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26 décembre 2009 6 26 /12 /décembre /2009 21:21
Judée-Samarie & AP

- Les assassins du rav Haï éliminés à Shekhem, Yael Ancri (Arouts 7) - "Les soldats ont encerclé plusieurs maisons pendant quelques heures".
http://www.actu.co.il/2009/12/les-assassins-du-rav-hai-elimines-a-shekhem/
   "Moins de 48 heures après l’attentat à l’arme automatique qui a causé la mort du Rav Meïr Avshalom Haï près de Shavei Shomron, Tsahal a éliminé samedi matin trois terroristes des Brigades des martyrs d’Al-Aqsa, la branche armée du Fatah, membres de la cellule qui a perpétré l’attentat jeudi soir. Les trois terroristes, éliminés près de la casbah de Shekhem [Naplouse], ont été identifiés comme étant Raghsan Abou Sharah (40 ans), Anan Sabah (36), et Raed a-Sarkaji (40). Abou Sharah, qui avait été emprisonné en Israël en 1990, était le frère d’un des fondateurs des Tanzim, éliminé par Tsahal en 2004. Anan Sabah est l’un des terroristes recherchés des Tanzim qui ont été graciés par Israël, en échange de la promesse de ne plus porter les armes. Quant à Sarkaji, il a fait sept ans de prison en Israël pour le meurtre d’un chauffeur de camion. Il avait également pris part à un certains nombres d’autres attaques terroristes.
    Une force de Tsahal a été envoyée à Shekhem dans la nuit après avoir reçu des renseignements du Shin Beth (les services de sécurité intérieure), selon lesquels les tireurs qui ont tué le Rav Haï se trouvaient dans plusieurs endroits de la ville. Les soldats ont encerclé plusieurs maisons pendant quelques heures. Mais les terroristes ont refusé de sortir de leurs repères. La force a finalement pénétré dans les maisons et tué les terroristes. L’un des membres de la cellule, Anan Sabah, se cachait dans une galerie souterraine, où ont également été découvertes des armes.
    Le général Avi Mizrahi, commandant de la région centre, a déclaré après l’opération : « Tsahal et le Shabbak ont agi fermement contre ceux qui veulent porter atteinte aux citoyens de l’Etat d’Israël et aux forces de sécurité. » Et d’ajouter : « Nous ne cesserons nos efforts que lorsque nous aurons réglé le compte de tous ceux qui sont impliqués dans l’attentat meurtrier de la semaine dernière. »"

- Tsahal : l'opération de Naplouse suivait le protocole de l'armée (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Tsahal-l-operation-de-Naplouse-suivait-le-protocole-de-l-armee_257318.html
   "Un officier des Commandes centrales a soutenu que l'opération menée par Tsahal ce samedi à Naplouse, durant laquelle trois Palestiniens ont été tués, avait été faite en accord avec le protocole de l'armée. "Je rejette les allégations selon lesquelles nous avons exécuté des terroristes", a-t-il soutenu. Et de rajouter "l'opération a été bien organisée, et les soldats n'ont ouvert le feu que lorsqu'ils étaient en danger"."

- Judée Samarie : 10 000 Palestiniens aux funérailles des Palestiniens tués (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Judee-Samarie-10000-Palestiniens-aux-funerailles-des-Palestiniens-tues_257320.html
   "Plus de 10 000 Palestiniens ont assisté ce samedi aux funérailles des hommes du Fatah tués à Naplouse par Tsahal."

- Roudeïnah : Israël ne veut pas la paix (Arouts 7)
http://www.actu.co.il/2009/12/roudeinah-israel-ne-veut-pas-la-paix/
   "Le porte-parole du chef de l’AP Mahmoud Abbas (Abou Mazen) Nabil Abou Roudeïnah a fustigé Israël d’avoir éliminé six terroristes palestiniens dans la bande de Gaza et à Shekhem. Roudeïnah a affirmé que ces éliminations prouvaient qu’Israël ne veut pas la paix. « Israël essaie de faire sauter la situation et torpille les efforts des Etats-Unis et de la communauté internationale de renouveler les pourparlers », a prétendu le Palestinien."

