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3 juillet 2011 7 03 /07 /juillet /2011 22:07

Flottille

- Flottille pour Gaza : le capitaine américain détenu de manière "choquante", selon des militants (AFP) - Voir aussi ce court reportage BFM sur le blocage du navire américain.
http://www.lesechos.fr/economie-politique/infos-generales/monde/afp_00357910-flottille-pour-gaza-le-capitaine-americain-detenu-de-maniere-choquante-selon-des-militants-189083.php
   "Le capitaine américain d'un bateau de la flottille pour Gaza, arrêté vendredi après avoir appareillé malgré une interdiction de la Grèce, est détenu dans des "conditions choquantes", ont indiqué dimanche des participants à la flottille. Le capitaine John Klusmer a été interpellé quand le "Audacity of Hope", vaisseau amiral de la flottille pro-palestinienne, a tenté de quitter les eaux territoriales grecques vendredi malgré l'interdiction d'Athènes faite aux navires à destination de Gaza de lever l'ancre. M. Klusmer est convoqué devant le juge mardi à Athènes.
    Un avocat new-yorkais Richard Levy, qui participe à la flottille et a rendu visite à M. Klusmer dans une prison près d'Athènes, a affirmé qu'"il n'avait pas de lit ni de toilettes dans sa cellule, et qu'il ne recevait ni nourriture ni eau". Selon l'organisation US Boat to Gaza, il n'avait pas encore reçu dimanche une assistance consulaire. "Nous avons proposé de payer sa caution", a dit un autre passager Robert Naiman, de l'organisation américaine Just Foreign Policy. "Mais nous n'avons reçu aucune information indiquant qu'il serait libéré avant mardi", a-t-il dit. [...]"
- Flottille : les passagers de l’«Audacity of Hope» entament une grève de la faim (Guysen)
   "Les passagers américains de l’«Audacity of Hope», l’un des navires censé rejoindre la flottille internationale, intercepté vendredi par la Grèce avant son départ vers la bande de Gaza ont entamé dimanche une grève de la faim. Une action engagée devant l'ambassade américaine à Athènes. Dans un communiqué de presse, les activistes ont annoncé leur intention de passer la nuit devant l'ambassade."

- La flottille pour Gaza espère quitter la Grèce lundi, James Mackenzie (Reuters)
http://fr.news.yahoo.com/la-flottille-pour-gaza-esp%C3%A8re-quitter-la-gr%C3%A8ce-203847657.html
   "Les organisateurs du convoi maritime à destination de la bande de Gaza espèrent que leur flottille quittera la Grèce en début de semaine prochaine, ont-ils déclaré samedi. [...] "Lundi sera une journée d'action au cours de laquelle nous avons l'intention de continuer à naviguer", a dit Adam Shapiro, l'un des organisateurs de cette initiative censée briser le blocus israélien de la bande de Gaza, territoire palestinien administré par les islamistes du Hamas.
    Un bateau transportant essentiellement des Américains a tenté samedi d'appareiller d'un port proche du Pirée. Il a été repoussé par des garde-côtes grecs, qui ont déclaré que le capitaine, John Klusmire, 69 ans, comparaîtrait mardi devant un tribunal. La Grèce a prévenu vendredi, sans préciser ses motivations, que les bateaux à destination de Gaza ne seraient pas autorisés à quitter ses ports. [...]"

