne devait pas craindre que le président Bachar El Assad cherche à « attiser les tensions » à sa frontière nord pour détourner l’attention du soulèvement populaire durement réprimé dans son pays.
    Pour Yaalon, les derniers événements survenus dans les Etats arabes ne comportent pas seulement des dangers et il faut y voir aussi des opportunités. Quant à la situation dans le Sud, Yaalon a rappelé qu’Israël avait quand même réussi, grâce à la politique adoptée ces deux dernières années, à instaurer un certain calme dans la région. Mais il a ajouté qu’il fallait « riposter avec vigueur à toute manifestation de violence ».
    Yaalon a encore estimé que le chef de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas ne parviendrait pas, malgré ses efforts, à réconcilier le Fatah et le Hamas, et ne réussirait certainement pas à obtenir que cette organisation terroriste accepte les conditions posées par le Quartette."

- Israël : une cache d'armes découverte dans la région de Wadi Ara (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Israel-une-cache-d-armes-decouverte-dans-la-region-de-Wadi-Ara_308035.html
   "Une cache d'armes et de munitions a été découverte dans la cour d'un immeuble de la localité arabe israélienne de Kfar Kara, dans la région de Wadi Ara, à 34 kilomètres au sud-est de Haïfa. La police a interpellé 2 suspects."


Gaza & Hamas

- 'Israel's response to rocket fire too soft', Shmulik Hadad (Ynet) - "Les officiers font attention de ne pas pointer du doigt vers le sommet de la hiérarchie ou vers le gouvernement, mais prétendent que les organisations terroristes ont réussi à imposer de nouvelles normes de déclenchement du feu sans être, pour autant, sujettes à représailles".
http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4048579,00.html
Adaptation française Marc Brzustowski :
http://lessakele.over-blog.fr/article-la-reponse-d-israel-aux-tirs-de-roquettes-est-trop-douce-70393615.html
   "Des officiers de Tsahal ont admis, dimanche, qu’Israël  avait perdu plusieurs points dans sa confrontation au Hamas et aux groupes terroristes, du fait de sa façon de répliquer aux récents tirs de roquettes. « On a besoin d’analyser minutieusement comment les choses se sont déroulées ici et espérer que nous n’aurons pas à payer un tribut plus lourd pour le choix de cette manière d’agir dans un futur proche », a déclaré un officier à Ynet.
    Alors que Tsahal doit encore analyser pleinement les récents évènements à la frontière sud, on peut entendre des voix en provenance de l’armée très critiques envers la réponse « trop molle » d’Israël aux tirs de roquettes contre trois villes israéliennes importantes. Plusieurs officiers pensent que le Hamas  est ressorti plus fort du conflit.
    “Après l’opération “Plomb Fondu”, une équation très claire était créée, selon laquelle Tsahal répliquait de façon disproportionnée à toute violation de la situation de calme qui prévalait. C’était la façon de faire et le message qui était transmis à l’autre camp”, explique un officier. “Il y avait bien, de temps en temps, des tentatives pour tester [notre détermination], mais une réponse sérieuse rappelait le message envoyé durant l’opération et ramenait la dissuasion qu’elle pouvait se répéter la prochaine fois”.
    Les officiers font attention de ne pas pointer du doigt vers le sommet de la hiérarchie ou vers le gouvernement, mais prétendent que les organisations terroristes ont réussi à imposer de nouvelles normes de déclenchement du feu sans être, pour autant, sujettes à représailles. “Israël et Tsahal sont constamment testés dans leurs réactions et c’est cela qui détermine le prochain round. Sentir que c’est sans grand risque conduit à envisager les choses autrement et c’est bien pourquoi on a constamment besoin de réviser les décisions d’action d’Israël au fur et à mesure”, explique un officier.
    Pendant ce temps, la nouvelle conception de la défense aérienne israélienne poursuit le « test en grandeur réelle » du système « Dôme de fer » et il est prévu de déployer deux batteries dans des zones différentes du Sud, au cours des prochains jours. Elles seront installées sur des sites choisis à l’avance et mises de côté pour leurs servants.
    Des sources de la sécurité expliquent que le déploiement en cours de la première batterie – près de Beersheva – a une signification symbolique plutôt qu’opérationnelle. Premièrement, selon des sources militaires, la batterie « sautera à cloche-pied » [se déplacera] entre diverses localisations durant les prochains jours, et deuxièmement, tant que la phase de test opérationnel reste incomplet, son efficacité est de fait moindre.
    Plus tard dans la semaine, si des progrès significatifs ont été accomplis et que les tirs de roquettes persistent, des décisions plus consistantes seront arrêtées concernant la mise en position qui doit être faite des deux batteries. “Dans tous les cas de figure, la capacité de les transporter de place en place en quelques heures contribuera à tirer un plein avantage de leurs apports en temps réel”, ajoute cette source de la sécurité.
    Les responsables du Conseil des localités du Sud étaient optimistes, dimanche, à l’issue de leur rencontre avec le Premier Ministre Benjamin Netanyahu, déclarant qu’il avait promis de fournir les financements pour renforcer les fortifications des établissements scolaires qui restent à ce jour non fortifiés. Les dirigeants du Conseil ont expliqué que Netanyahou leur avait dit qu’il tiendrait une concertation sur le sujet et avait ajouté qu’Israël ne lancerait pas d’offensive militaire d’envergure sur la Bande de Gaza dans un avenir proche. « Nous devons agir de façon à stopper les tirs de roquettes, mais on doit trouver le moment approprié pour ce faire », a déclaré Netanyahou aux responsables du Conseil.
    Le Bureau du Premier Ministre a ensuite prétendu que Netanyahou n’avait pas promis de financement supplémentaire pour les fortifications, mais qu’il avait demandé à ce qu’on lui présente toutes les options valables qui contribuent à les renforcer. Assistaient également à la rencontre le Ministre Matan Vilnaï et le Ministre de l’Education Gideon Sa’ar. « En ce moment, ce n’est pas une période idéale pour une offensive militaire, mais nous devons résolument maintenir notre force de dissuasion », Netanyahou a-t-il déclaré aux responsables du Conseil.
    Le Maire d’Ashdod Yehiel Lasri a commenté, juste après la rencontre : « Je pense que c’était une excellente entrevue, et nous avons progressé pour envisager des solutions qui n’avaient pas été imaginées au cours des années précédentes. Le problème essentiel dont nous avons discuté était la fortification des établissements scolaires. »"

- Mofaz veut sévir (JP) - "Toute personne qui décide de s'en prendre à des civils doit savoir que cela ne restera pas sans conséquences".
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1300962196999&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
   "Shaul Mofaz appelle à une "politique d'élimination". Lors d'un meeting à Beersheba, dimanche, le président de la commission des Affaires étrangères et de la Défense, s'est attardé sur la situation dans la bande de Gaza. "Nous l'avons fait avec Rantissi [chef du Hamas dans la bande de Gaza, assassiné en 2004]. Toute personne qui décide de s'en prendre à des civils doit savoir que cela ne restera pas sans conséquences", a-t-il prévenu. Selon lui, "Israël ne peut pas se cacher derrière un système de défense Iron Dome alors que la vie continue à Gaza". Et de critiquer la politique gouvernementale. "Nous devons maintenir notre capacité d'attaque et préserver le rôle de dissuasion de l'armée. Ce sont les organisations palestiniennes qui décideront de ce que nous allons mettre en place"."

- Nétanyahou menace les militants de la Bande de Gaza de représailles militaires (AP)
http://fr.news.yahoo.com/3/20110328/twl-israel-palestiniens-951b410.html
   "Le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a menacé lundi les militants de la Bande de Gaza de représailles militaires en cas de nouvelles attaques de roquettes contre les communautés israéliennes. Israël ne tolérera aucune "pluie de roquettes et de missiles" contre ses localités, a prévenu le chef du gouvernement lors d'une réunion lundi avec son parti, le Likoud, après deux jours de calme relatif le long de la frontière avec le territoire palestinien.
    Les tirs de roquettes et les attaques au mortier ont connu une recrudescence ces dernières semaines, laissant craindre un regain des affrontements. L'Etat hébreu a répliqué avec des frappes aériennes. Si ces attaques se poursuivent, a prévenu Benyamin Nétanyahou, "il y aura des représailles militaires encore plus terribles"."
- Israël : la protection des écoles du sud va être examinée (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Israel-la-protection-des-ecoles-du-sud-va-etre-examinee_308039.html
   "Le Premier ministre Binyamin Netanyahou va réunir dimanche prochain un forum ministériel spécial pour discuter de la protection des écoles et institutions publiques dans le sud d'Israël. Il a enjoint à l'équipe de son cabinet de préparer 2 plans, un pour les établissements scolaires sans protection face aux tirs de roquettes, et un autre qui réponde aux revendications des maires et responsables régionaux du Sud."

- Israël déploie son Dôme de fer (Euronews, Vidéo 56 secondes)
http://fr.euronews.net/2011/03/28/israel-deploie-son-dome-de-fer/
- Trois batteries antimissiles déployées au sud d'Israël (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Trois-batteries-antimissiles-deployees-au-sud-d-Israel_308038.html
   "Une troisième batterie du dispositif antimissile Dôme de fer va être déployée au sud d'Israël, après celle de Béersheva, et d'Ashkelon, dans le cadre d'un ''test opérationnel''. Sa localisation n'a toutefois pas encore été annoncée."

- IDF Spokesman, Capt. Avichai Adraee Interviewed on Hamas Rocket Fire (Al-Jazeera, Vidéo 5mn21) - Le porte-parole de Tsahal répond sans ménagement et en arabe aux accusations d'Al-Jazeera, qui dénonçait la "barbarie" israélienne consistant à répliquer à des roquettes "inoffensives". Un franc parler assez réjouissant.
http://www.youtube.com/watch?v=EwK0ZW4FR44&feature=player_embedded

- La police de Gaza a donné des coups et utilisé des pistolets paralysants sur des femmes journalistes (CRIF)
http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=24233&returnto=accueil/main&artyd=111
   "Le personnel de sécurité du Hamas a effectué dimanche 27 mars 2011 une descente dans les  bureaux de plusieurs médias internationaux, dont Reuters et CNN, et a confisqué du matériel et des documents. Un certain nombre de femmes journalistes palestiniennes se sont plaintes le même jour, d’avoir été été battues et malmenées par les forces de sécurité du Hamas. Elles ont dit que leurs agressions ont eu lieu ces derniers jours alors qu’elles tentaient de couvrir des manifestations anti-Hamas dans différentes parties de la bande de Gaza.
    Source : Jerusalem Post"

- Hamas getting cozy with new Egyptian leaders (Elder of Ziyon) - "He said that Egyptian-Palestinian relations "has improved markedly and were better than in the past"."
http://elderofziyon.blogspot.com/2011/03/hamas-getting-cozy-with-new-egyptian.html
   "Palestine Today (Islamic Jihad) reports that Hamas officials are optimistic that Egypt will re-open their embassy in Gaza. The embassy was closed after the Hamas coup in Gaza.
   "Dr. Mohamed Awad, Hamas minister of foreign affairs said Hamas had applied to the Egyptian government to reopen its embassy in the Gaza Strip, saying that "the government is waiting for the Egyptian response to the request" and saying that there are "positive signs" in that direction. He said that Egyptian-Palestinian relations "has improved markedly and were better than in the past"."
    In a related story, Hamas leader Mahmoud al Zahar was scheduled to meet with Egyptian intelligence head Murad Muwafi and Assistant Foreign Minister Nabil Arabi on Sunday, marking the first time Hamas officials have met officially with the new Egyptian government. Looks like Hamas and the Muslim Brotherhood are getting quite cozy in this new Egyptian "spring" and that Hamas is trying to be recognized as the official Palestinian Arab government to Egypt.
    It also means that the Egyptian revolution may have destroyed the "peace process." Egypt was an important intermediary between Israel and the PA, and that seems to be gone now. Not only that, but by strengthening Hamas politically, it puts the idea of unity between the PA and Hamas that much further away, and any unity government would be much more extremist making peace with Israel even less likely.
    Not that you will find any Western media noticing that. Because how can they admit that two things they wanted so badly are incompatible with each other?"


Judée-Samarie

- Les usagers de la route 60 Hébron-Goush Etsion : "Tsahal nous abandonne" (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Les-usagers-de-la-route-60-Hebron-Goush-Etsion-Tsahal-nous-abandonne-_308106.html
   "Le tronçon de la route n°60 entre Hébron et le carrefour Goush Etsion, en Judée, est devenu une des portions de route des plus dangereuses d'Israël au niveau sécuritaire. Les usagers israéliens sont systématiquement la cible des jets de pierres ou d'engins incendiaires par des Palestiniens. Les automobilistes ont demandé à l'armée de renforcer les patrouilles de militaires. "Nous avons le sentiment d'être abandonnés par Tsahal", ont-ils déclaré."

- Israël : 45 députés signent une pétition pour la construction à Itamar (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Israel-45-deputes-signent-une-petition-pour-la-construction-a-Itamar_308050.html
   "Quarante-cinq députés de la Knesset ont envoyé dimanche une pétition au Premier ministre Binyamin Netanyahou et au ministre de la Défense Ehoud Barak leur demandant de donner leur feu vert à la construction de logements à Itamar où 5 membres de la famille Fogel ont été assassinés au début du mois. La planification urbaine à Itamar est gelée depuis 27 ans, date de la fondation de cette localité à l'initiative du gouvernement, alors que le terrorisme y a fait 22 victimes."


"Processus de paix"

- PA Minister of Prisoners' Affairs and Fatah movement continue to glorify female terrorists (PMW)
http://www.palwatch.org/main.aspx?fi=157&doc_id=4845
   "The Palestinian Authority and the Fatah movement continue to glorify terrorists, including Dalal Mughrabi, who led the most lethal terror attack in Israel's history.
    The PA's Minister of Prisoners' Affairs, Issa Karake, marked International Women's Day and Mother's Day last week by emphasizing the achievements of female terrorists such as Mughrabi, whose 1978 bus hijacking killed 37 civilians, Wafa Idris, the first female suicide bomber, and Darin Abu Aisheh, who blew herself up while attacking Israelis at a roadblock in 2002.
    The Information Committee of the Recruitment and Organization Commission of Fatah, the movement headed by PA Chairman Mahmoud Abbas, earlier this month lauded the role of female "Martyrs" in "advancing the [Palestinian] cause and maintaining the unity of the PLO." It praised Mughrabi and the first female Palestinian terrorist, Shadia Abu Ghazaleh, who participated in attacks against Israeli military facilities before she died while preparing a bomb in 1968. [...]"

- Facebook ne retirera pas l’appel en faveur d’une Intifada, Claire Dana-Picard (Arouts 7)
http://www.israel7.com/2011/03/facebook-ne-retirera-pas-lappel-en-faveur-dun-intifada/
   "Facebook se dit prêt à « surveiller » le groupe qui a publié un appel en faveur d’une troisième Intifada contre Israël mais il a indiqué qu’il ne retirerait pas cet appel. Dans un communiqué, Facebook a précisé lundi soir qu’il n’avait pas pour habitude de retirer des déclarations émises contre des pays, des religions ou des entités politiques. Le groupe, qui a été créé il y a trois semaines, appelle entre autres au soulèvement violent contre Israël le 15 mai prochain, jour de la Naqba, c’est-à-dire le jour de l’Indépendance de l’Etat d’Israël considéré par les Arabes comme une « catastrophe » [Nakba]."

- The effect of changes in the Arab world: Don't end the revolution without the Palestinians, Zvi Bar'el (Middle East analyst of Haaretz daily) - "Any new political initiative that needs Arab consent, such as Arab League approval to hold direct negotiations between Israel and the Palestinians, will now have to address a wider circle and convince public opinion of its merits".
http://www.bitterlemons.org/inside.php?id=48
   ""Now we are like orphans," mourned Zahi, a Palestinian student of political science at Birzeit University. "Egypt is gone, Saudi Arabia is not interested in our problems, Syria is shivering, and there is no Arab League to support us morally." One could argue that the Arab revolutionary movements, having not yet produced a new political order, have indeed left the Palestinians without a political hinterland. It seems as if the Arab states and regimes that were involved in the Palestinian cause and that initiated and signed the Arab Peace Initiative of 2002 are now mostly preoccupied with their internal affairs and their actual survival.
    Yet, it would be a mistake to bemoan or bury the Arab factor in the Israeli-Palestinian conflict. First, while Egypt struggles to formulate a new contract between the state and its citizens, its foreign policy remains intact, leaning on its previous pillars until a new political elite maps new directions toward the world and the region. One interesting change, though, that is beginning to take shape is reconciliation between Egypt and Syria. It is not clear yet what impact this will have on the Israeli-Palestinian conflict, but the Egyptian effort to rehabilitate a traditional Arab axis that includes Saudi Arabia, Jordan and Syria may hint at the perception that a unified Arab policy is still a strategic option. [...]
    Leaders in the Middle East realize that they are not as free as before to design policies, because their publics have proved to be powerful enough to topple two regimes and are not stopping there. Consequently, Arab regimes realize that to regain the hearts and minds of their publics it will not be enough merely to negotiate; now they have to display "good behavior" toward "suffering brothers". Reforming or even changing other regimes in the region may actually ensure a supportive public at home.
    These new developments may reveal a new paradox, wherein a new solidarity among Arab publics may override previous solidarity among Arab leaders, with no Arab leader immune from his public's dictates. Arab publics, through their representative leaders, will probably not stop at realizing their civil rights but will demand a voice in foreign policy and will have to be appeased.
    If this is the new political paradigm by which we analyze the latest events in Libya, Bahrain and Syria, we have to consider its implications for the Israeli-Palestinian conflict. Any new political initiative that needs Arab consent, such as Arab League approval to hold direct negotiations between Israel and the Palestinians, will now have to address a wider circle and convince public opinion of its merits. Further, any American initiative will need the consent of the Arab public once, or perhaps before, it gains the leaders' approval. And Israel will have to adapt to a reality in which a new partner has to be addressed: Arab public opinion, which prior to January 2011 was totally ignored.
    This may spell bad news for the peace process. On the other hand, if the Israeli and Palestinian leaderships find a formula that convinces the Arab public--in addition to the Israeli and Palestinian publics--of its applicability, that agreement will now gain the much wider support of the people rather than just that of an ephemeral leader. And popular support may open the way to further agreements between Arab states and Israel that no longer depend on the political (or physical) lifespan of a particular leader."