- L’AP veut garder le calme (Arouts 7)
http://www.actu.co.il/2009/12/lap-veut-garder-le-calme/
   "Le responsable palestinien de « l’Intérieur » de l’AP et les chefs des services de sécurité sont arrivés à Shekhem samedi après l’opération de Tsahal dans la casbah. Les services de sécurité ont reçu pour instruction de faire le maximum pour garder le calme. Les terroristes recherchés graciés par Israël ont été priés de s’abstenir de reprendre leurs anciennes activités et de « faire honte » à l’AP."

- Manifestation contre la levée des barrages (Arouts 7)
http://www.actu.co.il/2009/12/manifestation-contre-la-levee-des-barrages/
   "Quelque 120 résidents de la localité de Shavei Shomron manifestent à l’endroit où a été assassiné jeudi le Rav Meïr Haï dans un attentat à l’arme automatique, pour protester contre la levée des barrages. Les résidents ont appelé le gouvernement à laisser les barrages afin de prévenir le prochain attentat : « Si le gouvernement nous abandonne et ne ferme pas le barrage, nous le ferons nous-mêmes. »"

- Les trois assassins du rabbin Khaï neutralisés, mais..., Sami El Soudi (Mena) - "je serais fort surpris si la décision de l’intervention de ce matin n’avait été une nouvelle fois prise en commun" entre Jérusalem et Ramallah.
http://www.menapress.com/
   "Ce samedi matin, à quatre heures sonnantes, lorsqu’ils entendirent les chenilles de dizaines de blindés et les aboiements des chiens, Anaan Subekh, Raëd al-Sarkaji et Ragzan Abu Shara surent probablement qu’on venait les chercher. En effet, les commandos israéliens, qui, à la vitesse de l’éclair, avaient encerclé, puis investi la casbah (vieille ville) de Naplouse, ainsi que le quartier contigu de Ras al-Ayn, étaient là pour les appréhender. Disposant d’agents à l’intérieur de la ville, ainsi que des renseignements qui leur étaient transmis en live par les services de l’Autorité Palestinienne, les commandos savaient où se trouvaient les trois hommes qu’ils recherchaient et qui dormaient très probablement.
    S’est-il agi d’inconscience de la part des trois membres des Brigades des Martyrs d’Al-Aqsa, qui venaient, jeudi dernier, d’assassiner le rabbin Meïr Khaï, près de son domicile, dans l’implantation de Shaveï Shomron ["Ceux qui retournent en Samarie", Ndlr.] ? Où est-ce qu’ils s’imaginaient que Tsahal n’interviendrait pas contre des membres d’une organisation liée au Fatah du Président Abbas ? Il est vrai que l’Armée israélienne n’avait pas mené d’opération contre les Brigades d’Al-Aqsa depuis plus de deux ans. Dans l’accord de coopération totale contre le terrorisme, liant Ramallah et Jérusalem, dont la Ména ne cesse de parler à ses lecteurs, et dont nos consœurs s’emploient à dissimuler l’existence à leur clientèle – la coopération israélo-palestinienne en matière de sécurité n’est pas politiquement correcte -, il est, en principe établi, que Tsahal ne s’attaquerait qu’à des cibles islamiques.
    Mais, dans le cas précis, les Brigades des Martyrs d’Al-Aqsa avaient revendiqué l’assassinat du rabbin auprès de l’agence officielle de l’Autorité Palestinienne Ma’an... De plus, ses auteurs se vantaient de leur acte dans toute la casbah, pensant s’y trouver protégés d’éventuelles représailles israéliennes. Jeudi, il n’avait pourtant fallu que trois heures aux renseignements de l’armée pour identifier les assassins du rabbin à coup sûr. Zéro pourcent de doute.