- Flottille : "Les activistes blâment les autres pour leur échec", Yaakov Katz, Herb Keinon & Tovah Lazaroff (JP)
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1302257369350&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
   "Les activistes de la flottille tentent de faire porter le chapeau de leur échec à quelqu'un d'autre, a déclaré le ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman à la radio de l'armée dimanche matin. Il a commenté les affirmations des organisateurs de la flottille selon lesquelles Israël aurait délibérément tenté de saboter les bateaux. Selon lui, les activistes "tentent d'éviter d'endosser la responsabilité de l'échec de leur propagande et leur incapacité à obtenir le soutien du monde et des médias internationaux".
    Même si la Grèce a publié une interdiction à tous les bateaux de partir pour Gaza, et malgré les problèmes techniques rencontrés par les bateaux, certains activistes sont toujours déterminés à s'y rendre. Adam Shapiro, cofondateur américain du Mouvement de Solidarité International et l'un des organisateurs de la flottille, a indiqué au Jerusalem Post samedi soir que le groupe avait toujours l'intention de partir dans les prochains jours. Il a déclaré que le bateau Juliano, qui aurait été saboté la semaine dernière, devrait être réparé dimanche matin, de même que le bateau irlandais, qui aurait été saboté en Turquie. Cependant, le Hurriyet Daily News et Economic Review ont cité les autorités turques indiquant que le navire irlandais était endommagé avant d'entrer dans les eaux turques.
    Vendredi, le bateau américain a tenté de quitter la Grèce mais a été stoppé immédiatement par un navire des garde-côtes grecs avec des commandos masqués et armés qui lui ont ordonné de retourner au port. Les garde-côtes agissaient en vertu d'un ordre du ministère grec de la Protection civile, qui a publié vendredi un communiqué indiquant que le ministre, C. Papoutsis, avait décidé d'empêcher le départ des bateaux battant pavillon grec ou étranger "vers la zone maritime" de Gaza. Alors que Chypre avait déjà interdit le départ des bateaux en direction de Gaza depuis ses ports, les Grecs n'ont pas pris cette mesure avant vendredi. Le Premier ministre Binyamin Netanyahou a téléphoné à son homologue grec pour le remercier d'avoir empêché les bateaux de partir pour Gaza, a rapporté la Chaîne 1.
    Le Quartet pour le Moyen-Orient a exhorté tous les gouvernements à faire leur possible pour décourager les navires de la protestation de partir à Gaza. "Le Quartet exhorte tous ceux qui souhaite délivrer des biens au peuple de Gaza à le faire par les voies établies, afin que les cargaisons soient inspectées et transférées via la voie terrestre", selon le communiqué."

- Greece offers to transport flotilla’s aid to Gaza, Barak Ravid (Haaretz) - “The initiative is likely to give everyone a way out, including the flotilla organizers, and allow everyone to feel as though they got part of what they wanted.”
http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/greece-offers-to-transport-flotilla-s-aid-to-gaza-1.371136
   "The Greek government approached Israel and the flotilla organizers Sunday, with an offer to send the flotilla’s humanitarian aid to Gaza with Greek diplomats, under UN supervision. The offer is intended to serve as a compromise in order to end the flotilla affair. The flotilla organizers have not yet responded to the offer. Senior officials in Israel’s Foreign Ministry evaluate that Israel will respond to the request and allow the Greek government to deliver the aid.
    According to the Greek initiative, the humanitarian aid aboard flotilla ships will be loaded onto watercraft of the Greek government and transferred to Gaza via the organized channels, as was requested by UN Secretary-General Ban Ki-moon two weeks ago. This means the aid would go through either the Ashdod port or Arish, and from there be taken to the Gaza Strip under the supervision of Greek and UN authorities. The Greek government has already approached the United Nations and Israel to assess the possibility of transferring the humanitarian aid via Israel or Egypt to the Gaza Strip using Greek governmental ships, under UN supervision. “The initiative is likely to give everyone a way out, including the flotilla organizers, and allow everyone to feel as though they got part of what they wanted,” said a source from the Foreign Ministry in Jerusalem.
    The Greek Foreign Ministry issued a statement on Sunday afternoon that “certain groups of Greek and foreign citizens, without having received the necessary permission required according to the rules of safety, insisted to go through with the enterprise.” These people, the Greek Foreign Ministry said, were attempting to break the Gaza blockade, despite the UN Secretary-General’s request, European Union’s recommendations reflected in the conclusions of the European Council, the Quartet’s relevant appeal on Saturday and the Greek Foreign Ministry’s urging not to participate in the flotilla.
    “In light of these developments and concerned primarily with the protection and safety of human life, the Greek Government decided to ban the departure from Greek ports of vessels with Greek or foreign flags bound for Gaza”, said the Greek Foreign Ministry, adding that “Greece’s stance regarding the need to lift the Gaza blockade and to improve the humanitarian conditions in the area is known and remains unchanged.” “In this critical conjuncture, we should all demonstrate a sense of responsibility or assume entirely and exclusively the responsibility for our actions. The Government will act as it must in an orderly fashion and according to the laws of the State,” concluded the statement."