Liban, Syrie & Hezbollah

- Lebanese political parties really hated Hezbollah during 2006 war (Elder of Ziyon)
http://elderofziyon.blogspot.com/2011/03/lebanese-political-parties-really-hated.html
   "The Lebanese al Akhbar newspaper has been revealing a large number of Wikileaks cables from the 2006 Lebanon war, and they seem to show one overriding theme: Lebanese political parties really didn't support Hezbollah's kidnapping of Israeli soldiers and its subsequent war.
    NowLebanon has an analysis: "Indeed, several of the cables, written by the former US ambassador to Lebanon, Jeffrey Feltman, show not Hezbollah’s enemies, but its allies expressing discomfort, or displeasure, with the party. They include two parliamentarians from Michel Aoun’s bloc, Farid el-Khazen and Ibrahim Kanaan, and the former health minister, Muhammad Jawad Khalifeh, who is close to the parliament speaker, Nabih Berri (and who described Berri’s anger with Hezbollah)".
    The links to the cables, and excerpts, can be seen here. [...] Lebanese support for Hezbollah today seems to be more because it is the "strong horse" and not because anyone is particularly supportive of the group."

- Le pouvoir israélien redoute un vide politique à Damas, Marc Henry (Le Figaro) - « les Frères musulmans se rapprochent du pouvoir dès qu'un régime dictatorial tombe, comme c'est le cas en Égypte et peut-être aussi en Syrie prochainement ».
http://www.lefigaro.fr/international/2011/03/27/01003-20110327ARTFIG00282-le-pouvoir-israelien-redoute-un-vide-politique-a-damas.php
   "Sur le papier, les dirigeants israéliens ont toutes les raisons de se réjouir de la déstabilisation du régime de Bachar el-Assad. La Syrie fait partie de «l'axe du mal». Elle est alliée de l'Iran, du Hezbollah libanais et abrite les QG des islamistes palestiniens du Hamas et du Djihad islamique qui prônent tous la disparition de l'État d'Israël. Pourtant, les manifestations en Syrie suscitent plus d'interrogations que d'applaudissements. Côté officiel, la prudence est de rigueur. « On ne se mêle pas de cette affaire », proclame Matan Vilnaï, ministre chargé de la Protection des civils. Plus prolixes, des commentateurs se demandent si les alternatives au président Assad ne sont pas pires, en d'autres termes si Israël ne risque pas d'y perdre au change.
    Parmi les scénarios catastrophes figurent une prise du pouvoir des islamistes ou un chaos général. « Depuis près de quarante ans, la frontière entre Israël et la Syrie est la plus calme », souligne Yoav Limor, commentateur militaire de la télévision publique. Il ne manque pas non plus de rappeler que la Syrie dispose de missiles capables d'atteindre n'importe quel point du territoire israélien ainsi qu'un arsenal comprenant des armes chimiques et bactériologiques. « Que se passerait-il si le pouvoir à Damas tombait dans des mains irresponsables ? »
    Ben Ami, ancien ministre des Affaires étrangères, reconnaît qu'à « long terme, la démocratie dans les pays arabes constituera un élément positif pour la paix, mais dans l'immédiat, il faut bien admettre que les dictatures sont stables et savent imposer leur volonté aux éléments incontrôlés ». Ehoud Yaari, spécialiste des affaires arabes à la deuxième chaîne de télévision privée, relève que les « Frères musulmans se rapprochent du pouvoir dès qu'un régime dictatorial tombe, comme c'est le cas en Égypte et peut-être aussi en Syrie prochainement ».
    Itamar Rabinovitch, ancien ambassadeur d'Israël à Washington, se déclare soulagé qu'Israël n'ait pas restitué à la Syrie le plateau du Golan au vu des incertitudes pesant désormais sur l'avenir politique de ce pays. Médias et responsables excluent pour le moment que les Américains ou les Européens se portent au secours des manifestants syriens. « Contrairement à Kadhafi, Bachar el-Assad est perçu comme quelqu'un de sérieux et d'efficace, ce qui pourrait le sauver », souligne un diplomate israélien."

- Syria: Winners and Losers in Eventual Regime Change, Col. (ret.) Dr. Jacques Neriah (formerly Foreign Policy Advisor to Prime Minister Yitzhak Rabin and Deputy Head for Assessment of Israeli Military Intelligence) - "The stability that characterized Syria for the last four decades will be replaced by instability, which could radiates on its neighbors, and certainly on Israel" ; "Iran also might be a loser from regime change in Syria".
http://jerusalemcenter.wordpress.com/2011/03/28/syria-winners-and-losers-in-eventual-regime-change/
   "The recent protests in Syria and the subsequent crackdown by the regime have shown once more that the old concepts governing the assessment of the stability of regimes in the Middle East and North Africa have failed to forecast the demise of totalitarian rule in the Arab world. The old adage used to say that because of the regime of fear governing those countries, and bearing in mind their mighty internal security apparatuses, most of the totalitarian Arab regimes would survive any popular uprising. The “Arab Spring” proved that these old notions were no longer applicable to the reality of the twenty-first century, and that they have contributed to reaching false conclusions about the stability of the different regimes.
    Even if Bashar Assad succeeds in surviving this political tsunami (as he did twice before since he took power in 2000), the Syrian regime will have to make concessions on human rights and freedom of expression that will limit the absolute powers he has enjoyed for the last ten years. Should the Syrian regime fail to quell the protests, these could be the last days of Alawite Shiite rule in Syria.
    Syria under the Assads means rule by a minute minority of Alawites, representing barely 10 percent of the Syrian population. The Sunni majority has been kept out of power for more than 40 years and now it is claiming its share in the power game. One can draw a parallel with Iraq where Shiites have finally taken power from the Sunni minority (with the American assistance) and Bahrain where the majority Shiites are demanding to be partners in power-sharing with the ruling Sunni minority. Sectarian tremors and Shiite unrest have also been felt by the ruling Wahhabi family in Saudi Arabia. Even in Yemen, the northern Shiites are demanding to separate from the Sunni south.
    In the event of the fall of the Assad regime, who could be the next ruler? For more than forty years the opposition has been harassed, persecuted, jailed, deported, and killed. It is very difficult today to identify a figure to rally around. If the regime should fall, it may be expected that the ruling Baath Party will not be allowed to continue as before (Tunisia and Egypt were quick to dismantle their one-party systems). Today, most of the opposition lives and operates outside Syria. The Muslim Brothers – who were very active in Syria until 1982, when Hafez Assad, the father, quelled their rebellion in Hamat at the cost of 17-40,000 killed – could be active again. Some Sunni politicians could be called on and asked to become part of a transitional government. Another possibility could be a (Sunni) military officer who would emerge to lead the country.
    Historically, until the military coup staged by Hafez Assad in 1970, Syria had been a very volatile country where governments succeeded one another at an astounding pace. Military rulers staged military coups, to be replaced by fragile civilian governments. The stability that characterized Syria for the last four decades will be replaced by instability, which could radiates on its neighbors, and certainly on Israel.
    Since 1974 (in the aftermath of the October 1973 war), Israel has enjoyed relative calm on its border with Syria. A change of regime, and certainly to a militant one, would not be to Israel’s advantage, especially if the new Syrian regime would try to “warm up” the border with Israel in order to divert public opinion from domestic problems. Moreover, Israel had been tempted in the past to adventure into peace negotiations with Syria. It is obvious that a regime change in Syria would postpone any such possible negotiations.
    Iran also might be a loser from regime change in Syria. Assad is a strategic ally who pushed for a close relationship with Tehran. As such he also served a transit area for weapons, equipment, and manpower coming from Iran to Hizbullah in Lebanon and vice versa. The protesters in Daraa shouted: “no more Iran, no more Hizbullah,” which might signify that the new Syria will be reluctant to proceed in its policy towards Iran and Hizbullah. Such a development could create tension between the parties and also bring the different parties into a collision course, one favorable to Israel. As an offshoot of this policy, one can assess with a great degree of certainty that Syria will not relinquish its territorial claims in Lebanon (the Bekaa Valley and other areas along their common border). Bashar Assad agreed for the first time in history to a Lebanese ambassador in Damascus. His successors will have to reassess this strategic concession.
    Will a change of regime also affect Syria’s harboring of Hamas and the headquarters of extreme Palestinian organizations? Initially, those organizations may be expected to keep a low profile until the new rulers are known and their policies analyzed. From the signals received during the protests, one could draw the conclusion that much will not change in this field.
    What would become of the relations with neighboring, Shiite-ruled Iraq? Here again, one can only rely on the historical feud between the two countries.
    As for the West and the U.S., Syria will still be a key player in the Middle East, with great resources of oil and gas to be exploited. It is in the national interest of the U.S. and the West to cultivate relations with the emerging Syria in order to provide a safe rear to Iraq and, most importantly, to contain Iran. Another focal issue will be the future of the relations between Syria and Turkey, with whom Bashar Assad had reached an understanding relating to an area claimed by Syria that is under Turkish rule (Iskenderun [Alexandretta])."


Jordanie

- Jordanie : les jeunes contestataires se radicalisent, Laurent Zecchini (Le Monde) - "Le Front d'action islamique est-il d'ores et déjà dépassé par la "rue" jordanienne ?"
http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2011/03/28/jordanie-les-jeunes-contestataires-se-radicalisent_1499583_3218.html
   "La circulation sur la place Gamal-Abdel-Nasser est trépidante, mais, en ce dimanche 27 mars, il n'y a pas un seul protestataire. Plus rien ne rappelle les affrontements qui s'y sont déroulés vendredi, lorsque le Mouvement des jeunes du 24 mars a subi l'assaut violent des forces de police et des contre-manifestants venus soutenir, avec des bâtons et des jets de pierre, le régime et la monarchie.
    Le jeudi soir, plusieurs centaines de jeunes y avaient passé la nuit, persuadés de vivre le début d'une grande aventure populaire, les prémisses, peut-être, de celle qui s'est déroulée en Egypte, place Tahrir. Vendredi, le sang a coulé : quelque 130 blessés et 1 mort, peut-être même deux, disent certains. Dimanche, c'est comme si un cauchemar s'était dissipé : tout est nettoyé, et devant le bâtiment du gouvernorat de la capitale, trois ou quatre policiers devisent, débonnaires. [...]
    En Jordanie, où se déroulent chaque semaine, depuis deux mois, des manifestations très pacifiques et légitimistes, souvent organisées par le Front d'action islamique (FAI), la branche politique des Frères musulmans, ce qui s'est passé sur la place Nasser pourrait bien constituer un tournant, un prétexte pour une radicalisation des positions.
    "Nous ne nous arrêterons pas, assure Firas Mahaddine, nous avons franchi un point de non-retour. Nous sommes pacifiques et nous ne menaçons pas le trône, parce que le roi incarne l'équilibre de la Jordanie, mais nous voulons la démocratie et une monarchie constitutionnelle." Le porte-parole du "24 mars" évoque un souverain aux pouvoirs limités, quelque chose comme un retour à la Constitution de 1952. [...]
    Le Front d'action islamique est-il d'ores et déjà dépassé par la "rue" jordanienne ? Dimanche, ses responsables étaient réunis, pour étudier les suites à donner aux événements de la place Nasser. Le premier ministre, Maarouf Bakhit, a peut-être lui aussi franchi un point de non-retour en les accusant de "recevoir des ordres d'Egypte et de Syrie". Se faisant, il a provoqué un réflexe de solidarité qui n'allait pas de soi dans un royaume où, historiquement, les islamistes sont regardés avec méfiance."


Egypte

- Egypte/application de la charia : un chrétien se fait couper l’oreille (Guysen)
   "Un groupe de musulmans a attaqué Ayman Anwar Mitri, un homme de 45 ans chrétien copte de la ville de Qena en Haute Egypte, et lui ont coupé l’oreille. Les musulmans ont affirmé qu’ils ne faisaient qu’appliquer la charia parce que A. Mitri aurait eu une liaison illicite avec une femme musulmane."


Turquie

- Erdogan appelle l'Irak à coopérer dans la lutte contre les Kurdes (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Erdogan-appelle-l-Irak-a-cooperer-dans-la-lutte-contre-les-Kurdes_308109.html
   "Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a exhorté lundi les autorités irakiennes à coopérer avec son pays dans la lutte contre les rebelles kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), au premier jour d'une visite en Irak. Le PKK, considéré comme une organisation terroriste par la Turquie et plusieurs pays, mène depuis 1984 une lutte armée pour la défense des droits des Kurdes. Le conflit a fait 45.000 morts, selon l'armée turque. Ankara évalue à environ 2.000 le nombre des rebelles retranchés en Irak. L'aviation turque bombarde régulièrement les positions présumées des rebelles et l'armée turque a mené une série d'incursions terrestres dans le nord de l'Irak."


Iran

- "Une insulte à la mémoire des victimes", Herb Keinon & Gil Shefler (JP)
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1300962196470&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
   "Le représentant d'Israël à Buenos Aires attend une réponse. Il a demandé aux autorités argentines de répondre aux accusations parues dans la presse, samedi, et affirmant que l'Iran avait demandé au pays d'Amérique du sud "d'oublier" l'enquête sur les attentats contre l'ambassade d'Israël, en 1992, et sur le Centre juif de Buenos Aires, en 1994, en échange d'accords financiers.
    D'après le porte-parole du ministre des Affaires étrangères, Yigal Palmor, Israël n'avait eu aucune confirmation concernant ces accusations. "Nous attendons toujours une réaction officielle venant du ministre argentin des Affaires étrangères", a-t-il remarqué. Si les affirmations avancées par le tabloïd Perfil s'avéraient vraies, "ce serait d'un grand cynisme et une insulte à la mémoire des victimes", a affirmé Palmor. "Mais, comme je l'ai dit, nous attendons toujours une déclaration du ministre des Affaires étrangères afin de publier une réaction officielle."
    Les accusations concernent en premier lieu Hector Timmerman. Le ministre argentin des Affaires étrangère aurait reçu l'offre contestée lors d'un voyage officiel à Damas. Timermman est le fils de Jacobo Timmerman, journaliste juif emprisonné et torturé durant la "Sale guerre", en Argentine, de 1976 à 1983. Après sa libération, en 1979, Timmerman s'est s'installé en Israël, où il est devenu un redoutable critique de gauche. Il est reparti en Argentine en 1984.
    Pepe Eliaschev, le journaliste qui a signé l'article de Perfil, est accusé d'être résolument anti-Cristina Kirchner. Depuis plusieurs mois, il a régulièrement dénoncé sa politique lors d'émissions de radio et en vue des prochaines élections d'octobre 2011."