    Un autre élément qui a pesé sur la décision d’intervenir contre ces Martyrs d’Al-Aqsa – le bras armé du Fatah en Cisjordanie, jadis créé par Yasser Arafat – consista dans le rôle de Subekh, al-Sarkaji et Abu Shara relativement au "projet de pardon" lancé par Israël, avec la bénédiction et, largement, à la demande de l’AP. Ce projet a consisté, pour les ex-terroristes liés au Fatah, à rendre leurs armes et à s’engager par écrit, individuellement, à cesser leurs activités violentes, en contrepartie de l’impunité qui leur fut décernée par l’armée israélienne. L’immense majorité des ex-membres d’Al-Aqsa et des Tanzim ont adhéré au projet. Nombre d’entre eux ont intégré les forces régulières de l’AP, et participent avec leurs anciens ennemis à la traque des membres armés du Hamas.
    Mais Raëd al-Sarkaji et Ragzan Abu Shara faisaient partie de la petite minorité des ex-terroristes d’Arafat qui avaient refusé d’abandonner leurs activités, et qui, partant, figuraient encore sur les listes israéliennes d’individus recherchés. Le cas d’Anaan Subekh était plus grave encore pour l’armée et l’AP, puisque, selon l’adjoint du gouverneur de Naplouse, Anaan Atirah, Subekh avait signé l’accord mais n’avait pas tenu sa parole.
    En plus du reste, à la suite de l’assaut, on trouva en sa possession deux fusils-mitrailleurs américains M-16, ainsi que deux pistolets. Tant pour Ramallah que pour Jérusalem, en sus du crime qu’ils venaient de commettre, leurs exemples d’échecs, parmi tant de reconversions réussies, risquaient de donner de mauvaises idées à d’autres. Ce qui fait que, dans mon esprit, et d’après ma fréquentation longue et rapprochée des décisionnaires en poste, en dépit de dénégations ci et là, je serais fort surpris si la décision de l’intervention de ce matin n’avait été une nouvelle fois prise en commun.
    Une fois la casbah investie, la maison des assassins encerclée, les commandos proposèrent aux trois hommes de se rendre, ce qui aurait valu, au pire, pour celui qui a appuyé sur la gâchette à Shaveï Shomron, une peine de prison à perpétuité. Les trois hommes décidèrent cependant de ne pas sortir en levant les bras et livrèrent une opposition armée dérisoire aux blindées, aux bulldozers, aux grenades et aux commandos. Au bout de quelques minutes de crépitements d’armes automatiques et d’explosions, les trois membres des Brigades d’Al-Aqsa étaient morts, et déclarés tels par le docteur Ghassan Khamed, qui examina leurs dépouilles.
    Au milieu de la matinée, une procession parcourut les rues de Naplouse pour porter en terre les trois terroristes. Une foule moyennement dense scandait "A quoi sert la coordination (PA-Israël) si nous sommes sous les balles de l’armée ?!" Abou Rodeinah, l’idiot du village de la Moukata de Ramallah, ex-porte-parole de Yasser Arafat, a confié à Reuters que l’opération de ce matin "démontrait qu’Israël n’était pas intéressée à la paix et faisait tout pour faire exploser la situation", et qu’"Israël faisait tout afin de torpiller les efforts internationaux et américains pour faire repartir le processus de paix". Quel est le rapport avec l’élimination de trois assassins ayant commis un crime il y a deux jours et qui ont refusé de se rendre ? Abou Rodeinah !
    Les agences antijuives de titrer ce samedi que des soldats israéliens ont abattu "des Palestiniens", sans préciser, dans leur chapeau, qu’il ne s’agissait pas de civils mais de terroristes. Ca n’est pas chaque année qu’il y a un miracle à Noël ! Moi, qui m’oppose sans état d’âme à la violence contre quiconque dont les mains ne sont pas directement recouvertes de sang, y compris contre les habitants des implantations ; qui suis certain que les trois bougres de ce matin n’ont eu que ce qu’ils méritent, je pose toutefois des questions rhétoriques au gouvernement israélien"... (suite payante)