Israël

- Israël inquiet de l'arrivée par avion de manifestants pro-palestiniens (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Israel-inquiet-de-l-arrivee-par-avion-de-manifestants-pro-palestiniens_318688.html
   "Des responsables israéliens s'inquiètent de l'arrivée nombreuse de manifestants pro-palestiniens la semaine prochaine à l'aéroport international Ben Gourion de Tel-Aviv, a rapporté samedi la radio militaire Galei Tsahal. "Il y a à craindre que des manifestants mettent la pagaille à l'aéroport en débarquant", a confirmé un haut responsable qui a requis l'anonymat. Selon la radio, il a été décidé en conséquence de renforcer les forces de police à l'aéroport afin d'étouffer toute velléité de manifestation. Une association pro-palestinienne française a annoncé sur son site www.bienvenuepalestine.com une "mission internationale" du 8 au 16 juillet en "réponse à l’appel à la solidarité lancé par quinze associations de la société civile palestinienne de Cisjordanie et Jérusalem-Est"."

- Les prisonniers du Hamas en "grève de la faim", Yaakov Lappin (JP)
http://fr.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1302257369812&pagename=JFrench%2FJPArticle%2FShowFull
   "Les prisonniers du Hamas rejettent les plats des Services pénitentiaires israéliens (IPS) pour protester, mais ils mangent la nourriture qu'ils ont eux-mêmes achetée avec leur argent, selon les déclarations d'une porte-parole d'IPS au Jerusalem Post dimanche. Les prisonniers avaient annoncé à l'avance qu'ils repousseraient trois plats d'IPS dimanche, pour protester contre les mesures pour leur retirer les privilèges dont ils bénéficient, comme une connexion internet à haut débit et un programme universitaire intensif. Ce retrait des privilèges a été annoncé la semaine dernière par le Premier ministre Binyamin Netanyahou après le refus du Hamas d'autoriser la Croix Rouge à rendre visite au soldat Guilad Schalit, en captivité à Gaza depuis 5 ans.
    IPS a indiqué que le rejet des plats de la prison était monnaie courante, précisant "il ne s'agit pas d'une grève de la faim". Les prisonniers réunissent régulièrement de l'argent et commandent à manger de l'extérieur, stocké dans une cantine. Le journal Maariv a par ailleurs rapporté que les prisonniers du Hamas ont menacé les gardiens de prison si les recherches de sécurité sur eux étaient augmentées. La semaine dernière, plusieurs "grèves de la faim" ont été rapportées par les médias, mais ont été qualifiées de fausses par l'IPS. Le ministre de la Sécurité publique Yitzhak Aharonovitch a déclaré qu'il n'était pas préoccupé par la menace d'une grève de la faim, selon Kol Israël. "Ils peuvent se mettre en grève autant qu'ils le souhaitent", a-t-il indiqué d'après la radio."