Europe

- Quelque chose de pourri au royaume de Norvège… (CRIF)
http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=24230&returnto=accueil/main&artyd=5
   "Le professeur de droit de Harvard, Alan Dershowitz, devait donner des conférences cette semaine à Oslo et Trondheim, mais les deux universités ont refusé sa présence. "Lorsque je suis arrivé en Norvège les gens m'ont dit que ce pays avait une ancienne tradition d'antisémitisme. Ils ont eu tort. Ce n'est pas de l'histoire ancienne. Cela se passe ici et maintenant", a déclaré Harvard Alan Dershowitz, qualifiant le refus par l'Université de Trondheim d’exemple de sentiments anti-israéliens norvégiens actuels.
    Une troisième université a annoncé être disposée à accueillir Dershowitz, à condition qu'il change le sujet de sujet de sa présentation sur le droit international et se livre à une analyse des procès d'OJ Simpson, le joueur vedette de football américain qui est devenu un criminel. Ils ne voulaient pas lui donner la parole au sujet d'Israël. Dershowitz a refusé, à juste titre.
    Source : Yedioth Aharonot"

- Something rotten in Norway, Manfred Gerstenfeld (Ynet) - "There are many examples of anti-Israel hate mongering, anti-Semitism and unethical journalism in Norway in recent years".
http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4048299,00.html
   "[...] Dershowitz told the small Christian daily Dagen that the refusals by the Norwegian universities to let him speak reminded him of his visits to the Soviet Union, and South Africa under the apartheid regime. He called the Norwegian universities propaganda tools, with leaders who are smart yet ignorant. Dershowitz added that Norwegian government policies were a hindrance to the peace process, as their double standards helped Hamas.
    One should never focus on a single case of anti-Israelism or anti-Semitism in Norway, as one risks ignoring many others. They come to the fore with great regularity. The state owned TV NRK is highly biased against Israel. It has now announced that it will screen the movie “Tears over Gaza.” The film’s director, Vibeke Løkkeberg, said in an interview, “I cannot see any difference between the Israeli warfare in Gaza and the massacres Gaddafi is conducting against Libyan insurgents.” She expressed the hope that the West would intervene in Israel like it did in Libya.
    Also in March, Sidsel Wold, NRK’s former correspondent in Israel, received the Best Journalist’s prize from the Norwegian Refugee Council. This is particularly interesting considering that in 2010, the Media Watch organization Honest Reporting selected Wold for a special dishonorable mention among journalists all over the globe. She had once broadcast an interview with me, the content of which she had invented. It was full of remarks attributed to me, I never said.
    There are many examples of anti-Israel hate mongering, anti-Semitism and unethical journalism in Norway in recent years. The pioneering of anti-Semitism in Norway has a long tradition. Typically, it was the last country in Europe to admit Jews, which happened in 1851. In 1929 its parliament forbade by great majority, ritual slaughter - well before Germany did so when the Nazis came to power in 1933. Yet up until this day, the cruel hunting of whales is still permitted in Norway.
    In Norway during the war, the Jews to be murdered were arrested and robbed by Norwegians and not by the Germans. It is not by chance that the name of wartime Prime Minister Quisling became a generic international term for traitor.
    Nowadays, Norway is also a leader in initiating anti-Israeli and anti-Semitic actions. One example among many: Norwegian trade union LO was, together with the Danish one, the first in Europe to propose a boycott of Israel in 2002. Such boycotts have slow spillover effects elsewhere. A few weeks ago one major Norwegian member union of LO accepted the most far-reaching boycott resolution against Israel anywhere.
    Norwegian society is dominated by a left of center elite group of politicians, journalists, academics, NGOs and some bishops. Among these elites one finds many anti-Israeli hate mongers, obsessed with a small country thousands of kilometers away. One among many examples of how distorted the views of this elite group is that 9% of Norwegian journalists voted for the minute extreme left Red party. Almost none however, support the pro-Israeli Progress party, one of the two major opposition parties, or the smaller Christian Democrats.
    Jay Nordlinger of the National Review is the only foreign journalist who is occasionally interested in Norway. He captured the country’s mood well when he wrote about Progress party leader Siv Jensen: “There are two items of particular interest in Jensen’s office: a little Israeli flag and a bust of Reagan. It would be hard to convey how extraordinary these symbols are in the traditional Norwegian political culture. An American politician might be less scandalous for having kiddie porn in his office.” [...]"

- Nord Caucase : 17 rebelles et 3 policiers russes tués (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Nord-Caucase-17-rebelles-et-3-policiers-russes-tues_308122.html
   "Dix-sept rebelles du Nord Causcase ont été tués lundi en Ingouchie, lors d'une "frappe aérienne chirurgicale", a annoncé à Moscou le porte-parole du Comité antiterroriste national (NAK), Nikolaï Sentsov. "Nous avons effectué une frappe aérienne ciblée et organisé une opération terrestre pour démanteler une base de terroristes kamikazes qui se préparaient à commettre des attentats, notamment en Ossétie du Nord et en Ingouchie. Selon les premières informations, 17 criminels ont été éliminés", a indiqué le porte-parole. "Deux agents du Service fédéral de Sécurité de Russie (FSB) et un policier ont été tués pendant les opérations", a ajouté Sentsov."

 


Monde

- Syrie, Libye : Hugo Chavez a tout compris, Gil Mihaely (Causeur)
http://www.causeur.fr/syrie-libye-hugo-chavez-a-tout-compris,9341
   "Le président vénézuélien Hugo Chavez a livré samedi dernier au monde son analyse géopolitique sur les événements en Syrie. Lors d’une cérémonie commémorant sa sortie de prison il y a 17 ans, Chavez déclarait « Voilà qu’a commencé l’attaque contre la Syrie, voilà que commencent des mouvements de manifestations prétendument pacifiques, qu’il y a des morts et voilà qu’ils accusent le président d’être en train de massacrer son peuple ».
    Après l’analyse du présent, un pronostic lucide de l‘avenir : « Ensuite viendraient les Américains, qui veulent bombarder ce peuple pour le sauver. Quel cynisme que celui de l’Empire ! ». Chavez n’est pas dupe ! On a déjà essayé de lui faire le coup en Libye : « C’est la même chose. On provoque des conflits violents et sanglants dans un pays pour ensuite y intervenir, s’emparer de ses ressources naturelles et le transformer en colonie ». Décidément, rien n’échappe à la lecture bolivarienne de l’histoire !
    Et pour joindre des actes à ces belles paroles le président Chavez s’est entretenu au téléphone avec M. Assad pour apporter son soutien à ce « président arabe socialiste, humaniste, frère, un homme doté d’une grande sensibilité humaine qui n’est en aucune manière un extrémiste ». Après un siège pour la Syrie au Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, bientôt le Prix Nobel de la Paix à Bachar el-Assad ?"


Histoire

- Il y a 100 ans, Charles Maurras justifiait "la providence de l’antisémitisme" (Philosémitisme) - "Par elle, tout s’arrange, s’aplanit et se simplifie".
http://philosemitismeblog.blogspot.com/2011/03/il-y-100-ans-charles-maurras-justifiat.html
   "Il y a 100 ans, Charles Maurras (1868-1952) de l'Académie française écrivait : "Tout paraît impossible, ou affreusement difficile, sans cette providence de l’antisémitisme. Par elle, tout s’arrange, s’aplanit et se simplifie. Si l’on n’était antisémite par volonté patriotique, on le deviendrait par simple sentiment de l’opportunité." L’action française (28 mars 1911)"


Point de vue

- Du bon usage des proportions, Serge Mazouz (Primo) - "Si nos pays considèrent comme légitime de se doter de moyens aussi considérables pour mener à bien leur entreprise, ils doivent reconnaitre à d’autres ce droit élémentaire".
http://www.primo-info.eu/selection.php?numdoc=Do-654575472
   "Des avions de chasses (F-15, F-16, F-18, AV-8B Harrier), des sous-marins équipés de missiles Tomahawk et deux navires de la Navy pour les Etats-Unis, une vingtaine d’avions de combat (Rafales, Mirages 2000 ) et le porte-avion Charles-de-Gaulle pour la France, des chasseurs Tornado et Typhoon ainsi que deux frégates (Timberland et Westminster) pour la Grande-Bretagne auxquels s’associent des avions de chasses ou des navires canadiens, italiens, espagnols, danois, belges, qataris, entre autres, c’est une véritable Armada que la coalition a déployée depuis le 20 mars 2011 pour venir en aide aux insurgés libyens et leur éviter un bain de sang face au fou sanguinaire de la Jamahiriya…
    Le caractère massif des moyens mis en œuvre face à un pays de six millions d’habitants seulement peut surprendre. Face à la menace qui pesait sur Benghazi , face à la cruauté affichée du Guide de la Révolution la coalition n’a pas lésiné sur les moyens à utiliser.
    Le temps parait loin où le président Nicolas Sarkozy condamnant l’opération israélienne contre Gaza dénonçait le 27/12/2008 : « les provocations irresponsables qui ont conduit à cette situation ainsi que l’usage disproportionné de la force ». Le monde entier ou presque (1) condamnait alors cet « usage disproportionné » de la force de la part d’Israël, seule. L’Etat hébreu faisant face aux provocations du Hamas avec ses tirs de roquette incessants sur le sud de son territoire, tirs qui menaçaient la vie de ses citoyens, avait lancé l’opération Plomb durci pour tenter de réduire les bases de lancements du Hamas, installées au milieu de populations civiles. Les précautions prises par l’armée israélienne, compte tenu des difficultés du terrain et du cynisme du Hamas, n’avaient pu empêcher de déplorer nombre de victimes civiles ce qui avait valu à Israël la réprobation de la communauté internationale.
    En remontant plus loin dans le temps, en juillet 2006 lors de la seconde guerre du Liban menée par Israël pour répondre aux attaques du Hezbollah, le Président Jaques Chirac déclarait le 14/07/2006 : « Je trouve, honnêtement, comme l'ensemble des Européens, que les réactions actuelles sont tout à fait disproportionnées ». Durant cette période, près de 6000 tirs de roquette et missiles sur le nord d’Israël avaient été dénombrés…
    L’opération militaire initiée par la résolution 1973 fait appel à des moyens autrement considérables : une coalition comprenant trois puissances nucléaires (USA, France, Grande-Bretagne...) représentant près de 600 millions d’habitants, contre un pays de 6 millions d’individus (1 contre 100 !) certes riche en pétrole mais quasi désertique et dont aucun habitant ne menace la sécurité des citoyens de la coalition… N’y a-t-il pas ici une forme de disproportion qui ne semble émouvoir personne ?
    La cause de la coalition est juste, sans conteste. Toutefois les moyens mis en œuvre pourraient apparaitre totalement décalés par rapport aux capacités de l’armée libyenne : les troupes de Kadhafi comportent 76.000 hommes à l’équipement vétuste (2), Leur potentiel militaire est réduit et probablement surestimé (3). Si l’opération initiée par le président Nicolas Sarkozy pour venir en aide au insurgés libyens est absolument légitime et nécessaire, elle démontre clairement la nécessité pour toute action armée de se donner les moyens nécessaires à ses ambitions et si ces moyens mis en œuvre sont ceux de toutes les guerres, la coalition n’en a négligé aucun… Comme l’a écrit André Glucksmann en 2005 : « Chaque conflit, en sommeil ou en ébullition, est par nature "disproportionné". Si les adversaires s'entendaient sur l'usage de leurs moyens et sur les buts revendiqués, ils ne seraient plus adversaires » (4)
    Si nos pays considèrent comme légitime de se doter de moyens aussi considérables pour mener à bien leur entreprise, ils doivent reconnaitre à d’autres ce droit élémentaire. L’accusation de disproportion trop souvent utilisée par nos gouvernants à l’encontre d’Israël ne tient pas devant l’évidence de la nécessité… Il serait bon de s’en souvenir.
Notes :
1) Le Secrétaire Général de l’ONU Ban Ki Moon critiquait le 29/12/2008 un « recours excessif à la force » par Israël.
2) "Une armée libyenne à l'équipement vétuste", par Nathalie Guilbert, Le Monde - 05/03/2011
3) "Libye : une armée au potentiel limité", par A

Partager cet article
Repost0
28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 02:30

israel-palestine-map.jpg

 

- Juan Cole’s Map of Lies, Steven Plaut (Front Page Magazine)
http://frontpagemag.com/2011/03/23/juan-cole%E2%80%99s-map-of-lies/
   "[...] Today Juan Cole is the daddy of the world’s most absurd propaganda pseudo-map, which purports to tell the history of “Palestine.” The map can be viewed here and is entitled “Palestinian Loss of Land 1946 to 2000.” It consists of four frames.
    The first frame is labeled “Palestinian and Jewish Land 1946.” It shows “Palestinian land” in green comprising more than 90% of “Palestine” (defined as the area later forming Israel, the West Bank and Gaza). Most of this “Palestinian” land was “Palestinian” only in the sense that it was public land owned by the British mandatory government of “Palestine.”
    The second frame shows the UN partition plan 1947, under which roughly equal slices of land in Mandatory Palestine were assigned to a proposed Jewish state and a proposed Palestinian Arab state. Unwittingly, the map prepared by Cole makes the Israeli case. Readers might want to ask of Cole and his friends embarrassing questions, such as why that Arab Palestinian state never arose. After all, the Jews accepted the compromise proposal. The answer that Cole does not want you to know is that the Arab states invaded the territory militarily and gobbled up most of the what had been earmarked for a Palestinian state. Readers might also wonder how come half the segment of Western Palestine that had been reserved for the Jews after Transjordan had been truncated from Palestine was being offered to the Arabs.
    In the same map, what are shown in Cole’s second frame as “Palestinian lands” were also by and large public lands controlled by the British Mandatory government and not lands owned by “Palestinian” Arabs. The third frame shows Israel’s borders after Independence and the last frame shows Israel’s borders today together, again with lands in the West Bank and Gaza defined by Cole as “Palestinian lands.”
    The Big Lie is most visibly and viciously concentrated in Cole’s first frame. After World War I, all of Western Palestine was governed by Britain under a Mandate granted to it by the League of Nations. Its mandate was to develop the area as a Jewish homeland.  The eastern part of Palestine was truncated and illegally turned by Britain into the independent Arab kingdom of Transjordan. The rump segment of Palestine was reserved for the Jews. None of this was earmarked for creation of yet another Arab state. The bulk of land within the Palestinian Mandate was state-owned land, governed by the British Mandatory government. It had also been state-owned land previously under the Ottoman imperial government, before Britain liberated “Palestine” from the Turks. [Before World War I, land in Palestine was owned by the Ottoman state and a feudalistic class of absentee landlords. The few “Palestinian” Arabs who lived in the country at the time seldom owned any land. They farmed it as sharecroppers.]
    The Cole map of “Palestinian lands” gives the impression that before Israel’s creation 90% of the land of Palestinian was owned by “Palestinian” Arabs. In reality, almost none of it was. It was mainly land owned by feudal aristocrats and by the imperial government.  Most of it was empty. When the Zionist migrations began, the Jews started buying up lands from their feudal landlords, who were happy to turn a quick profit. Almost no “Palestinian” Arabs were forced off those lands as the ownership changed and the Jewish immigrants arrived. The anti-Israel Lobby, which loves to accuse the Zionists of “colonialism,” is invited to find any other case in human history in which the “colonialists” came and paid in full at (and often well above) market prices for the lands they were “colonizing.”
    As Jewish capital flowed into the country, bringing with it rising wages, health and educational standards, Arabs from neighboring countries, mainly from Lebanon and Syria, flowed in to “Palestine” to take advantage of the progress. Those Arabs never saw themselves as “Palestinians” until the fabrication of a mythical “Palestinian people” became the Arab propaganda line after 1967. [...]
    The large increase in Jewish land ownership between the late 1800s and 1948 was due to this process of land acquisition by means of Zionist purchases. Swaths of lands were also purchased by Jews in Syria and Transjordan. They were later stolen by the respective Arab governments, a little matter about which the “anti-apartheid” poseurs and Hillary Clinton have never had much to say. The bulk of the land in Western “Palestine,” including almost the entire Negev in Israel’s south, was state-owned during the British mandatory period. [...]
    Then to make matters worse, the pseudo-map and its sponsors paint all of Israel and large swaths of the West Bank and Gaza as “Jewish lands.” Even when they are owned by Arabs. Let us note that what Cole and Sullivan call “Jewish lands” or “Israeli lands” include not only private lands owned by Arabs but also public lands serving Israeli Jews and Arabs in common. Are highways and parks used by all Israelis “Jewish lands?” Evidently Cole thinks so. Are lands upon which Arab schools, mosques, libraries and sports stadiums sit “Israeli lands?”  Maybe Cole has never met an Arab who uses a park.
    In addition, the bulk of land in Israel is publicly owned even today. As an economist I oppose this anachronistic “socialist ownership.” These holdings include public lands that are used by all Israelis, Arabs and Jews. Of privately-owned land, Israeli Arabs own more of it than their share in the Israeli population!
    Then we have parts of the Gaza Strip being shown on the Cole map as “Israeli land.” Never mind that there is not a single Israeli anywhere in the Gaza Strip, ever since Israel – somewhat foolishly – turned the entire area over to the Hamas years ago. In the West Bank, Cole shows large swaths of “Palestinian land.” What he means of course is land on which Arabs live today.  There are also swaths of land there on which Jews live. If the very fact of Arabs living on those lands turns them into “Palestinian lands,” then most of the American Southwest is Mexico.
    Let me put this a little differently. If we apply Cole’s “logic,” then we need to note that a hundred years ago there were no properties at all owned by Juan Cole in Ann Arbor. In contrast, today there are no properties in Ann Arbor owned by me. Therefore, Cole’s house there must belong to me! [...]"