- Un Israélien blessé par des pierres à Kiryat Arba (Arouts 7)
http://www.actu.co.il/2009/12/un-israelien-blesse-par-des-pierres-a-kiryat-arba/
   "Des Palestiniens ont jeté des pierres en direction d’un Israélien près de Ramat Mamré, à Kiryat Arba. L’homme, légèrement blessé, a reçu des soins sur les lieux, puis a été évacué à l’hôpital."
- Jets de cocktails Molotov et de pierres en Judée Samarie (Arouts 7)
http://www.actu.co.il/2009/12/jets-de-cocktails-molotov-et-de-pierres-en-judee-samarie/
   "Des Palestiniens ont jeté des pierres et des cocktails Molotov sur des véhicules israéliens circulant près de Beit Omar, sur la route du Goush Etsion à Kiryat Arba. Plus tôt, des Palestiniens ont jeté un cocktail Molotov sur une voiture près de Bitin en Samarie. On ne déplore fort heureusement ni blessés ni dégâts dans ces deux attaques. En revanche, plus tôt un Israélien a été légèrement blessé par des pierres jetées sur sa voiture près de Halhoul sur la route de Kiryat Arba."

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Gaza & Hamas

- Gaza: trois Palestiniens tués par des tirs israéliens (Palestiniens) (AFP) - Tsahal : "des éléments découverts ensuite sur le terrain ont prouvé qu'ils voulaient perpétrer un attentat terroriste en Israël".
http://lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-41261555@7-37,0.html
   "Trois Palestiniens ont été tués samedi matin dans la bande de Gaza par des tirs de soldats israéliens, a-t-on indiqué de source médicale palestinienne. Les trois hommes ont été tués alors qu'ils tentaient de franchir la barrière de sécurité séparant le nord de la bande de Gaza du territoire de l'Etat hébreu à la hauteur du terminal d'Erez, a-t-on précisé. Un autre Palestinien a été blessé par ces tirs. Les quatre cherchaient à se rendre en Israël pour y travailler illégalement, a-t-on ajouté.
    Interrogée par l'AFP, une porte-parole de l'armée israélienne a indiqué que "des soldats ont repéré les silhouettes de plusieurs hommes qui rampaient en direction de la barrière de sécurité et ont en vain tiré des salves d'avertissement pour leur signifier de s'arrêter". Elle a ajouté qu'"un appareil de l'armée de l'air a alors ouvert le feu contre eux, et des éléments découverts ensuite sur le terrain ont prouvé qu'ils voulaient perpétrer un attentat terroriste en Israël"."

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Egypte

- L'Égypte s'oppose à une marche pour Gaza, Tangi Salaün (Le Figaro) - "l'Égypte voudrait détourner les projecteurs de sa frontière".
http://www.lefigaro.fr/international/2009/12/26/01003-20091226ARTFIG00014-l-egypte-s-oppose-a-une-marche-pour-gaza-.php
   "«On a du mal à comprendre cette interdiction» : le veto du gouvernement égyptien a pris de court les organisateurs de la «marche pour la liberté de Gaza». Quelque 1.300 délégués originaires d'une quarantaine de pays sont attendus ces jours-ci au Caire à l'initiative d'un collectif d'associations, la Coalition internationale pour la levée du siège illégal de Gaza. Leur but affiché : franchir la frontière entre l'Égypte et Gaza le 31 décembre, un après la guerre, pour «rappeler à la communauté internationale sa responsabilité face au maintien du blocus» et apporter «un soutien aux Gazaouis» en coordination avec des ONG locales, comme le Centre palestinien pour les droits de l'homme ou le Croissant rouge.
    «Notre initiative n'est pas tournée contre l'Égypte et ne vise pas davantage à s'immiscer dans la politique intérieure palestinienne. C'est une rencontre entre sociétés civiles et un geste de solidarité», précise Thomas Sommer, du Collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens, l'une des deux délégations françaises, qui rassemble associations, syndicats et partis de gauche. L'autre délégation tricolore, celle d'EuroPalestine, est emmenée par Mgr Jacques Gaillot, l'une des figures médiatiques de la marche, avec l'ancien ministre sud-africain Ronnie Kasrils ou Roger Waters, ex-compositeur du groupe Pink Floyd.
    L'Égypte a justifié son interdiction par la «situation sensible» à Gaza et la fermeture du terminal douanier de Rafah - fermé en quasi permanence depuis trois ans - après les incidents provoqués par l'annonce, au début du mois, de la construction d'un mur souterrain destiné à lutter contre le trafic d'armes. Les ouvriers égyptiens ont essuyé des tirs venant de Gaza, et les travaux ont été provisoirement suspendus. «On peut comprendre la préoccupation du gouvernement égyptien, mais on ne lui demande que le droit de passer à Gaza», souligne Ann Wright, une ancienne militaire et diplomate américaine. «Cela fait des mois qu'on est en contact avec le ministère des Affaires étrangères. Il aurait quand même été mieux pour tout le monde, y compris pour l'image de l'Égypte, que cette décision ne soit pas prise à la dernière minute.»
    La bande de Gaza est un casse-tête pour le pouvoir égyptien, qui doit faire en permanence le grand écart entre des exigences contradictoires : éviter de heurter son opinion publique et les autres pays arabes en asphyxiant les civils palestiniens tout en maintenant sa frontière close pour ne pas endosser la responsabilité de l'approvisionnement de Gaza, ce qui ferait le jeu d'Israël, ni renforcer le Hamas, lointaine émanation de ses principaux opposants politiques, les Frères musulmans.
    Un an après avoir été accusée de complicité avec l'attaque israélienne, l'Égypte voudrait détourner les projecteurs de sa frontière. Outre l'interdiction de la Gaza Freedom March, elle a refusé au convoi d'aide humanitaire Viva Palestina du controversé député britannique George Galloway, actuellement en Jordanie, le droit de transiter par le port de Nuweiba, sur le golfe d'Aqaba, pour l'obliger à faire un long et coûteux tour du Sinaï en bateau, via le canal de Suez.
    Menacés de poursuite en cas «de violation de la loi ou de l'ordre public», les organisateurs de la marche espèrent de leur côté trouver une solution de compromis. «Cela reste un moment historique», insiste Ann Wright, selon laquelle 98% des délégués ont confirmé leur venue au Caire. «On négocie avec le gouvernement pour qu'il laisse passer quelques personnes à Gaza ou au moins le matériel (médicaments, jouets, matériel scolaire...) qu'on a collecté», ajoute Thomas Sommer. Dans le cas contraire, dit-il, «les habitants de Gaza resteront une fois encore seuls dans leur prison»."