Gaza & Hamas

- Une roquette tirée depuis Gaza en Israël (AFP)
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/07/03/97001-20110703FILWWW00023-une-roquette-tiree-depuis-gaza-en-israel.php
   "Une roquette tirée à partir de la bande de Gaza s'est abattue à l'aube sur le sud d'Israël sans faire de victime, a indiqué l'armée israélienne. "Une roquette tirée depuis la bande de Gaza est tombée sur un terrain découvert du district d'Eshkol", a déclaré une porte-parole, ne faisant état ni de blessé ni de dommage. Le district d'Eshkol avait déjà été visé la dernière fois 16 juin par un engin similaire tiré depuis Gaza, qui n'avait pas non plus fait de victime. [...] Depuis la mi-avril les tirs de roquettes sont considérablement raréfiés, le mouvement islamiste Hamas qui contrôle la bande de Gaza faisant observer une trêve et Israël s'abstenant de mener des raids de représailles."
- Trois Roquettes Qassam Tirées depuis Gaza sur Israël (Tsahal)
http://blogtsahal.wordpress.com/2011/07/03/trois-roquettes-qassam-tirees-depuis-gaza-sur-israel/
   "Une roquette Qassam tirée depuis la bande de Gaza a atterri sur le Conseil Régional d’Eshkol dimanche matin (3 juillet), sans faire de blessés ni de dégâts. La veille, deux projectiles également tirés depuis la bande de Gaza avaient frappé le Conseil Régional d’Ashkélon. Il y a deux semaines, des avions de l’Armée de l’Air ont pris pour cible un tunnel de contrebande situé dans la bande de Gaza. La frappe aérienne constituait une riposte au tir de deux roquettes Qassam sur le Conseil Régional d’Eshkol le 21 juin.
    Selon un rapport publié par le Shabak (le service de sécurité intérieure d’Israël) le mois dernier, une roquette a été tirée contre Israël en mai. En avril, 87 roquettes et 57 obus de mortier ont été envoyés depuis la bande de Gaza sur Israël. L’Armée Israélienne tient le Hamas pour responsable de toute activité terroriste qui émane de la bande de Gaza. Tsahal continuera à se défendre contre les tentatives du Hamas de nuire à sa sécurité."

- Compte-rendu : Pourquoi des Roquettes ? (Tsahal) - "La préférence est donnée à la quantité plutôt qu’à la qualité".
http://blogtsahal.wordpress.com/2011/07/03/compte-rendu-pourquoi-des-roquettes/
   "Rapport exclusif : L’Unité du Porte-Parole de Tsahal a récemment publié un rapport portant sur les changements sur le champ de bataille, notamment sur la menace des projectiles tirés sur le territoire israélien. Selon le rapport, les organisations terroristes telles que le Jihad Islamique, le Hamas et le Hezbollah utilisent les missiles sol-sol à des fins multiples, comme la création d’une menace importante sur les civils israéliens ou le fait de restreindre la capacité de Tsahal à riposter. Un missile sol-sol est un missile tiré à partir d’un dispositif terrestre afin d’attaquer un objectif également terrestre.
    Le rapport explique qu’en lançant des roquettes et des missiles, les organisations terroristes cherchent à cibler des civils. La préférence est donnée à la quantité plutôt qu’à la qualité. En effet, en raison du grand nombre de roquettes acquises et lancées, l’accent n’est pas mis sur la précision.
    L’utilisation de dispositifs de lancement est répandue sur des surfaces étendues, ce qui rend leur présence plus difficile à détecter. Les dispositifs de lancement sont souvent dissimulés, cachés parmi les environnements civils, dans la végétation, dans des petits bunkers en terrain découvert ou dans les maisons de certains agents. Dans le cas des dispositifs de lancement mobiles (qui se déplacent de maison d’agent en maison d’agent), la fenêtre de tir de riposte de l’Armée Israélienne peut n’être que de quelques secondes. Plusieurs dispositifs de lancement sont utilisés simultanément, rendant ainsi la probabilité que chaque dispositif soit détruit quasiment négligeable.
    Le but des missiles et des roquettes est de transporter une ogive explosive du site de lancement vers une cible à distance. Les roquettes sont composées d’une ogive explosive, d’un corps contenant du carburant et d’une queue abritant un moteur. Les Qassam et les Katyusha sont deux types de roquettes. Les roquettes Qassam sont des roquettes improvisées dont la précision est inférieure en moyenne. Les roquettes ont une portée de plusieurs kilomètres. Les missiles, d’autre part, sont équipés de systèmes de guidage internes, présentent une précision supérieure et peuvent avoir une portée de plusieurs milliers de kilomètres. Un missile peut aussi transporter une ogive plus lourde et ainsi être plus destructeur qu’une roquette."