Partager cet article
Repost0
28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 02:29

France

- "La Vallée des Loups : Palestine", film turc anti-israélien, diffusé à Lyon (Lyon Poche) - "voir tous ces Israéliens crever, ça fait trop plaisir !"
http://www.lyonpoche.com/cinema/fiche-film/la-vallee-des-loups-palestine-28860.html
   "Synopsis :
    Un commando turc est chargé d'éliminer le commandant israélien Moshe Ben Eliezer, responsable de la tuerie lors de l'abordage de la flottille pour Gaza.
    Public : Interdit aux moins de 18 ans
    En VO : 15:00 - 17:15"
Commentaire sur le site (supprimé ensuite par la modération) :
- Ramzy :
   "J'ai vu le film en turquie... Trop bon quand les turc explosent les israéliens. Un bon film de sang. Un peu gore mais ca va. C'était la folie dans le cinoch a ankara. Mieux qu'au stade. Voilà un james bond local qui a de la gueule... Et encore une fois, voir tous ces israéliens crever, ca fait trop plaisir!"


"Processus de paix"

- "L'AP est sur le point d'enterrer le processus de paix", Herb Keinon (JP) - "Abbas doit choisir entre la paix avec Israël et la paix avec le Hamas".
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1300962195520&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
   "Israël cessera de traiter avec l'Autorité palestinienne. si le Hamas rejoint le gouvernement. Quelques heures après la rencontre entre le dirigeant du Fatah, Mahmoud Abbas, et une délégation du mouvement terroriste, à Ramallah, un porte-parole du gouvernement israélien s'est exprimé. "Abbas doit choisir entre la paix avec Israël et la paix avec le Hamas", a commenté l'officiel. "Il ne pourra avoir les deux. S'il choisit le Hamas, il enterre le processus de paix !" A la question de savoir si Israël préfère une scission permanente entre la Judée-Samarie, dirigée par le Fatah de Mahmoud Abbas, et la bande de Gaza, contrôlée par le Hamas, le diplomate répond que l'Etat hébreu souhaite voir l'Autorité palestinienne reprendre le contrôle de l'étroite bande côtière.
    L'hostilité israélienne à l'égard du Hamas s'estomperait si le mouvement accédait à trois conditions : renoncer à la violence, reconnaître l'Etat hébreu et accepter les précédents accords israélo-palestiniens. Dans une récente interview accordée à la chaîne CNN, le Premier ministre Binyamin Netanyahou s'exprimait sur la question. "Désormais, l'AP parle d'unité nationale et de réconciliation ; mais comment pouvons nous espérer la paix avec le Hamas qui appelle à notre destruction ? C'est l'un ou l'autre, pas les deux." La rencontre entre Abbas et la délégation du Hamas avait pour but de discuter des moyens de mettre fin aux différends qui les opposent. Elle était la première du genre, depuis plus d'un an."

- Abbas adds a new condition for "peace": Release all terrorists! (Elder of Ziyon)
http://elderofziyon.blogspot.com/2011/03/abbas-adds-new-condition-for-peace.html
   "Mahmoud Abbas, that intransigent leader that the world considers "moderate," had added another condition for "peace" with Israel: Abbas now demands that Israel release every single Palestinian Arab prisoner. This includes, of course, the most heinous terrorists - those that have murdered and slaughtered Israelis - that have been captured by Israel.
    Abbas is not distinguishing between prisoners with "blood on their hands" and those who merely planned or facilitated terror attacks. Abbas is saying that peace depends on Israel releasing murderers. Not only that, he is implicitly threatening to support terrorism against Israel until every last of those prisoners are released. [...]"

- Fayyad's duplicity about support for terror on day of Jerusalem bombing (PMW) - il condamne le soir ce qu'il a promu le matin.
http://www.palwatch.org/main.aspx?fi=157&doc_id=4843
   "On Wednesday afternoon, Palestinian Authority Prime Minster Salam Fayyad condemned as "terror" the bomb at a Jerusalem bus stop that killed one woman. On Wednesday morning, Fayyad honored Palestinian women terrorists, including two who drove suicide bombers to terror attacks killing five. He also honored a terrorist who placed a bomb in a bus station, an action identical to the one he condemned just a few hours later.
    Fayyad condemned Jerusalem bombing Wednesday afternoon: "I condemn this terror operation in the harshest terms, no matter who stands behind it." Fayyad praised Palestinian terrorists Wednesday morning: "I will not fail to mention with honor and admiration the resolve of the female prisoners, the fighters, and of all the prisoners of freedom who are imprisoned in the Israeli prisons, experiencing indescribable suffering. This requires that all of us intensify the effort to ensure their liberation from the occupation's chains and from the abuse of its [Israel's] executioners."
    In a radio speech, Fayyad then specifically named the following terrorists:
    - Qahira Al-Sa'adi, who drove suicide bomber to attack killing 3 in Jerusalem in 2002.
    - Irena Sarahneh, who drove suicide bomber to attack killing 2 and injuring dozens, in Israeli city Rishon LeZion in 2002.
    - Iman Ghazawi, who in 2001 placed a bomb at the central bus station in Tel Aviv that was discovered before it exploded.
    - Latifa Abu Zara'a, who in 2003 smuggled a bomb into Israel for suicide terror attack that was uncovered before it was implemented. [...]"

- Facebook appelé à retirer la page "Troisième Intifada" (JP) - "la page enregistre plus de 312 601 membres et propose des textes "véhéments et anti-israéliens"."
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1300962195799&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
   "Une page Facebook intitulée "Troisième Intifada palestinienne". Un abus, selon la Ligue Anti Diffamation qui considère que le réseau social est utilisé pour "promouvoir la violence terroriste". Pour le directeur de l'association, Abraham H. Foxman, cette page n'appelle pas à des manifestations pacifiques puisqu'elle demande à ses adhérents de "suivre l'exemple des deux Intifada précédentes". "Cet appel intervient alors que le climat de violence s'intensifie entre Israël et la bande de Gaza, après le meurtre de la famille Fogel en Judée-Samarie et l'attentat terroriste à Jérusalem", s'inquiète-t-il.
    Pour l'heure, la page enregistre plus de 312 601 membres et propose des textes "véhéments et anti-israéliens", souligne Foxman. Ce dernier s'est donc tourné vers les administrateurs de Facebook et leur demande de "prendre en compte sa demande et retirer la page du site, dont le titre même constitue un appel à la violence".
    Mercredi dernier, le ministre de la Diplomatie publique et de la Diaspora, Youli Edelstein, a adressé un courrier au fondateur du célèbre site Web, Mark Zuckerberg. "Je me tourne vers vous [Zuckerberg] et vous prie d'ordonner le retrait immédiat de cette page Facebook. Je suis sûr que vous défendez également des valeurs et que vous préférez que toutes les pages présentes sur votre site respectent ces valeurs", écrit-il. Le créateur du groupe Facebook, quant à lui, déclare avoir eu l'idée de cette page à la suite des récents évènements au Moyen-Orient, qui ont conduit au renversement des régimes tunisien et égyptien."


Israël

- Un blessé par jets de pierres, Yéochoua Sultan (Arouts 7)
http://www.israel7.com/2011/03/un-blesse-par-jets-de-pierres/
   "Le chauffeur d’une voiture particulière a été blessé en Galilée au cours d’une attaque à coups de pierres. La police de Carmiel est intervenue et a arrêté deux suspects arabes israéliens du village de Nahaf. Les deux individus, qui se tenaient au bord de la route avec des pierres qu’ils avaient ramassées ont été placés en garde-à-vue. Le tribunal de police d’Akko doit prolonger lundi l’ordre de détention."

- Israel's Dissidents are Saving the Country, Gideon Levy (Haaretz) - Pour le chroniqueur préféré des Européens, c'est Israël qui est la cause de sa diabolisation, et ce sont les Israéliens diabolisant l'Etat juif qui sont en réalité les "vrais" défenseurs d'Israël. Le raisonnement est tordu, mais au fond tout ce que souhaite dire Gidéon Lévy se résume à ceci : "le verus Israël, c'est moi !"
http://www.miftah.org/Display.cfm?DocId=23277&CategoryId=5
Traduction :
http://www.france-palestine.org/article17052.html
   "Pas de B’Tselem, de Briser le Silence (Breaking the Silence), d’Anarchistes contre le mur (Anarchists Against the Fence), pas de Gush Shalom. Il n’y aurait pas de New Israel Fund et pas de petits groupes de radicaux ni d’intellectuels et journalistes critiques. Imaginez un différent Israël, qui contraigne toutes ces voix au silence et les écrase. Imaginez quelle image cela donnerait au monde. Le peu de sympathie dont Israël bénéficie encore, c’est à ces groupes qu’il la doit.
    La campagne de délégitimation contre Israël, la seule vraie et celle qu’on invente, on la doit à Avigdor Lieberman et Israel Beiteinu, à Benjamin Netanyahou et au déferlement de lois anti-démocratiques venant de ses amis et de Kadima, on la doit aux Forces de Défense d’Israël, incontrôlées, et aux colons qui ne connaissent pas de limites. Une seule journée de l’opération Plomb durci a fait plus de dégâts pour Israël que tous les articles critiques pris ensemble ; l’attaque mortelle contre le Mavi Marmara en route vers Gaza a détérioré l’image d’Israël plus que toutes les conférences contre Israël prises ensemble ; la loi sur la Nakba révolte plus que toutes les pétitions. [...]
    Il y a quinze jours environ, j’étais invité à la Semaine du livre juif à Londres, suite à la publication en anglais de mon livre "La punition de Gaza" (the Punishment of Gaza). La communauté juive bien pensante de Grande Bretagne menaça de boycotter l’événement [...] Je me suis exprimé, comme toujours, contre l’ occupation, les injustices et le dégât que cela cause à Israël et aux Palestiniens, contre les attaques à l’encontre de la démocratie israélienne, comme je l’ai fait dans les centaines d’articles qui ont été publiés dans Haaretz en hébreu et en anglais, et comme je l’ai fait à la London School of Economics ou à Trinity University à Dublin. [...]
    Ces voix sont celles des véritables patriotes d’Israël, qui ont peur pour son avenir et sont soucieux de son image bien plus que les gens qui menacent de les faire taire. Les dissidents n’ont pas besoin de s’excuser devant leur pays pour quoi que ce soit. Leur pays leur doit beaucoup : ils sont la force qui sauve son image aux yeux du monde. [...]"


Gaza & Hamas

- Gaza : 2 terroristes éliminés dans un raid israélien (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Gaza-2-terroristes-elimines-dans-un-raid-israelien_307922.html
   "L'armée de l'air israélienne a éliminé 2 terroristes palestiniens qui s'apprêtaient à tirer des roquettes sur Israël, à Djebaliya, au nord de la Bande de Gaza. Trois autres terroristes ont été blessés."
- Gaza : les terroristes tués et blessés par Tsahal appartenaient au Djihad islamique (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Gaza-les-terroristes-tues-et-blesses-par-Tsahal-appartenaient-au-Djihad-islamiqu_307938.html
   "Le Djihad islamique a indiqué que les deux terroristes tués et ceux blessés par Tsahal dans la Bande de Gaza font partie de ses troupes. Le mouvement terroriste a déclaré que sa réaction "arrivera en temps et en heure"."
- Deux activistes palestiniens tués dans la bande de Gaza, Nidal al Moughrabi (Reuters)
http://fr.news.yahoo.com/4/20110327/twl-po-violences-38cfb6d.html
   "Deux activistes palestiniens ont été tués dimanche par l'aviation israélienne dans le nord de la bande de Gaza, a-t-on appris de sources médicales. Le Djihad islamique, qui a repris ces derniers jours les tirs de roquettes sur Israël, a annoncé que les morts étaient deux de ses membres. L'armée israélienne n'a fait aucun commentaire. [...]"
- Deux militants du Jihad islamique abattus par Israël dans la Bande de Gaza (AP)
http://fr.news.yahoo.com/3/20110327/twl-israel-palestiniens-dome-951b410.html
   "L'aviation israélienne a tué deux militants palestiniens dans la Bande de Gaza, au jour de l'activation par l'Etat hébreu d'un nouveau système de défense anti-missiles, baptisé "Dôme de fer". Le Jihad islamique a confirmé la mort de deux de ses militants, un troisième étant grièvement blessé. Le groupe terroriste, qui s'en prend fréquemment à Israël, n'a pas précisé si ces hommes étaient en train d'activer une batterie lance-roquettes, comme l'affirme l'armée israélienne. [...]"

- Israël : le Jihad Islamique menace de frapper Ashdod et Beer Sheva (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Israel-le-Jihad-Islamique-menace-de-frapper-Ashdod-et-Beer-Sheva_307950.html
   "Les terroristes du Jihad Islamique ont menacé de lancer d'autres roquettes contre les villes israéliennes de Beer Sheva et Ashdod si "l'escalade militaire dans la Bande de Gaza continue de viser nos enfants". Ces propos auraient été tenus par un haut responsable de la mouvance islamiste au journal arabe Al-Hayat basé à Londres."
- Djihad islamique: le système anti-missile Dôme de fer ne protègera pas les citoyens israéliens des roquettes (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Djihad-islamique-le-systeme-anti-missile-Dome-de-fer-ne-protegera-pas-les-citoye_307986.html
   "Un haut responsable des Brigades al-Qods, la branche militaire du Djihad islamique, a indiqué dimanche que le système anti-missile Dôme de fer, déployé par Israël dans le sud du pays, «ne protègera pas les citoyens israéliens des roquettes»."

- Le système Iron Dome en place (JP)
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1300962195571&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
   "Le Hamas se disait prêt, jeudi, à cesser les tirs de roquettes sur Israël, si le pays mettait fin aux bombardements sur la bande de Gaza. Pourtant, au lendemain de ces déclarations, une roquette Kassam explosait dans la région d'Eshkol, causant des dommages matériels mais aucun blessé. Les autorités locales ont déclaré être à la recherche d'une seconde roquette qui serait tombé dans la zone. "Le chaos règne au sein du mouvement terroriste", explique le général Tal Russo.
    Jeudi, des roquettes tirées depuis Gaza avaient explosées au nord d'Ashdod. Les tirs avaient provoqué de vives réactions au sein de la classe politique israélienne. Le ministre de la Défense, Ehoud Barak avait d'ailleurs confirmé, le même jour, la mise en place du système de défense de missiles Iron Dome. "J'ai autorisé l'armée à déployer le système Iron Dome dans le sud du pays", précisait le ministre en visite dans la région. Car même si la technologie reste à l'essai, "les tests devraient se poursuivre pendant plusieurs semaines". Et de souligner que cette technologie est "une avancée extraordinaire" bien qu'elle ne représente pas "la solution miracle contre les tirs de roquettes"."

- Le « Dôme d’acier » installé près de Beer-Shev’a, Claire Dana-Picard (Arouts 7) - "les autorités militaires pourraient décider d’installer une seconde batterie pour protéger le secteur d’Ashkelon".
http://www.israel7.com/2011/03/le-dome-d%E2%80%99acier-installe-pres-de-beer-shev%E2%80%99a/
   "Une première batterie de défense antimissiles Kipat Barzel (Dôme d’acier) est déployée ce dimanche dans la région de Beer-Shev’a pour protéger la population civile d’éventuelles attaques provenant de la bande de Gaza. L’installation devrait durer plusieurs heures et il est fort possible que le système soit déjà opérationnel dans la journée. L’armée de l’Air a précisé que la batterie serait mobile et se déplacerait en fonction des besoins sécuritaires. Au cours de la semaine, les autorités militaires pourraient décider d’installer une seconde batterie pour protéger le secteur d’Ashkelon. Cela fait plusieurs semaines que Tsahal effectue des exercices pour tester l’efficacité du Dôme d’acier en simulant des attaques similaires à celles provenant de la bande de Gaza.
    Les services de sécurité ont toutefois tenu à rappeler qu’il ne s’agissait pour l’instant que d’un premier essai et qu’il ne pourrait pas intercepter toutes les roquettes tirés sur les agglomérations israéliennes. Le ministre de la Défense Ehoud Barak a donné son accord officiel lors d’une visite dans les localités situées près de Gaza. Il a précisé que l’expérience durerait plusieurs semaines et que les batteries se déplaceraient chaque fois en fonction des nécessités de l’opération expérimentale."