- Egypte : plan de construction d'une centrale nucléaire (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Egypte-plan-de-construction-d-une-centrale-nucleaire_257316.html
   "Le ministre égyptien de l'Electricité et de l'Energie Hassan Yunis a indiqué ce samedi que Le Caire prévoyait de construire une première centrale nucléaire prochainement."

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Liban & Hezbollah

- Explosion dans un bastion du Hezbollah près de Beyrouth (AP)
http://fr.news.yahoo.com/3/20091226/twl-liban-explosion-2844f0d.html
   "Une explosion a retenti samedi dans un bastion du Hezbollah au sud de Beyrouth, ont annoncé des responsables libanais de la sécurité. On ignorait dans l'immédiat l'origine de cette déflagration. Le Hezbollah a bouclé le site de l'explosion situé dans la banlieue sud d'Haret Hreik. Selon un responsable de la police, l'explosion s'est produite dans un quartier où se trouve un bâtiment appartenant au Hamas. On ne faisait pas état de victimes pour l'instant."

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Europe

- La délégitimisation d'Israël passe par Londres, Bruxelles et Madrid (Philosémitisme)
http://philosemitismeblog.blogspot.com/2009/12/la-delegitimistion-disrael-passe-par.html
   "Londres, Bruxelles et Madrid seraient devenus des "pôles de délégitimisation d'Israël", selon le rapport de l'Institut Reut de Tel Aviv qui sera présenté la semaine prochaine à Ashley Perry, conseiller du Vice Ministre des affaires étrangères Danny Ayalon. Toronto et Berkeley sont également pointés dans le rapport. [Israel’s new battlefields: Hubs of delegitimization, par Amir Mizroch, The Jerusalem Post]
    Le rapport indique que les ennemis traditionnels d'Israël sont de plus en plus souvent rejoints dans leur bataille par des groupes antisionistes dotés de vastes réseaux, des associations de droits de l'homme hostiles et des islamistes radicaux locaux qui utilisent des armes dans les domaines culturel, académique, juridique et financier contre ce qu'ils considèrent comme un Etat paria illégitime qui a sa capitale dans Jérusalem occupée. Ils oeuvrent à la diabolisation d'Israël et veulent faire passer Israël pour une Afrique du Sud d'apartheid du 21ème siècle. Ces groupes sont concentrés dans plusieurs grandes villes, que Reut appelle "les pôles de délégitimisation".
    Cette campagne est ancienne et bien connue. L'intellectuel américain Paul Berman, auteur de Les Habits neufs de la terreur a déclaré : "Les comparaisons d'Israël à l'apartheid - ou les comparaisons plus radicales et de nos jours plus fréquentes aux nazis - ont fait irruption en Europe de l'Ouest et dans le monde arabe dans les années 1970, et maintenant on les trouve partout". [...]"