- Le Hamas accuse le Fatah de bloquer la réconciliation interpalestinienne (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Le-Hamas-accuse-le-Fatah-de-bloquer-la-reconciliation-interpalestinienne_318801.html
   "Le mouvement terroriste du Hamas a accusé dimanche son rival le Fatah de "retarder" la réconciliation interpalestinienne. "Nos frères du Fatah assument (la responsabilité) du retard pris dans le processus de réconciliation nationale entre le Fatah et le Hamas", a déclaré Ezzat al-Racheq, membre du bureau politique du Hamas basé à Damas. "Nous attendons qu'ils reviennent à la table des négociations pour mettre en oeuvre ce qui est prévu par l'accord de réconciliation nationale et pour avancer rapidement sur tous les dossiers, notamment le choix du Premier ministre", a-t-il ajouté. "Le Hamas ne veut pas imposer un candidat au Fatah, et le Fatah ne peut pas nous imposer un candidat, c'est notre droit", a-t-il précisé."

- Un autre convoi international en route pour la Bande de Gaza ? (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Un-autre-convoi-international-en-route-pour-la-Bande-de-Gaza-_318677.html
   "Un nouveau convoi, dirigé par Walid Al-Saadi, secrétaire-général d'une organisation qui soutient le Hamas, devrait partir depuis l'Afrique du Sud en direction de la Bande de Gaza. Le convoi traversera le continent africain en voiture et entrera dans la Bande de Gaza par le terminal de Rafah."


Judée-Samarie

- Des Palestiniens ont cassé la jambe d'un Israélien à Guéon Yarden (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Des-Palestiniens-ont-casse-la-jambe-d-un-Israelien-a-Gueon-Yarden_318692.html
   "Un habitant de la localité juive de Guéon Yarden, près de Kohav Hashahar, dans la région de Binyamin, s'est cassé la jambe, après avoir été agressé à coups de pierres par des Palestiniens samedi matin. Il a été transféré à l’hôpital Hadassa du mont Scopus. Un deuxième jeune Israélien a été légèrement blessé."
- Hébron : des Palestiniens jettent des pierres près du Caveau des Patriarches (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Hebron-des-Palestiniens-jettent-des-pierres-pres-du-Caveau-des-Patriarches_318765.html
   "A Hébron, des Palestiniens jettent des pierres près du Caveau des Patriarches contre des véhicules israéliens. Il y a des dégâts matériels et des enfants sont en état de choc."
- Judée-Samarie : des résidents juifs blessés dans des affrontements avec des Palestiniens (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Judee-Samarie-des-residents-juifs-blesses-dans-des-affrontements-avec-des-Palest_318797.html
   "Un résident d’une localité juive de Judée-Samarie a subi des blessures mineures après avoir été la cible de jets de pierre lancées par des Palestiniens lors d'un affrontement près du village d’Asira al-Qibliya, au sud de Naplouse. Les forces de sécurité ont été dépêchées sur les lieux et ont dispersé les émeutiers."

- Hébron : des heurts entre policiers palestiniens et islamistes font une trentaine de blessés (Guysen)
http://www.guysen.com/news_Hebron-des-heurts-entre-policiers-palestiniens-et-islamistes-font-une-trentaine-_318719.html
   "Une trentaine de Palestiniens ont été blessés samedi lors de heurts entre la police palestinienne et des manifestants islamistes dans la ville de Hébron, selon des sources médicales. Les incidents se sont produits en soirée quand la police palestinienne a dispersé plus de deux mille manifestants rassemblés à l'appel d'un parti islamiste radical dans le secteur sous contrôle de l'Autorité palestinienne. Les manifestants ont jeté des pierres sur les policiers qui ont riposté par des tirs en l'air et des grenades lacrymogènes. Vingt des blessés sont des manifestants et les dix autres des policiers."