- Les habitants du Sud scandalisés, Yéochoua Sultan (Arouts 7) - "Aucun pays dans le monde n’accepterait une situation pareille".
http://www.israel7.com/2011/03/les-habitants-du-sud-scandalises/
   "Le système de défense «dôme de fer» doit commencer à être opérationnel pour une partie des habitants du Néguev, bien que la date de sa mise en œuvre ait été avancée en raison des impératifs dus aux agressions en provenance de la bande de Gaza. Or, les élus des collectivités locales se sont mis en colère, étant donné que les mesures concrètes qui ont été prises pour protéger la région ne concerneront, dans un premier temps du moins, que les habitants de la ville de Béer-Cheva. En effet, des batteries antimissiles n’ont pas été positionnées aux alentours des localités qui, à l’instar de Sederot, sont plus régulièrement touchées, parce que plus proches de la bande de Gaza. Les maires et représentants des conseils locaux et régionaux ont protesté auprès des membres de la Commission des Affaires étrangères et de la Défense de la Knesset à Béer-Cheva, dimanche, où ils se sont déplacés.
    David Bouskila, le maire de Sederot, a déclaré : «Sederot, Ashkelon et Ashdod ont également besoin d’une protection. Nous ne sommes pas des habitants illégitimes.» Il a toutefois ajouté : «A Béer-Cheva, les batteries n’ont pas soulevé l’enthousiasme. Ils leur ont dit que ça défendrait Béer-Cheva pour les faire taire. Il n’y a pas assez de rampes, et le gouvernement doit faire des choix. Nous avons été sacrifiés inutilement pendant des années. L’armée ne s’est pas introduite à Gaza pour nous, mais pour Béer-Cheva et pour Ashdod.»
    Le chef de la Commission de la Knesset, Saül Mofaz, a déclaré au cours de sa visite : «A mes yeux, il n’y a aucune différence entre Ofakim, Kiryat-Malachie, Béer-Cheva, Sederot, Netivot, la région d’Eshkol et Tel-Aviv en ce qui concerne tout ce qui a trait à la sécurité. La sécurité doit être la même partout. L’Etat d’Israël ne peut pas se barricader derrière des dômes de fer alors qu’à Gaza, la vie continue normalement. Nous sommes obligés de préserver nos moyens d’attaque et notre force de dissuasion. Tous ceux qui touchent aux enfants d’Israël doivent en assumer les conséquences.»
    Le maire de Béer-Chéva, Rubik Danilovitch, était présent également à la session : «La routine des tirs d’obus sur notre ville et sur les localités du Sud est inadmissible. Quand c’est la guerre, c’est la guerre, a-t-il déclaré. Il est impossible de continuer comme si de rien n’était quand d’un seul coup un missile s’abat. Aucun pays dans le monde n’accepterait une situation pareille, et l’Etat d’Israël ne peut pas non plus se laisser faire. Les gens ici sont attachés à cette terre et nous ne pouvons pas rendre l’avenir de la vie des habitants incertain, nous ne pouvons pas risquer la vie de nos habitants. Nous comprenons tous ce que signifie le poids d’une opération militaire supplémentaire, mais s’il n’y a pas le choix, alors il n’y a pas le choix.»"

- Netanyahou s’adresse à la population, Yéochoua Sultan (Arouts 7) - "nous risquons de devoir supporter cette situation pendant de longues années".
http://www.israel7.com/2011/03/netanyahou-sadresse-a-la-population/
   "Le Premier ministre, Benyamin Netanyahou, s’est rendu à Béer-Cheva, pour prendre la parole au cours de la session extraordinaire qui a rassemblé les élus locaux avec la Commission des Affaires étrangères et de la défense de la Knesset. «Nous subissons les attaques de missiles, a déclaré le Premier ministre. Et nous risquons de devoir supporter cette situation pendant de longues années.» Il a cependant ajouté : «Nous ne voulons pas d’une escalade de la violence, mais nous n’hésiterons pas à faire usage de toute la force nécessaire pour ramener le calme et protéger nos civils.»"
- B. Netanyahou : "Dôme de fer" ne constitue pas une réponse parfaite à la menace des missiles (Guysen)
http://www.guysen.com/news_B_307943.html
   "Le Premier ministre israélien Binyamin Netanyahou a indiqué au sujet de la mise en place du dispositif anti-missiles "Dôme de fer" au dessus de Beershéva : "il ne fournit pas une réponse parfaite ou intégrale à la menace des missiles, la réponse véritable est une combinaison d'outils d'attaque avec des dispositifs de protection"."

- Gaza : Shaul Mofaz plaide en faveur du retour aux éliminations ciblées (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Gaza-Shaoul-Mofaz-plaide-en-faveur-du-retour-aux-eliminations-ciblees_307973.html
   "Le président de la commission parlementaire des affaires étrangères et de la défense, le député Shaoul Mofaz, a critiqué dimanche « la passivité » du gouvernement face aux tirs de roquettes depuis la Bande de Gaza. Faisant référence au système de défense antimissile, il a salué les « capacités sophistiquées d’Israël » mais a prôné pour des actions offensives comme l’élimination ciblée des responsables des tirs de roquettes."
- Intensification des tirs de roquettes de Gaza : Ouzi Landau critique l’absence de réponse du gouvernement (Guysen)
   "Le ministre des Infrastructures, Ouzi Landau, a critiqué la gestion de la crise à Gaza par le Premier ministre et le ministre de la Défense. "Ce gouvernement parle de défense du pays, sans traduire ces paroles en actes", a dénoncé Ouzi Landau. "La politique actuelle légitime une réalité dans laquelle il est permis de tirer des roquettes contre les villes d’Israël", a-t-il poursuivi."

- Reprise du transfert de marchandises vers la Bande de Gaza (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Reprise-du-transfert-de-marchandises-vers-la-Bande-de-Gaza_307958.html
   "Un signe d’apaisement ? Le transfert de produits agricoles israéliens vers la Bande de Gaza a repris ce dimanche. Le président de l’Union des agriculteurs, Ilan Eshel, a précisé que cette reprise de l’exportation des marchandises avait pour but, entre autre, d’éviter les surplus sur les marchés israéliens."

- Hamas military wing says it won't guarantee Abbas' safety in Gaza, Avi Issacharoff (Haaretz) - "PA officials interpreted these statements as a threat to Abbas".
http://www.haaretz.com/print-edition/news/hamas-military-wing-says-it-won-t-guarantee-abbas-safety-in-gaza-1.351986
   "Senior members of Hamas' military wing told aides of Palestinian President Mahmoud Abbas that it would not guarantee the Fatah leader's safety if he visited the Gaza Strip, Haaretz has learned. PA officials interpreted these statements as a threat to Abbas. As of last night, an Abbas trip to Gaza for reconciliation talks with Hamas has been dropped from the agenda.
    Hamas also announced yesterday that all Palestinian factions in Gaza have agreed to abide by a cease-fire if Israel halts its attacks in the Strip. Hamas met with Islamic Jihad, the Popular Resistance Committees and the Popular Front for the Liberation of Palestine to discuss the rising tensions in the south. Some Palestinian commentators attributed the increase in hostilities with Israel to Hamas Prime Minister Ismail Haniyeh's proposal that Abbas visit Gaza for reconciliation talks. In response, Abbas declared that he would be willing to travel to Gaza "as early as tomorrow" for negotiations on a unity government with Hamas."


Judée-Samarie

- Jets de pierres et de cocktails Molotov en Judée-Samarie (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Jets-de-pierres-et-de-cocktails-Molotov-en-Judee-Samarie_307879.html
   "Des Palestiniens ont lancé des pierres sur des véhicules israéliens à Louban a-Sharkia. Ils ont également massivement agressé à coups de pierres les gardes-frontières au barrage de Shouafat, au nord-est de Jérusalem. Ils ont lancé des cocktails Molotov et des grenades fumigènes à Silwan, à Jérusalem-est, et à Madma, au sud de Shehem (Naplouse)."

- Une Israélienne blessée par des jets de pierres, Shraga Blum (Arouts 7)
http://www.israel7.com/2011/03/une-israelienne-blessee-par-des-jets-de-pierres/
   "Une automobiliste israélienne a été légérement blessée samedi soir lorsque son véhicule a été la cible de jets de pierre à l’est de Kalkilya. Elle a subi des traitements sur place. Des unités de Tsahal ratissent le secteur pour retrouver les agresseurs."

- Une Israélienne blessée par des jets de pierres en Samarie (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Une-Israelienne-blessee-par-des-jets-de-pierres-en-Samarie_307880.html
   "Une Israélienne a été blessée par des jets de pierres palestiniens près d'Azoun, en Samarie. Elle est soignée à Karnei Shomron."


Egypte

- Tentative d’attentat déjoué contre un gazoduc égyptien, Claire Dana-Picard (Arouts 7)
http://www.israel7.com/2011/03/tentative-dattentat-dejoue-contre-un-gazoduc-egyptien/
   "Les forces de sécurité égyptiennes ont déjoué un attentat visant le gazoduc transportant, depuis l’Egypte, du gaz naturel vers Israël et la Jordanie. Six hommes armés ont tenté de faire exploser un engin piégé au terminal du Nord du Sinaï mais il a été neutralisé à temps. Il s’agit de la seconde tentative de ce genre depuis que les émeutes ont éclaté en Egypte."


Syrie

- Les événements en Syrie inquiètent Israël, Claire Dana-Picard (Arouts 7) - "ce qui inquiète par-dessus tout, c’est que l’Iran et des éléments du Hezbollah aident activement le gouvernement de Damas à réprimer dans le sang cette insurrection".
http://www.israel7.com/2011/03/les-evenements-en-syrie-inquietent-israel/
   "Les événements en Syrie ne suscitent, pour l’instant du moins, aucune protestation internationale, alors que près de 150 manifestants ont déjà été tués par les forces de sécurité locales. L’épicentre de la révolte contre le régime de Bachar El Assad se situe actuellement dans la ville de Deraa, à la frontière avec la Jordanie. Dans la seule journée de vendredi, 20 émeutiers ont perdu la vie au cours des émeutes. A Damas et à Lattaquié, la révolte gronde aussi et les autorités réagissent avec une main de fer, n’hésitant pas à se montrer particulièrement brutales face à des contestataires aux mains nues. Il s’agirait, selon les experts, de la crise la plus grave ayant éclaté en Syrie depuis l’avènement au pouvoir de Bachar El Assad, qui dirige le pays depuis la mort de son père Hafez el Assad, survenue il y a onze ans.
    En Israël, ce qui inquiète par-dessus tout, c’est que l’Iran et des éléments du Hezbollah aident activement le gouvernement de Damas à réprimer dans le sang cette insurrection. Un haut responsable du ministère des Affaires étrangères a cité les propos de manifestants locaux témoignant qu’une partie des hommes de la sécurité déployés pour disperser les manifestations parlaient entre eux en persan, attestant du lien étroit unissant Damas à Téhéran.
    Dans les jours qui viennent, estime-t-on en Israël, on pourra discerner plus clairement l’ampleur de l’intervention iranienne dans les tentatives visant à stopper les masses protestant dans les rues. Et de préciser : « La Syrie est une acquisition iranienne, et il est clair que les Iraniens craignent de perdre tout ce qu’ils y ont investi. C’est pour cette raison qu’ils interviennent davantage dans ce pays que partout ailleurs dans le monde arabe ». [...]"

- L'épreuve de force syrienne, Michael Young (éditoraliste au Daily Star de Beyrouth) - "L’Arabie Saoudite compte toujours sur Damas pour contenir l’influence chiite au Liban et en Irak".
http://www.slate.fr/story/36195/syrie-assad
   "[...] Des manifestations ont eu lieu la semaine dernière dans toute la Syrie, et ont persisté à Deera, dans le sud du pays. Mercredi, les forces de sécurité ont ouvert le feu sur les manifestants près de la mosquée Al-Omari et sur un cortège funéraire, faisant au moins 15 morts, selon les opposants. Jeudi, la répression sanglante ne faiblissant pas, l’opposition estimait que 100 personnes avaient été tuées et beaucoup d’autres arrêtées. Des centaines d’arrestations auraient également eu lieu à Damas, Alep, As-Suwayda et Banias.
    Pour apprécier l’ampleur de la révolte, il faudra observer si la situation se durcit après la prière de vendredi. La famille Al-Assad ne veut prendre aucun risque. La brutalité employée à Deera prouve son sentiment de vulnérabilité. Le régime, issu de la minorité alaouite, contrôle tous les leviers de l’intimidation et du pouvoir en Syrie, y compris les unités militaires d’élite et les services de renseignements.
    Des rapports indiquent que des troupes normalement affectées à la protection du régime ont été précipitamment envoyées dans le sud. D’après le dissident syrien Ammar Abdulhamid, ces détachements incluraient des unités de la Garde Républicaine, et selon la rumeur, ce serait Maher, le petit frère de Bachar, qui aurait pris la tête des opérations. [...]
    La crainte, c’est que la situation se transforme en conflit religieux, et que les sunnites (74 % de la population) s’en prennent aux alaouites (8 à 12 % environ). En réalité, c’est une vision simpliste. La famille Al-Assad protègera bien sûr la domination alaouite dont son pouvoir dépend, mais les sunnites prospèrent dans de nombreux secteurs, en particulier économiques. Bachar Al-Assad lui-même est marié à une sunnite. Une lecture uniquement religieuse des événements ne suffit pas à englober la complexité, et l’enchevêtrement, des liens politiques, régionaux, tribaux, ethniques et de classe qui caractérisent la Syrie. C’est pourquoi l’effondrement de l’autorité pourrait provoquer une situation encore plus explosive et violente qu’en Libye.
    Cela ne veut pas dire que le maintien du régime Al-Assad soit la solution. Au contraire, c’est même devenu un problème majeur. Le monde arabe connaît des transformations radicales, or la dictature syrienne ne diffère en rien de celles qui ont été récemment balayées. La République arabe syrienne n’a en effet de république que le nom, Bachar Al-Assad ayant hérité de la présidence, et du pouvoir absolu, de son père Hafez. Les membres de la famille Al-Assad ont d’ailleurs la réputation d’être à la tête de réseaux de corruption et de clientélisme. Sans le vouloir, l’écrivain britannique William Dalrymple a saisi la nature dysfonctionnelle du système quand il a écrit, avec bienveillance, que la Syrie était «un Etat policier qui laissait ses citoyens tranquilles tant qu’ils ne se mêlaient pas de politique».
    Comme son père, Bachar Al-Assad a maintenu sa suprématie en sapant systématiquement tous les centres potentiels de pouvoir et de légitimité alternatifs. Le système syrien est construit de manière à n’offrir le choix qu’entre les Al-Assad et le chaos. Hafez Al-Assad a durci cet état de fait suite à l’insurrection des Frères Musulmans qui débuta au milieu des années 1970. La répression culmina avec le siège meurtrier de Hama, en février 1982, au cours duquel des dizaines de milliers de personnes furent tuées.
    Bachar Al-Assad reçoit toujours le soutien des pays qui le préfèrent au chaos. Dans le Golfe et en Irak, les dirigeants aux prises avec des rébellions populaires n’ont aucune envie de voir un despote de plus se faire évincer… ni d’avoir à gérer une dangereuse vacance politique en Syrie.
    L’Arabie Saoudite compte toujours sur Damas pour contenir l’influence chiite au Liban et en Irak. Ainsi, c’est ostensiblement que le gouvernement syrien a défendu le déploiement militaire des Etats du Golfe au Bahreïn en faveur de la monarchie sunnite Al-Khalifa, alors que l’Iran se rangeait auprès de la communauté chiite marginalisée. Non pas que Damas soit près de rompre avec Téhéran, mais Bachar Al-Assad a besoin du soutien des Saoudiens s’il veut avoir une chance d’apaiser la colère de ses concitoyens, et en particulier celle des sunnites.
    Hors du monde arabe, Bachar Al-Assad peut également compter sur une approbation nourrie d’inquiétude. Barack Obama ne veut pas d’un nouveau casse-tête au Proche-Orient et évite soigneusement d’évoquer les événements syriens. Israël préfère encore la routine du gouvernement Al-Assad à l’inconnu, d’autant que depuis près de 40 ans, les Al-Assad font respecter leur frontière commune.
    Pour l’Iran, la Syrie représente un allié stratégique au Levant, tandis que la Turquie s’est servie de ses relations avec Damas pour s’ouvrir une porte vers le monde arabe. Ce qui n’a pas empêché Recep Tayyip Erdogan, le Premier ministre turc, d’inciter la semaine dernière Bachar Al-Assad à mettre en œuvre des réformes démocratiques. Erdogan a raison. La tolérance internationale ne sera d’aucune utilité à Bachar Al-Assad si une majorité de Syriens s’unit contre lui. [...]"