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Point de vue

- Playing with fire, Chuck Freilich (former deputy national security adviser in Israel and now senior fellow at the Harvard Kennedy School) - "the Palestinian narrative of the origins of the conflict and the means of resolving it is capturing American public opinion. If only Israel would end settlements and the occupation and agree to a Palestinian state, Americans increasingly believe, all would be right".
http://www.bitterlemons.org/issue/isr2.php
   "The triangular American-Israeli-Palestinian relationship is fundamentally asymmetrical. Israel is a close ally and enjoys a "special relationship" with the US based on shared values, a strong domestic constituency and an historic American commitment to her security and well-being. Over the decades, Israel has enjoyed broad bipartisan support; small fluctuations notwithstanding, some 60 percent of Americans have consistently been pro-Israel, while only some five percent favor the Palestinians (the remainder have no opinion).
    Nevertheless, we are at a turning point in US-Israel relations. The cool wind blowing from Washington since President Barack Obama entered office is not an aberration, a fleeting period of an unfriendly president, but a possible sign of things to come. While overall support for Israel remains robust, Israel has largely lost the support of liberal America and more and more people simply no longer understand or sympathize with her. A "Europeanization" of American opinion is taking place wherein Israel is increasingly viewed as the aggressor and obstacle to peace. For this reason alone, the "special relationship" is under significant strain.
    It is further undermined by long-term trends in American society. Although the alienation of the liberal community and assimilation among Jews have been underway for decades, these processes have peaked. Israel-bashing is now the cause celebre among the young and liberal and is making inroads among conservatives as well. One can dirty the waters of a well for just so long and we are at that point now. Future administrations may be friendlier than the current one and Obama himself is not anti-Israel, but we can no longer count on this: the US-Israel relationship appears to have peaked.
    Some have concluded that PM Binyamin Netanyahu "got the better" of Obama in recent months, circumventing his demands for concessions and in effect "teaching him a lesson". In the short term he did, indeed, deflect Obama's demands and the administration appears to have gained a more realistic understanding of what can be achieved, based on its experience both with Netanyahu and the Palestinians.
    Nothing, however, would be more dangerous than the belief that Netanyahu "won". American presidents do not like to be "taught lessons", certainly not by almost totally dependent client states. Sooner or later, Obama will show who is truly in charge. Although Netanyahu is said to think "American"--he certainly has the accent--his actions threaten to undermine relations with the United States, one of the fundamental pillars of Israel's national security. His grudging concessions to the US (recognition of the two-state solution and temporary settlement freeze) have prevented a crisis so far, but a showdown is likely. At that time, Israel's dependence on the US will manifest itself, especially in light of the Iranian issue.
    For the Palestinians, the US is the great "balancer" in the fundamental asymmetry between them and Israel. They are fully cognizant of the nature of the US-Israel relationship. Yet the American role in the peace process and support for at least some Palestinian positions greatly offset Israel's otherwise overwhelming strength. The Palestinians may be closer in outlook to Europe and enjoy widespread international support, but only the US can "deliver Israel" and provide what they seek, an independent state.
    Most Americans do not have an instinctive sense of identification with the Palestinians and are repelled by their terrorism, radicalism, corruption and dysfunctionality. Nevertheless, the Palestinian narrative of the origins of the conflict and the means of resolving it is capturing American public opinion. If only Israel would end settlements and the occupation and agree to a Palestinian state, Americans increasingly believe, all would be right.
    The Palestinians, however, also risk the dangers of complacency in their relations with the US. The Obama administration will presumably continue its efforts to promote the peace process for the foreseeable future, but ongoing Palestinian intransigence and dysfunctionality may lead the administration to a Bush-style conclusion that the traction simply is not there for significant American involvement. Indeed, US involvement has already lost steam--witness the demise of the Mitchell mission. The ongoing separation between the West Bank and Hamas-ruled Gaza coupled with Palestinian Authority President Mahmoud Abbas' combination of rejectionism (Olmert's generous offer) and tenuous leadership are taking their toll as well.
    Both Israel and the Palestinians constantly vie for US support and are willing at times to make concessions to it that they are unwilling to make to each other. Under presidents Clinton and Bush, US-Israeli coordination on the peace process was great and carefully nurtured by both sides. Under the Obama administration, neither Israel nor the Palestinians appear well coordinated with Washington. In risking American ire, both Netanyahu and the Palestinians are "playing with fire"."
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