- A Jénine, théâtre et cinéma n'ont pas survécu à la violence, Florence Massena (Rue89) - "la population locale, assez conservatrice, pourrait s'intéresser à ces projets s'il n'y avait pas une telle pression des groupes violents locaux".
http://www.rue89.com/2011/07/03/a-jenine-theatre-et-cinema-nont-pas-survecu-a-la-violence-211785
   "Jénine est une ville plusieurs fois meurtrie. L'assassinat le 4 avril de Juliano Mer-Khamis, acteur israélo-palestinien bien connu, devant le Théâtre de la liberté a précipité la fermeture des deux principaux établissements de Jénine, et plongé la ville dans la confusion. [...] l'assassinat de Juliano Mer-Khamis devant les portes du Théâtre de la liberté a précipité la fermeture des deux principaux établissements de la ville. Malgré la volonté des volontaires sur place de maintenir les lieux ouverts, les événements se sont enchaînés, poussant les Allemands à partir. Tine se rappelle : « Trois jours après, pendant la prière du vendredi dans la mosquée, des lettres de menaces contre les étrangers et les institutions culturelles ont été diffusées, on ne sait pas par qui. »
    Au bout de quelques semaines, l'ambassade allemande a demandé à ses ressortissants résidant à Jénine de partir pour leur sécurité, forçant ainsi le cinéma et le théâtre à fermer par manque de moyens et de volontaires.
Tine est restée un mois alors que les autres bénévoles partaient un par un : « Nous avions des officiers de police avec nous toute la journée, ils dormaient dans la même pièce, nous n'avions pas le droit de bouger sans autorisation… On ne peut pas travailler comme ça, sans liberté. » A son retour en juin, Tine a d'ailleurs été immédiatement interpelée par la police de l'Autorité palestinienne, qui lui a conseillé de ne pas rester durant la nuit à Jénine. Peur qu'elle se trouve en danger, ou réelle volonté d'éloigner les étrangers de la ville ?
    Aujourd'hui encore, personne ne sait qui est derrière le meurtre du directeur du Théâtre de la liberté, ni qui a écrit les messages de menaces à l'encontre des étrangers. Fin avril, des gens ont tiré dans le camp, mais encore une fois le mystère reste complet. Rami, bénévole du théâtre, soutient que les activités continuent, mais à un niveau réduit : « Maintenant, ces lieux sont entre les mains des Palestiniens, ce qui rend la situation compliquée car personne ne s'entend sur la façon de diriger. » [...]
    Selon Rami, la population locale, assez conservatrice, pourrait s'intéresser à ces projets s'il n'y avait pas une telle pression des groupes violents locaux. Le cinéma Jénine essaye de se tourner vers l'avenir avec un projet de festival du cinéma palestinien soutenu par l'Institut franco-allemand de Ramallah."

- L'Autorité palestinienne lance un appel aux bailleurs de fonds (Reuters) - "Le chef du gouvernement palestinien a fait état d'une baisse des contributions émanant des Etats de la région - en clair, des nations arabes".
http://fr.news.yahoo.com/lautorit%C3%A9-palestinienne-lance-un-appel-aux-bailleurs-fonds-171424416.html
   "L'Autorité palestinienne est dans l'incapacité de payer les traitements de juillet de la moitié de ses fonctionnaires en raison d'une baisse de l'aide étrangère indispensable à sa survie financière. Le Premier ministre, Salam Fayyad, qui a annoncé la nouvelle dimanche, a lancé un appel aux bailleurs de fonds pour les inviter à honorer leurs promesses financières. L'Autorité compte sur une aide budgétaire extérieure pour payer les salaires de 150.00 fonctionnaires en Cisjordanie et dans la bande de Gaza et verser des allocations mensuelles à 75.000 autres bénéficiaires.
    Le chef du gouvernement palestinien a fait état d'une baisse des contributions émanant des Etats de la région - en clair, des nations arabes - sans citer de noms précis. "Nous avons l'intention de payer la moitié (des salaires) (...) dans l'espoir de pouvoir verser le solde lorsque les ressources promises nous le permettront", a-t-il expliqué lors d'une conférence de presse à Ramallah. [...]"