Monde arabe

- Le douloureux exode des chrétiens d’Orient, Bernadette Sauvaget (Libération) - «A mon travail, on m’a demandé de porter le voile. Ensuite, on voulait que j’aille assister à la prière. En fait, c’était une manière de me forcer à me convertir» ; "l’exode touche particulièrement la minorité chrétienne, très fragilisée. Depuis 2003, elle serait passée, en Irak, de 800 000 à 400 000 personnes".
http://www.liberation.fr/monde/01012327834-le-douloureux-exode-des-chretiens-d-orient
   "Le 8 mars une église copte est incendiée au Caire. La communauté chrétienne d’Egypte s’inquiète à nouveau. Pourtant, quelques semaines plus tôt, place Tahrir, chrétiens et musulmans ont lutté ensemble pour la chute de Moubarak. Que peuvent attendre les minorités chrétiennes du printemps arabe ? [...]
    Après avoir assisté, comme chaque dimanche, à la messe à l’église de la rue Pajol, Rana, une femme d’une trentaine d’années, raconte longuement la terreur quotidienne à Bagdad, le départ précipité et clandestin vers l’exil : «Souvent, je dois me dire que je suis à Paris et que je ne risque plus rien.» Arrivée avec ses parents en France début 2009, Rana se surprend encore à marcher aux aguets dans la rue. «Quand nous avons quitté l’Irak, je n’ai pas prévenu à mon travail que je m’en allais, explique-t-elle. Nous y étions encore trois chrétiennes. Quelqu’un m’avait demandé pourquoi je restais, me disant que tous les chrétiens étaient partis d’Irak.» Si la menace était indirecte, le message n’en était pas moins clair.
    Dans le quartier où vivaient Rana et ses parents, la vie était particulièrement dangereuse. Les autres familles chrétiennes l’avaient déjà quitté. «Les deux dernières années, je n’allais plus dans le garage ni dans le jardin, dit-elle. Dès la fin de l’après-midi, nous nous barricadions.» Avaient-ils été déjà attaqués ? La jeune femme ne souhaite pas en dire davantage. «A nos voisins, poursuit-elle, nous avons dit que nous partions quelque temps en Jordanie pour les soins médicaux dont avait besoin mon père.» Prévenue par un canal diplomatique, la famille, après avoir obtenu son visa pour la France, a retrouvé un petit groupe de gens à l’aéroport. C’est seulement, à l’escale dans un pays voisin, que tous ont compris qu’ils partaient ensemble vers Paris. «Nous n’avons plus de famille en Irak», dit encore Rana. Soudain inquiète, elle gomme les détails trop marquants, négocie ce qui peut être écrit et ce qui ne peut l’être…
    Même loin de l’Irak, les habitudes résistent et la peur poisseuse demeure. «Je me réveille la nuit et je crois que je suis encore à Bagdad. Auprès de mon lit, je cherche l’arme que j’avais là-bas», raconte Dinka, qui, à 56 ans, a tout laissé derrière lui, magasin et maison cossue. [...]
    Entre elle, la famille parle en soureth, un dialecte araméen. Croyante, [Sara] achève les trois jours de jeûne des rogations de Ninive, une fête religieuse chaldéenne qui commémore la prédication de Jonas, épargnant la ville de la colère divine par son appel à la repentance. «J’avais d’abord mis à l’abri mes deux aînés en Syrie, poursuit Dinka. Ils allaient à l’université et avaient été menacés.» Chaque jour, pour la protéger, le père conduisait sa fille cadette à l’école, s’opposait à ce qu’elle porte le voile islamique, devenu une obligation aussi pour les chrétiennes en Irak.
    Professeure de sport à l’université, Nadia a, elle aussi, subi à Bagdad cette pression quotidienne exercée à l’encontre des femmes. «A mon travail, on m’a demandé de porter le voile, raconte-t-elle. Ensuite, on voulait que j’aille assister à la prière. En fait, c’était une manière de me forcer à me convertir.» Dès 2005, Youssif, son mari, avait, lui, cessé son travail car le magasin de ventes d’alcool où il était employé avait été attaqué. Il était devenu trop dangereux de continuer à travailler. [...]
    De fait, l’exode touche particulièrement la minorité chrétienne, très fragilisée. Depuis 2003, elle serait passée, en Irak, de 800 000 à 400 000 personnes. [...]
    A Bagdad, Salwan possédait un commerce de gros en balais. Il a fui en 2009. Agé d’une vingtaine d’années, il montre la longue cicatrice qui lui barre la paume de la main. «J’ai reçu une lettre de menaces», raconte-t-il. Il n’y a pas pris garde. Son français reste hésitant. Il ne trouve pas le mot et fait le geste de déchirer la lettre. «Plus tard, poursuit-il, j’ai été assommé dans la rue.» Lors de l’agression, il a eu deux doigts tranchés, à l’hôpital, on a pu les lui regreffer. «Mon père voulait que je quitte l’Irak et a vendu le magasin. Il pensait que la prochaine fois, ils me tueraient», explique-t-il. [...]
    Sur place, ils sont suspectés par les extrémistes islamistes d’être la cinquième colonne des «croisés» occidentaux. Début novembre, Al-Qaeda affirmait que les chrétiens étaient des «cibles légitimes». Puis est arrivé l’attentat contre une église copte à Alexandrie, dans la nuit de la Saint-Sylvestre, mobilisant davantage l’Occident à la cause des chrétiens d’Orient. [...] à terme, l’exode pourrait être fatal. Lors d’un synode sur la situation au Moyen-Orient, qui s’est tenu en octobre à Rome, l’Eglise catholique a réaffirmé son souhait que perdure une présence chrétienne dans le berceau originel du christianisme. Mais à quel prix ? «Personne ne peut dire qu’un chrétien n’est pas en danger en Irak. Comment peut-on demander à un père de famille d’y rester ?» s’insurge Elish Yako, l’un des responsables de l’Aemo. L’association affirme avoir une liste d’attente de 4 000 personnes qui voudraient partir d’Irak. [...]"


Iran

- L'Argentine donne la priorité à l'Iran, Gil Shefler (JP) - "la République islamique aurait demandé au pays d'Amérique du Sud d'abandonner l'enquête sur les attentats qui impliquent le Hezbollah".
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1300962195652&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
   "L'argentine prête à suspendre l'enquête sur les attentats à la bombe de 1992 et de 1994 contre l'ambassade d'Israël et le centre juif de Buenos Aires, qui ont fait 114 morts. En échange : un rapprochement économique privilégié avec l'Iran. A l'origine de cette information : le tabloïde argentin Perfil. Selon lui, la République islamique aurait demandé au pays d'Amérique du Sud d'abandonner l'enquête sur les attentats qui impliquent le Hezbollah et l'Iran. L'enquête pourrait également mettre en cause le ministre iranien de la Défense, Ahmad Vahidi.
    "L'Argentine n'a plus pour priorité la résolution de ces deux attaques mais préfère améliorer ses relations avec l'Iran", affirme le magazine qui cite un document iranien. Perfil, journal d'opposition au gouvernement de Cristina Kirchner, affirme que l'offre a été faite au ministre argentin des Affaires étrangères, Hector Timmerman, lors de sa récente visite à Damas. Il y avait rencontré le président syrien Bashar el-Assad, allié de l'Iran. Les échanges entre l'Iran et l'Argentine représentent chaque année plus de 1,2 milliards de dollars d'investissements pour les deux pays."
- Probable annulation d’une visite officielle, Yéochoua Sultan (Arouts 7) - «Nous attendons la réponse du ministère argentin des Affaires étrangères».
http://www.israel7.com/2011/03/probable-annulation-dune-visite-officielle/
   "Israël serait en train de reconsidérer la visite officielle prévue pour la semaine prochaine du ministre argentin des Affaires étrangères, Hector Timerman, en raison des récentes informations concernant une proposition faite par ce pays à l’Iran, et qui consisterait en la suspension des enquêtes sur les attentats contre la communauté juive de Buenos-Aires, en 1992 et en 1994. En effet, les pistes se tournent en direction de la république islamique, qui semble être responsable des massacres perpétrés contre les Juifs d’Argentine. Le ministère des Affaires étrangères cherche à vérifier l’authenticité des informations parues dans le Perfil, le journal argentin qui a propagé l’information concernant la suspension des poursuites des enquêtes.
    Selon le journal, la présidente de l’Argentine, Kirchner Fernandez, cherche à intensifier les échanges commerciaux entre son pays et l’Iran, et ce serait la raison pour laquelle elle aurait pris cette initiative. Les responsables du ministère se sont entretenus au téléphone pendant la journée avec des diplomates argentins et des diplomates israéliens en fonction dans ce pays, mais l’information n’a toujours pas été confirmée. «Nous attendons la réponse du ministère argentin des Affaires étrangères», a indiqué le porte-parole du ministère israélien, Ygal Palmor.
    Aucun suspect n’a encore été inculpé, malgré les recherches, pour les attentats commis contre le bâtiment de la communauté juive de Buenos-Aires, où 85 innocents ont péri, et plus de 300 ont été blessés ; et contre l’ambassade d’Israël, quand 29 personnes ont été assassinées et plus de 200 autres blessées. [...]"

- Revolutionary Guards’ Influence Grows in Iran as Opposition Falters, Lt. Col. (ret.) Michael Segall (JCPA) - "The Revolutionary Guards see in the current developments in the Middle East fertile ground to expand its activities in order to gain influence among Islamist elements in Arab countries that are experiencing great historic changes" ; "They aim to turn Iran into a world player that can influence global events".
http://jerusalemcenter.wordpress.com/2011/03/27/revolutionary-guards%E2%80%99-influence-grows-in-iran-as-opposition-falters/
   "On March 8, 2011, Ayatollah Mohammad-Reza Mahdavi Kani, 80, was elected Chairman of the Assembly of Experts, the body that will elect the next Supreme Leader of Iran. The election was called after the incumbent, Ayatollah Akbar Hashemi Rafsanjani, fearing defeat, withdrew his candidacy, stating that he did not want to hurt the standing of the assembly. [...] The Assembly of Experts, which consist of 86 senior Islamic scholars, represents one of the most powerful and important center’s of Iran’s religious and Islamic establishment. [...]
    Today, the Revolutionary Guards are gradually completing their takeover of Iran, as Rafsanjani and other senior figures of the first generation of the revolution are being pushed out of positions of power and are being replaced by the Guards and their allies in positions of religious leadership. Despite international sanctions and growing international attention to the political developments in the Middle East, the Iranian regime is still confident enough to act against those, among them Rafsanjani, who played a central role in the history of revolutionary Iran.
    Additionally, Mir-Hossein Mousavi, Mehdi Karroubi, Mohammad Khatami, and other leaders of the reform movement have felt the regime’s noose tightening around them in the past few weeks. While in the past the Iranian regime avoided cracking down on them harshly, it seems that today they are showing less restraint.
    Since its establishment, the Revolutionary Guards have built up their role to “guard the Revolution and its achievements.” Ahmadinejad’s presidency represents a golden opportunity for the organization, which is attempting, now more than ever, to recreate in practice the first days of the revolution – expressing revolutionary passion through the support of terrorist groups and “liberation movements” in the Middle East and beyond.
    The Revolutionary Guards see in the current developments in the Middle East fertile ground to expand its activities in order to gain influence among Islamist elements in Arab countries that are experiencing great historic changes. Currently, the Guards can easily activate sleeper cells in the Arab countries and increase assistance to the rising Islamist elements (especially to Shiites). This happens at a time when the opponents of such an adventurous policy, like Rafsanjani, are getting weaker. In this context, the changes within the Revolutionary Guards and the appointment of Ali Akbar Salehi as Minister of Foreign Affairs indicate the eroding constraints facing the policy of exporting the revolution.
    The growing self-confidence of the Revolutionary Guards is displayed decisively in its continuous weapons shipments to terror groups in Africa and the Middle East. For example, most recently, the ship Victoria carried advanced weaponry including C-704 anti-ship missiles and mortars (like those that are fired at Israeli towns) to Hamas and the Islamic Jihad in Gaza. This also testifies to the strengthening of Iran’s strategic cooperation with Syria.
    Ahmadinejad and the Revolutionary Guards are taking revenge on the old guard of the revolution and are turning towards the outside world – the Middle East, Africa, and Latin America. They aim to turn Iran into a world player that can influence global events. Weapons smuggling to the Middle East and Africa, and drug trafficking in Latin America present opportunities for changing the playing field.
    In the shadow of the changes in Middle East and the catastrophe in Japan, Iran continues to pursue its nuclear program.  The missions undertaken by the Revolutionary Guards since its establishment, and even more so since the end of the Iran-Iraq War, have changed the organization and its role in Iranian society. Since its foundation at the time of the revolution as scattered groups in various Iranian cities with loose ties, the Revolutionary Guards have developed into an economic-military-political powerhouse, in practice, the central power and influence in Iran. All those who were able to oppose this process – Rafsanjani and others – have been pushed aside in order for the Revolutionary Guards to slowly complete their takeover of Iran."


Europe

- Boycott Israel! Stop Carmel Agrexco (Rome, March 6th, 2010) (Vidéo 3mn37) - Une manifestation de boycotteurs italiens. L'un d'eux, portant un drapeau israélien, y étale le "sang" qu'il a sur les mains...
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=ZodIbMMrhXc
   "[...] Don't be an accomplice to apartheid and colonialism! Boycott the fruits of Israeli Apartheid! Boycott CARMEL-AGREXCO!"
Partager cet article
Repost0
26 mars 2011 6 26 /03 /mars /2011 21:37

- Le ras-le-bol des Palestiniens, Gilles Paris (Le Monde.fr)
http://israelpalestine.blog.lemonde.fr/2011/03/25/le-ras-le-bol-des-palestiniens/
   "Les Palestiniens sont définitivement lassés de leurs représentants (Fatah, Hamas) et surtout de leurs divisions, tel est le principal enseignement du dernier sondage du Palestinian Center for Policy Survey and Research que finance la fondation allemande Konrad Adenauer. [...] Lassitude vis à vis du Hamas, interrogations vis à vis du fatah à la suite des Palestinian papers (les “fuites” diffusées par Al-Jazira sur les négociations israélo-palestiniennes, les Palestiniens regrettent en outre une liberté s’exprimer qui fut longtemps une spécificité mais qui est en chute libre comme le montre le tableau ci-dessous."

 

Ability-to-criticize.jpg

 

- Palestinian Public Opinion Poll No (39) - Quelques passages notables. Une majorité de Palestiniens s'opposent à la proposition d'unité de Fayyad.
http://www.pcpsr.org/survey/polls/2011/p39epressrelease.html
    - "23% say the government of Haniyeh is the legitimate Palestinian government and 25% say the Fayyad government is the legitimate one. 37% say both governments are illegitimate. These results indicate a decrease in the percentage of those who view the Fayyad government as legitimate".
    - "A majority of 52% opposes and 43% support Salam Fayyad’s proposal to end the West Bank-Gaza Strip split by an immediate unification of the two areas, the formation of a national unity government under the premiership of a prime minister acceptable to Fateh and Hamas, and the maintenance of the status quo regarding security conditions in the Gaza Strip (under Hamas’s control) and the West Bank (under Fateh)."
    - "In order to end the split, 33% support and 61% oppose a proposal whereby president Abbas would accept Hamas conditions for unification even if such a step would lead to the return of international sanctions and boycott. Findings show that 69% view such a step by the president as posing a threat to their own interests and those of the Palestinian people."
    - "If new presidential elections are held today, and only two were nominated, Abbas would receive the vote of 55% and Haniyeh 38% of the vote of those participating. The rate of participation in such election would reach 58%."
    - "If the presidential elections were between Marwan Barghouti and Ismail Haniyeh, the former would receive 64% and the latter would receive 31% of the participants’ votes. The rate of participation in this case would reach 67%."
    - "Vote for Hamas in the Gaza Strip in this poll is 33% and in the West Bank 21%. Vote for Fateh in the Gaza Strip is 42% and in the West Bank 39%."
    - "The largest percentage (45%) believes that the first most vital Palestinian goal should be to end Israeli occupation in the areas occupied in 1967 and build a Palestinian state in the West Bank and the Gaza Strip with East Jerusalem as its capital."
    - "The largest percentage (38%) believes that the second most vital Palestinian goal should be to obtain the right of return to refuges to their 1948 towns and villages."

Partager cet article
Repost0
26 mars 2011 6 26 /03 /mars /2011 21:35

France

- Alain Badiou débat de son livre "Antisémitisme partout" avec Alain Finkielkraut (Emission "Ce Soir ou Jamais" de Frédéric Taddéi, 24 mars, Vidéo 18mn32) - Pour Badiou, tous ceux qui jugent que la diabolisation d'Israël pourrait avoir des sources antisémites sont des ennemis du peuple. En bon antisioniste, il estime qu'Israël doit cesser d'être un Etat juif. Finkielkraut montre patte blanche en rappelant qu'il a signé J-Call - preuve qu'il y a des bons Juifs qui critiquent Israël -, et rappelle la légitimité du sionisme.
http://www.dailymotion.com/video/xhsspg_alain-badiou-s-attaque-au-mensonge-sioniste-partie1_news
    - Alain Badiou à 7mn50 : "On pourrait aussi exiger de l'ensemble des ensembles d'organisations représentatives juives et de propagandistes qui les accompagnent [il montre alors Finkielkraut de la main] qu'ils cessent de déclarer "antisémite" toute critique des agissements de l'Etat d'Israël. C'est quand même le fond de cette propagande. [...] Comment se fait-il qu'aujourd'hui on tente de disqualifier des intellectuels et des penseurs de la politique en les traitant d'antisémites, alors qu'à l'évidence ils ne le sont pas et ne l'ont jamais été ?"
    - Alain Finkielkraut à 9mn55 : "Vous ne pouvez pas m'accuser, ni accuser les intellectuels dont vous parlez, de taxer d'antisémite toute critique de l'Etat d'Israël, ou de vouloir maintenir dans l'invisibilité les Juifs qui osent critiquer Israël, puisque votre livre a été écrit après cet appel que j'ai signé et auquel j'ai fait référence, J-Call, un appel dans lequel un certain nombre d'intellectuels juifs, qui se réclament d'un attachement en effet viscéral à Israël, critiquent très clairement l'actuelle politique israélienne, parlent à propos de l'occupation de "faute morale" [plus précisément, cet appel qualifie la présence de Juifs au-delà de la Ligne Verte et même à Jérusalem-est de "faute morale"], et invitent même à des pressions américaines et européennes pour que des négociations en vue de la constitution de deux Etats reprennent au plus vite."
    - Badiou à 13mn56 : "Critiquer la politique israélienne dans tel ou tel de ses aspects [est une] question qui en elle-même n'a absolument rien à avoir avec l'antisémitisme ni même avec la question des Juifs. [...] Et ça, c'est quelque chose que vous [Finkielkraut] avez contribué à mettre en place, vous avez beau le dire, vous avez contribué à mettre en place ce système général qui empoisonne entièrement la polémique sur ces questions, et qui est l'identification du signifiant et noble mot "juif" à la politique israélienne et à l'Etat d'Israël. Vous avez étatisé le mot "juif", vous l'avez collé à l'Etat d'Israël." Il explique ensuite qu'il ne faut pas appeler Israël un "Etat juif" (qui est pourtant sa définition constitutionnelle et le terme même de la résolution 181 qui visait à réaliser le droit d'auto-détermination du peuple juif).
    - Finkielkraut à 16mn02 : "L'Etat d'Israël a été construit, bâti, pour que les Juifs soient en majorité quelque part dans le monde, pour qu'ils puissent prendre, oui en effet, leur destin en main, qu'ils puissent ressaisir toutes leurs prérogatives de peuple. [...] L'antisionisme radical, qui n'a rien à voir avec la critique de la politique d'Israël, c'est une délégitimation d'Israël comme tel, c'est-à-dire une manière de dire : Israël doit cesser d'exister, Israël est une anomalie historique, Israël est en soi-même une injustice avec laquelle il s'agit d'en finir au travers de la création d'un "Etat binational", d'un "Etat laïque" voire de la disparition pure et simple d'Israël. C'est sans doute le seul Etat de la terre qui soit justiciable d'une critique aussi intransigeante, aussi profonde, aussi radicale. Donc il est assez légitime que beaucoup de Juifs s'émeuvent d'une telle critique.
    Mais j'ajoute que le point central de votre livre n'est pas là. Vous considérez, vous, que ceux aujourd'hui qui parlent d'antisémitisme, d'un regain de l'antisémitisme, veulent "semer la méfiance et l'hostilité envers la jeunesse populaire, stigmatiser les immigrés pour justifier l'exploitation". Il s'agirait donc d'une opération idéologique, d'un mensonge organisé..."
Commentaire antisémite sur Dailymotion :
- Daofurieux :
   "Il y a trop de Juifs sur France culture effectivement, comme sur arté, c'est pour cela que c'est médiocre d'ailleurs... Ce peuple sans racines, sans véritable civilisation (un mur en ruine pour tout monument)
c'est hissé sur des épaules de géants, en parasitant les autres peuples, fort heureusement, avec l'émergence des empires Asiatiques, cette époque est bientôt terminée..."


- Commentaires haineux du jour sur Le Monde.fr - "Combien de temps faudra-t-il encore pour mettre enfin ce pays au ban des nations ?"
http://www.lemonde.fr/proche-orient/reactions/2011/03/25/israel-adopte-des-lois-vexatoires-contre-les-palestiniens_1498351_3218.html
- bertrand-b (25/03/11 17h40)
   "[...] Israël est un occupant par la force,d'un territoire où ne se passe de journée sans qu'il assassine,pille,détruit des cultures,enferme dans des camps des milliers de prisonniers,Israël lance des offensives contre les pays voisins,Liban,Israël détient une partie de territoire Syrien,Israël impose un blocus à Gaza avec pour finalité l'intention de l'annexer définitivement et empêcher tout accès à la mer pour les Palestiniens et piller le pétrole"
- gus (25/03/11 19h22)
   "Encore ce sentiment de nausée qui m'envahit... Combien de temps faudra-t-il encore pour mettre en fin ce pays au ban des nations, afin de le contraindre à quelque humanité."
- CJ 3 (25/03/11 21h34) - les Juifs "prétendent incarner le "bien" au nom de ses souffrances passées"...
   "On ne peut continuer à valider le discours révisionniste d'Israel et prétendre imposer aux Palestiniens une injustice criante en tant que vérité à laquelle ils doivent se plier! Et tout cela venant d'une communauté qui hurle au racisme à la moindre remarque et prétend incarner le "bien" au nom de ses souffrances passées! C'est une escroquerie intellectuelle et l'enterrement de tout espoir que l'humanité puisse apprendre de ses erreurs. C'est monstrueux de mauvaise foi et de mensonges éhontés!"
http://www.lemonde.fr/proche-orient/reactions/2011/03/25/israel-pret-a-reagir-avec-grande-force-selon-netanyahou_1498196_3218.html
- ml26 (00h40)
   "Netanyahaou est bien pire que Poutine, car celui-ci n'a jamais prétendu accomplir la volonté de Dieu sur terre, lui.. Israël est LE pays qui a intérêt à la guerre. la paix et la démilitarisation entraineraient l'effondrement de la société et de l'économie israélienne, qui ne tiennent que par l'idéologie sioniste, militaire et coloniale, par la compassion des juifs du monde entier, par le soutien financier des USA et par l'importance de ses industries d'armement. Ca ferait pschittttt..."


"Processus de paix"

- Abbas : pas de paix avec Israël tant que les prisonniers palestiniens ne sont pas libérés (Guysen) - une nouvelle pré-condition ?
http://www.guysen.com/news_Abbas-pas-de-paix-avec-Israel-tant-que-les-prisonniers-palestiniens-ne-sont-pas-_307837.html
   "Le président palestinien Mahmoud Abbas a soutenu ce samedi qu'il n'y aurait pas de paix avec Israël tant que les prisonniers palestiniens détenus dans les prisons israéliennes ne sont pas libérés."

- Nouvelle approche pour le conflit Israël-Palestine (AP) - "confier ce travail aux Nations unies et à l'Union européenne mettrait à l'écart les États-Unis, le plus proche allié d'Israël", ce qui ne déplairait pas aux capitales européennes, nettement plus proches des revendications palestiniennes.
http://www.journalmetro.com/monde/article/814201--nouvelle-approche-pour-le-conflit-israel-palestine
   "La Grande-Bretagne, la France et l'Allemagne souhaitent que les Nations unies et l'Union européennes proposent les grandes lignes d'un accord qui mettrait un point final au conflit israélo-palestinien et qui mènerait à la création d'un État palestinien. Selon des diplomates des Nations unies ayant requis l'anonymat, les trois pays européens font pression sur le secrétaire général Ban Ki-moon et l'Union européenne pour qu'ils ébauchent une entente en prévision d'une réunion du Quartet des médiateurs internationaux pour le Proche-Orient, dont font partie les Nations unies, l'Union européenne, les États-Unis et la Russie, qui aura lieu à la mi-avril.
    L'objectif est d'offrir un point de départ pour la reprise des pourparlers directs entre Israël et la Palestine. Mais confier ce travail aux Nations unies et à l'Union européenne mettrait à l'écart les États-Unis, le plus proche allié d'Israël qui a essayé pendant des mois de relancer les négociations sans succès, tout comme la Russie qui, elle, penche du côté de la Palestine. Pour les diplomates, la grande question est de savoir si les États-Unis permettront aux Nations unies et à l'Union européenne de prendre la relève et de tenter à leur tour de sortir les discussions de l'impasse. Leur approbation dépendra probablement de celle d'Israël. [...]
    Lorsque les États-Unis ont exercé leur droit de veto le 18 février sur une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies qui aurait déclaré «illégales» les colonies israéliennes et exiger la fin immédiate des travaux, la Grande-Bretagne, la France et l'Allemagne ont émis un communiqué commun pour exprimer leurs inquiétudes par rapport au difficile processus de paix au Proche-Orient. Les diplomates ont révélé que, devant l'échec des tentatives américaines, les trois puissances européennes avaient décidé d'essayer une nouvelle approche dans l'espoir de régler une fois pour toutes le conflit israélo-palestinien."

- Isaac and Ishmael: How Muslims Think about Israel, in a Nutshell (Elder of Ziyon) - Selon un "professeur" de Islam Online, site majeur pour les musulmans du monde entier : "The Jews of today have made the Holocaust look far more terrible than it really was; just to get the sympathy of the world so that they will be excused for the Palestinian Holocaust".
http://www.newsrealblog.com/2011/03/25/isaac-and-ishmael-how-muslims-think-about-israel-in-a-nutshell/
   "OnIslam, which is a breakaway website from Islam Online, has a fatwa section where someone recently asked this: "Can you answer the question why the Palestinians and the Israelis have been fighting for so long? What is it all about? Why do they seem to hate each other so much? Is it related to the Catholic/Protestant faith, Judaism and Islam?"
    The answer given is very illuminating. It illustrates why real peace is impossible: because the other side doesn’t even know the basic facts about Judaism, Zionism and Israel. It is simply not possible to reach an agreement when one side’s entire conception of the others is, simply, filled with lies. Here is the first part of the answer:
   "In the Bible, in the Book of Genesis there is a verse which reads: “And I will give unto thee, and to thy seed after thee, the land wherein thou art a stranger, all the land of Canaan, for an everlasting possession; and I will be their God.” (Gen. 17:8) You can read this verse in the Jewish Book called Torah also. Here Jehovah is addressing Abraham, the Patriarch. Because Jehovah (God) was pleased with Abraham, He wishes to give the children (“seed”) of Abraham the Land of Canaan as an everlasting possession.
    It is the present Palestine that is meant by the Land of Canaan. The Jews interpret the expression “thy seed” to mean the people who later came to be known as the Children of Israel. Israel was the second son of Isaac; and Isaac was the second son of Abraham. Jews argue that they are the people to whom God or Jehovah gave Palestine as an everlasting possession, that is because they claim to be the Children of Abraham through Isaac.
    But here they ignore Ishmael, the first son of Abraham, and his children. (The Arabs are the Children of Ishmael). They deny the right of Ishmael saying that he was the son of a slave woman Hajar, whereas Isaac was the son of a free woman, Sarah. In fact, in the Torah itself it is clearly stated that the firstborn should get double portion of his father’s share, even when his mother has a lower status. Read the verse in the Book of Deuteronomy of the Old Testament of the Bible and the Torah:
    “If a man has two wives, one beloved, and another hated, and they have born him children, both the beloved and the hated; and if the firstborn son be hers that was hated: then it shall be, when he maketh his sons to inherit that which he hath, that he may not make the son of the beloved firstborn before the son of the hated, which is indeed the firstborn: but he shall acknowledge the son of the hated for the firstborn, by giving him a double portion of all that he hath: for he is the beginning of his strength; the right of the firstborn is his.” (Deut. 21: 15 to 17)
    You find here two rules:
    1. Of the wealth of the father, the eldest son should get double portion;
    2. If the eldest son happens to be the son of a hated woman (hated for some reason such as her lower status), his double share should not be refused to him, on that account.
    This simple rule of the Torah is ignored by the Jews here, when they argue that Ishmael should not get his right. What I mean here is that even if we appeal to the Torah, the Jewish religious book, the Jews have no exclusive right to the Land of Palestine. The fun of the matter is that the Christians of the world, with the exception of the Palestinian Christians, have accepted the claims of the Jews, even when their own Bible is against it. And all the modern secular states of the so-called civilized world accept the claims made by Israel on the basis of a book at least 2,000 years old, in order to deny the birthright of a people who have no other land but Palestine."
  
  Don’t you love when Muslims tell Jews how to interpret the Torah? The “scholar” answering the question obviously ignores what God said a mere ten verses later:
   "And Abraham said unto God: ‘Oh that Ishmael might live before Thee!’ And God said: ‘Nay, but Sarah thy wife shall bear thee a son; and thou shalt call his name Isaac; and I will establish My covenant with him for an everlasting covenant for his seed after him. And as for Ishmael, I have heard thee; behold, I have blessed him, and will make him fruitful, and will multiply him exceedingly; twelve princes shall he beget, and I will make him a great nation. But My covenant will I establish with Isaac, whom Sarah shall bear unto thee at this set time in the next year."

    This is all besides the many sections where God promises the Land to Isaac, Jacob, and the Children of Israel. By cherry-picking one verse, and mis-characterizing an irrelevant biblical section later, the writer is simply lying about what the Torah says. (And even according to him, Jews should have one-third of the land from the Nile to the Euphrates–so Israel better start picking up more land!)
    Then he goes on to say: "We must also understand that the present day Israelis are mostly European Jews who have migrated to Palestine. They have settled there ousting the original people, massacring them, or making them refugees in their own land." Probably about half of Israelis are descended from ancestors who lives in Arab lands. No one counts, because it really doesn’t matter, except to racists.
    "You know that the Jews were a tribe of hunted people in the whole of the Christian world; because they were considered to be the murderers of Jesus. In all European cities, they were confined to the dirty areas in the suburbs, called the ghetto. The Jews were treated like animals and they were not allowed any rights by the Christian countries. In fact the Jews were given the freedom to live as citizens only in the Arab Islamic world. It is here that you can see the most horrible instance of ingratitude, in the way the present day Jews reward the Muslims for the consideration they used to get. The persecution of Jews in Christendom reached a terrible level during the Second World War in Germany. Hitler and his Nazi Party killed thousands of Jews in Concentration Camps."
    Thousands? Well, let him explain: "This incident in the history of the world is usually called the Holocaust. (The Jews of today have made the Holocaust look far more terrible than it really was; just to get the sympathy of the world so that they will be excused for the Palestinian Holocaust. But there is nobody to call the plight of the Palestinians a Holocaust, even though the conditions are comparable)." Ah, I see. A few thousand Jews were killed by the Nazis–fewer than the number of Palestinian Arabs killed by Jews!
    "At the end of the Second World War, Britain promised the Jews a state in Palestine, because they wanted to rid Europe of the curse of the Jews for one thing and they wanted to keep a promise they had given to the Jews while fighting the Nazis." Balfour just disappeared into thin air!
    "The whole project of Israel was the scheme of a group of (chiefly European) Jews called Zionists. In the World War II, Germans were fighting against the Allies (i.e. Great Britain, the US, France, etc.). Since the Jews were the most persecuted people in Germany, they (i.e. the European Jews) helped the Allies in the war. By this time Jews had started their Zionist movement. Zionists demanded a reward from the Allies for their role in the fight against Hitler; and the Allies offered the Arab land of Palestine to the Jews for their state. Towards the end of the WW II, Jews from Europe started coming openly and secretly to Palestine which was under the British rule."
    There are more lies here than I can count. European Jews were a little too busy trying to avoid being slaughtered to be able to help much in the Allied war effort, but guess who did? Zionist Jews from Palestine! You know, the ones who weren’t there before WWII ended.
    "In 1947, there were about 1.3 million Arabs in all of Palestine. By 1949, about 750,000 Palestinian Arabs were living in squalid refugee camps, set up virtually overnight in territories adjacent to Israel’s borders. About 300,000 lived in the Gaza Strip… Another 450,000 became unwelcome residents of the West Bank of the Jordan. There were many Arabs living in Israel as citizens. But the new state was bent on facilitating the growth of the Jewish nation at the expense of Arab rights."
    OK, let’s think about this. According to this article, there were 750,000 Palestinian Arabs who ended up in….the West Bank and Gaza, which is in– Palestine! So why didn’t they make their state then? Why were they considered unwelcome in Jordan when Jordan is the only state that gave them citizenship? You can read the whole thing to see how false this “history” is. But as bizarre as it is, it points to the fundamental problem: you cannot negotiate with people who are so far removed from the truth, and who are so willing to lie, brazenly and without fear."

 


Gaza & Hamas

- Deux roquettes tirées depuis la bande de Gaza contre Israël, Allyn Fisher-Ilan (Reuters) - "Une maison a été endommagée par un des deux projectiles".
http://fr.news.yahoo.com/4/20110326/twl-po-gaza-israel-38cfb6d.html
   "Deux roquettes tirées de la bande de Gaza se sont abattues samedi en territoire israélien, rapportent des témoins et une porte-parole de l'armée israélienne. Une maison a été endommagée par un des deux projectiles tirés avant l'aube. Ses occupants ont pu l'évacuer avant le choc, avertis par les systèmes d'alarme. L'autre a explosé dans une zone inhabitée. Ces tirs, les premiers après une journée d'accalmie, vendredi, n'ont pas été revendiqués.
    Le général israélien Tal Russo, qui dirige les opérations sur le front entre Israël et la bande de Gaza, a appelé les dirigeants du Hamas, qui contrôlent l'enclave palestinienne, à "revenir à la raison" pour éviter une escalade de la violence. Lors d'une revue des troupes, il a jugé que la situation dans la bande de Gaza échappait au contrôle du mouvement islamiste. "C'est l'anarchie", a-t-il déclaré.
    Prié de dire s'il pensait que la situation actuelle pouvait conduire à une nouvelle guerre, Russo a répondu : "Nous sommes prêts à toutes les possibilités, le fait est que nous ne permettrons pas une situation qui rendrait la vie impossible aux citoyens. L'autre camp semble avoir la mémoire courte et j'espère qu'ils vont revenir à la raison." [...]"

- Gaza : plusieurs mouvements palestiniens prêts à un retour au calme si "Israël fait de même" (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Gaza-plusieurs-mouvements-palestiniens-prets-a-un-retour-au-calme-si-Israel-fait_307867.html
   "Plusieurs mouvements palestiniens qui étaient réunis ce samedi sous l'égide du Hamas se sont dits prêts à un retour au calme, après plusieurs jours de violence accrue, si Israël faisait de même."

- Israël : un «Dôme de fer» contre les tirs de roquettes, Marc Henry (Le Figaro) - "les responsables de l'armée n'ont accepté de déployer ces batteries qu'à contrecœur".
http://www.lefigaro.fr/international/2011/03/25/01003-20110325ARTFIG00624-israel-un-dome-de-fer-contre-les-tirs-de-roquettes.php
   "Israël doit étrenner dimanche une nouvelle arme antiroquette le long de la frontière avec Gaza. Ce système de défense, surnommé «Dôme de fer», est censé repérer, puis détruire en vol à l'aide de projectiles, les roquettes et obus de mortiers semblables à ceux qui sont tirés depuis dix jours vers les villes israéliennes. L'objectif est de rassurer la population civile soumise à une menace permanente. Reste à savoir si cet équipement sera à la hauteur en situation de conflit réel, et non plus seulement lors de tests.
    Prudents, les militaires soulignent qu'il ne s'agit en aucun cas d'une «arme absolue» offrant une sécurité totale aux centaines de milliers d'habitants du sud d'Israël. L'armée ne dispose en effet que de deux batteries. Chacune d'entre elles couvre un territoire de 100 km² seulement. Résultat : Benyamin Nétanyahou, le premier ministre, va se retrouver devant un dilemme. Toutes les villes touchées ou menacées ces derniers jours par des dizaines de roquettes comme Beersheba, Ashdod, Ashkelon ou Sderot ne pourront pas être protégées simultanément. Il va falloir en choisir deux parmi elles et laisser les autres sans défense au risque de provoquer la colère des habitants.
    De plus, les responsables de l'armée n'ont accepté de déployer ces batteries qu'à contrecœur. Une partie de l'état-major estime en effet que cette arme ne doit pas servir à protéger la population civile, mais uniquement les bases aériennes et autres installations «stratégiques». Les militaires ont donc tendance à traîner les pieds avant de sortir «Dôme de fer» des hangars. Cette attitude a provoqué une vive polémique initiée par Yossi Melman, spécialiste des questions de défense et de renseignement du quotidien Haaretz. Selon lui, l'état-major craint que le système connaisse des ratés. «Les militaires redoutent que dans ce cas les projets de ventes du système à l'étranger, notamment à Singapour, au Brésil ou en Inde soient mis en question», ajoute ce commentateur.
    Le coût financier constitue un autre handicap. Selon un rapport de la commission de la défense et des affaires étrangères, Israël aurait besoin de 13 «Dômes de fer» pour contrer efficacement les menaces du Hamas, au Sud, et du Hezbollah libanais à la frontière Nord. Or le ministère de la Défense n'a toujours pas débloqué les crédits suffisants pour de telles acquisitions et le versement d'une aide promise par les Etats-Unis pour acquérir une ou deux batteries a pris du retard.
    Sur le plan technique aussi, les inconnues ne manquent pas. Sur le papier, «Dôme de fer» peut intercepter des roquettes à une distance de 4 à 70 km. Or plusieurs localités et kibboutz pris pour cibles par des groupes palestiniens sont situés à moins de 4 km de la clôture de sécurité séparant la bande de Gaza du territoire israélien.
    Bref, comme le souligne le général de réserve Tzvika Fogel, «les habitants doivent éviter de se laisser aller à des attentes exagérées». Matan Vilnaï, ministre chargé de la protection de l'arrière, invoque pour sa part des «raisons stratégiques» pour justifier le fait que «Dôme de fer» n'ait pas encore été utilisé tout en refusant d'expliquer ce retard sous prétexte que «l'ennemi nous écoute»."


Judée-Samarie

- Le président palestinien rencontre le Hamas pour la première fois en près d'un an (AP)
http://fr.news.yahoo.com/3/20110326/twl-palestiniens-abbas-hamas-1be00ca.html
   "Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, du Fatah, a rencontré samedi en Cisjordanie des membres du Hamas pour la première fois depuis près d'un an, a-t-on appris auprès des deux mouvements rivaux. Les deux camps sont à couteaux tirés depuis que le Hamas s'est emparé par la force de la Bande de Gaza en 2007, en chassant le Fatah de Mahmoud Abbas, qui ne contrôle plus depuis que la Cisjordanie. Malgré les années et de nombreuses tentatives de médiation, la réconciliation n'a pu avoir lieu, compliquant les efforts en vue d'obtenir la naissance d'un Etat palestinien via un accord de paix avec Israël. [...]
    Azzam al-Ahmed, haut responsable du Fatah, a rapporté que la discussion avait été positive mais qu'aucun progrès concret n'avait été accompli pour préparer la visite de Mahmoud Abbas dans la Bande de Gaza. "Nous espérons que tous les obstacles pourront être levés", a-t-il déclaré. Le président de l'Autorité palestinienne a expliqué qu'il souhaitait qu'une date soit fixée pour des élections et qu'un gouvernement unifié dirige la Cisjordanie et la Bande de Gaza, a rapporté Ayman Hussein, qui faisait partie de la délégation du Hamas. [...]"


Jordanie

- Affrontements lors des manifestations en Jordanie (AP)
http://fr.news.yahoo.com/3/20110325/twl-jordanie-manifestations-1be00ca.html
   "Un personne a été tuée et une centaine d'autres ont été blessées vendredi en Jordanie: des batailles rangées ont opposé, à coups de jets de pierres, manifestants réclamant des réformes et partisans du gouvernement, avant l'intervention des forces de l'ordre. La police a tiré au canon à eau pour disperser la foule, puis des centaines d'hommes en tenue anti-émeutes ont investi les lieux, tabassant les manifestants et entraînant une vingtaine d'entre eux dans un bâtiment public non loin de là. C'est au cours de cette intervention qu'un manifestant est mort. Ces affrontements étaient les plus violents en plus de deux mois de manifestations, faisant un mort pour la première fois. [...]
    Selon le chef du Front d'action islamique, Hamza Mansour, la victime, Khairi Jamil Saïd, 26 ans, membre du Front, est morte des suites des coups infligés à la tête et sur le corps par la police. "C'est un crime atroce et nous en attribuons la responsabilité au Premier ministre Marouf al-Bakhit et à son gouvernement", a-t-il déclaré, exigeant leur démission. Le Front va tenir une réunion d'urgence pour envisager les mesures à prendre afin de renverser le chef du gouvernement, a-t-il ajouté. Des centaines de militants se sont engagés à camper devant le Ministère de l'Intérieur à Amman jusqu'à obtenir gain de cause. Ils étaient plusieurs milliers avant le début des troubles de vendredi. Des affrontements de ce type avaient déjà éclaté jeudi soir sur la place, faisant 35 blessés."


Monde arabe

- Tunisie : La tentation du complot, Skander Ben Attia (Nawaat) - "en attendant cette démocratisation tant voulue, les théories du complot connaissent un succès grandissant et seront certainement utilisées à des fins politiques dans les prochains mois".
http://nawaat.org/portail/2011/03/23/tunisie-la-tentation-du-complot-2/
   "L’ambiance post-révolutionnaire en Tunisie a engendré dans les premières semaines de la transition démocratique une importante série ravivant la bonne vieille théorie du complot. Se succédaient ainsi les constructions intellectuelles les plus folles et aux fondements les plus étranges, pour expliquer les événements ou pour les diriger en élaborant des mensonges, ou en travestissant les réalités pour faire croire qu’une « vérité cachée » serait à l’œuvre. Complot maçonnique, complot sioniste, influence et interventionnisme de pays étrangers, ingérence néo-colonialiste, complot NessmaTV, complot américain, complot laïque ou islamiste… Que de théories farfelues et de thèses abracadabrantesques étayées à forces de textes et de vidéos truquées sur Facebook ou Twitter. [...]
    Il faut cependant rester vigilant, car en attendant cette démocratisation tant voulue, les théories du complot connaissent un succès grandissant et seront certainement utilisées à des fins politiques dans les prochains mois. Les exemples, dès aujourd’hui, ne manquent pas : Kamel Morjane serait payé par les USA et Israël, les RCDistes seraient tous des tueurs, Ennahda ferait des attentats si elle n’arrivait pas au pouvoir, NessmaTV serait sioniste… Nous avons même aujourd’hui un exemple de théorie du complot ayant fonctionné, celle visant l’appartenance supposée de M. Mohammed Ghannouchi à la Franc-Maçonnerie, qui sans en être la cause principale, a sans doute participé à discréditer le personnage et en accélérer la chute. Prenons garde à ce que ces théories, ridicules en apparence, mais qui peuvent potentiellement influencer les plus crédules des citoyens (et il y en a malheureusement encore beaucoup), ne nous rapprochent pas un peu plus chaque jour du chaos qui, toujours, guette chaque fois que l’incertitude domine."

- Libye, l’autre pays des droits de l’Homme, Gil Mihaely (Causeur)
http://www.causeur.fr/libye-l%E2%80%99autre-pays-des-droits-de-lhomme,9321
   "Au Conseil des droits de l’Homme de l’ONU c’est pas triste ! Ainsi, au moment même où la Libye allait en être suspendue, cette estimable instance était sur le point d’adopter un rapport saluant les succès de Tripoli dans le domaine des droits de l’homme. Dans ce texte édifiant on trouve des perles comme : « L’Algérie note les efforts de la Libye dans la promotion des droits de l’homme » ou « Le Qatar fait l’éloge du cadre légal assurant la protection des droits de l’homme [en Libye]. » Mais la meilleure est sans doute les félicitations que la Syrie et la Corée du Nord ont décernées à la Libye pour ses réussites dans ce domaine…
    C’est probablement pourquoi le candidat favori pour occuper le fauteuil abandonné par Kadhafi dans cette respectable assemblée n’est autre que la Syrie! Maintenant on comprend mieux les récents événements en Syrie : Assad est tout simplement en train de réviser ses travaux pratiques pour son examen d’entrée !"


Monde

- Canada : "Israël a le droit de se défendre" (Le Figaro.fr)
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/03/25/97001-20110325FILWWW00549-canada-israel-a-le-droit-de-se-defendre.php
   "Le gouvernement canadien a estimé aujourd'hui, après les attaques à la roquette lancées depuis la bande de Gaza, qu'Israël "avait le droit de se défendre" contre de tels "attentats terroristes". "Le Canada condamne vivement les attaques à la roquette lancées contre Israël depuis la bande de Gaza. Israël a le droit de se défendre contre de tels attentats terroristes", a déclaré le chef de la diplomatie d'Ottawa Lawrence Cannon dans un communiqué, qualifiant ces actes d'"odieux" et de "criminels".
    "Le terrorisme n’est jamais justifié. Nous exhortons toutes les parties dans la bande de Gaza à mettre fin à ces attaques criminelles", a ajouté le ministre exigeant que les responsables soient "traduits en justice". Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a averti qu'Israël était prêt à réagir avec "grande force" pour faire cesser les tirs de roquettes et d'obus de Gaza, qui se sont interrompus vendredi après dix jours d'escalade."

- Des civils afghans tués par erreur par l'OTAN dans la province de Helmand (AP) - "L'Alliance atlantique a ouvert une enquête sur cette erreur meurtrière", qui a causé la mort de "sept civils, dont trois enfants". Mais quid d'une enquête "internationale indépendante", ou même d'un rapport Goldstone bis ? Etrangement personne en Europe ne s'indigne de ce "déni de justice". Il faut dire que ces civils tués-là n'ont guère droit de parution dans nos JT.
http://fr.news.yahoo.com/3/20110326/twl-afghanistan-otan-civils-fcd69a8.html
   "L'OTAN a annoncé samedi avoir tué et blessé par erreur des civils afghans lors d'un bombardement aérien dans la province de Helmand. Elle n'a pas précisé le nombre des victimes. Un hélicoptère de l'Alliance atlantique a ouvert le feu vendredi sur deux véhicules dans le district de Naw Zad car les services du renseignement lui avaient indiqué qu'un chef taliban et ses associés se trouvaient à bord. Après la frappe aérienne, les troupes de la coalition ont découvert les corps de civils dans les carcasses des véhicules, rapporte l'OTAN, qui n'a pas précisé ni le nombre des morts ni celui des blessés. L'Alliance atlantique a ouvert une enquête sur cette erreur meurtrière."
http://www.lesechos.fr/economie-politique/infos-generales/monde/afp_00331794-afghanistan-7-civils-tues-5-blesses-par-une-frappe-de-l-otan.htm
   "Sept civils, dont trois enfants, ont été tués et cinq blessés vendredi dans la province méridionale du Helmand, dans une frappe de la force internationale de l'Otan (Isaf), a annoncé samedi le gouverneur provincial."


Point de vue

- Caution: Middle East under construction, Aluf Benn (Haaretz) - "The more states there are in the region in the future, the easier it will be for Israel to maneuver among them".
http://www.haaretz.com/weekend/week-s-end/caution-middle-east-under-construction-1.351743
   "The struggles for survival of Libyan Col. Muammar Gadhafi, Syrian President Bashar Assad and their counterparts elsewhere herald the last days of the Sykes-Picot agreement from World War I, which in effect divided the region of the Middle East into separate states. Now it is apparent that maps drawn in the coming years will show new or renewed independent states such as South Sudan; Kurdistan; Palestine; maybe also Cyrenaica in eastern Libya; the Western Sahara, which will no longer be in Moroccan hands; reconstructed Southern Yemen; and Gulf states that will separate from the United Arab Emirates. It's even possible that there will be a split in Saudi Arabia between "the state of the holy sites" in the Hejaz and the petroleum powers in the east, and of Syria into Sunni, Alaouite and Druze states. The basis for these divisions will be implementation of the principle of self-definition of nations and tribes, which until now unwillingly and without any alternative have been wrapped up together in the same national package with their foes.
    The foreign policy of Israel, even before statehood, has always been built upon the rivalries of Arab and Muslim neighbors. Furthermore, pan-Arab and pan-Islamic unity has relied to a great extent on hostility toward Israel, which for its part has preferred the separatism and nationalism of its neighbors. The more states there are in the region in the future, the easier it will be for Israel to maneuver among them.
    The borders in the Middle East were determined between 1916 and 1922 in negotiations involving the European powers, conducted in majestic palaces by officials wearing suits and ties. Those borders are being redrawn in the 21st century by force, by wars and by popular uprisings. This began with America's invasion of Iraq eight years ago, which crushed the central regime and created de facto ethnic enclaves. It continued with the Israeli withdrawal from the Gaza Strip, which led to the establishment of a de facto state controlled by Hamas, and later with the referendum on the partitioning of Sudan at the end of a long and cruel internecine war there. The process has been accelerated with the recent revolutions in the Arab countries, which are still in their early stages and have already led to a war in Libya.
    In his new book "How to Run the World" (Random House), which was published just before the uprisings in Tunisia and Egypt, Parag Khanna, a researcher at the New America Foundation, predicts a world comprising 300 independent, sovereign nations in the next few decades, as compared to about 200 today. At the basis of this fission is what Khanna has called "post-colonial entropy": Many states have developed from former colonies, he observes, and since their independence have "experienced unmanageable population growth, predatory and corrupt dictatorship, crumbling infrastructure and institutions, and ethnic or sectarian polarization." Exactly the same reasons can be used to explain the current vicissitudes in the Arab countries.
    In many cases, writes Khanna, current borders are the cause of internal strife - for example, in failed states like Yemen, Pakistan and the Democratic Republic of Congo. In his view, the wars in Afghanistan and Iraq are not "America's wars," but rather "unexploded ordinance left over from old European wars, with their fuses lit on slow release." [...]
    The West, like Israel, prefers a fragmented and squabbling Middle East and is fighting on several fronts against pan-Arabism and pan-Islamism led by Osama bin Laden (and, in different ways, also by Iranian President Mahmoud Ahmadinejad and Turkish Prime Minister Recep Tayyip Erdogan). Therefore, it is possible to assess that the West will not try to thwart the process of fission in the countries of the region, but rather will contribute to it.
    Israel is directly involved in the struggle over the establishment of an independent Palestine and the shaping of its borders, and would be significantly affected by the disintegration of its neighboring states, chiefly Jordan, Syria and Saudi Arabia. A smart Israeli policy, which correctly identifies the opportunities inherent in the emergence of new states and knows how to take advantage of these opportunities, will be able to leverage the inevitable process to reinforce Israel's power and influence in the region."

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : La Boucle d'Occam
  • : Chaque jour, une Boucle reprend l'actualité de France et du Moyen-Orient autour des thèmes d'Israël et de l'antisémitisme.
  • Contact

Recherche

Pages