- Construction : Appels d’offres en Judée-Samarie, Shraga Blum (Arouts 7)
http://www.israel7.com/2011/07/construction-appels-d%E2%80%99offres-en-judee-samarie/
   "Pour la première fois depuis la fin officielle du gel de la construction, en octobre 2010, des appels d’offres pour 400 logements vont être autorisés en Judée-Samarie, plus précisément à Beitar Illit, Efrat et Karné Shomron. Il s’agit de la mise en application d’un engagement pris par le Premier ministre et le gouvernement après le massacre de la famille Fogel z.l. d’Itamar, il y a quatre mois. Le ministère de la Construction et du Logement va mettre au concours la construction de 300 logements à Beitar Illit, 46 à Karné Shomron et un peu plus de 40 à Efrat.
    A l’annonce de cette nouvelle, les dirigeants du lobby parlementaire pour Eretz Israël, Zeev Elkin (Likoud) et Prof. Aryeh Eldad (Ihoud Leoumi) ont félicité le gouvernement « pour la fin réelle du gel », car depuis sa fin officielle, il y a 9 mois, rien de concret ne s’est passé sur le terrain. Les deux députés ont espéré « qu’il ne s’agit-là que d’une premier pas vers un renouveau de la construction en Judée-Samarie afin de fixer des frontières qui seront défendables pour Israël » et « que les lourdes pressions prévisibles ne fassent pas dévier pas le gouvernement de sa décision »."


"Processus de paix"

- Israeli, Palestinians security forces take precautions to avoid September violence (AP) - "While the Israeli military does not believe the Palestinian leadership in the West Bank is looking for a battle, the rise in Facebook-organized groups is adding some uncertainty to the equation".
http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/israeli-palestinians-security-forces-take-precautions-to-avoid-september-violence-1.371162
   "Israeli and Palestinian security forces are already taking precautions to avoid an outbreak of violence after an expected UN vote for Palestinian independence in September, officials on both sides said Sunday, reflecting shared concerns about the possibility of renewed fighting this fall. For now, Israeli and Palestinian officials said they do not want - or expect - armed hostilities to resume. But both sides fear that one small incident could quickly spin out of control. [...]
    A top Palestinian security official, speaking on condition of anonymity, said Abbas recently issued a straightforward order to his commanders: "I don't want any violent actions in September," the official quoted Abbas as saying. He spoke on condition of anonymity because he was discussing a sensitive internal meeting. Israeli and Palestinian officials both say the region is headed into uncharted waters if the Palestinians follow through on their pledge to turn to the United Nations. Each side is trying to prepare for all scenarios. Mostly it is in closed forums whose deliberations are so tightly guarded as to suggest a fear that the mere mention of a new Palestinian uprising might somehow contribute to tensions. However, some preparations are more public. [...]
    Israeli military officials believe the Palestinians have no desire to stage another uprising; more than 5,000 Palestinians and more than 1,000 Israelis were killed in the previous one. It is a view shared by many observers of the Palestinian scene, who note that in recent years the fighting has largely subsided, and the West Bank has enjoyed an economic boom. Still, the last Palestinian uprising broke out during another period of relative prosperity, in late 2000 - and it initially enjoyed wide support among a public that felt disappointed by the results of peace efforts. Some Israelis fear that this fall, the UN vote could similarly fuel unrealistic expectations among the Palestinian public. Officials fear a single incident with Palestinian fatalities could spark a wider outbreak of violence. They spoke on condition of anonymity because they were discussing a sensitive security assessment.
    While the Israeli military does not believe the Palestinian leadership in the West Bank is looking for a battle, the rise in Facebook-organized groups is adding some uncertainty to the equation. Palestinian activists in Syria, for instance, recently organized demonstrations along the frontier with Israel that resulted in more the deaths of more than 20 protesters. Facebook use is widespread in the Palestinian territories, especially among the younger generation. The Israeli military officials said they will limit the use of lethal force as much as possible and will try to prevent violent confrontations by using intelligence capabilities.
    Different protest ideas have been floated, including mass marches on Jewish settlements, though some of that has come from analysts and commentators, not from Palestinian activists. The Israeli military officials say such marches would require extensive planning and could be thwarted ahead of time, if deemed a threat.
    A Palestinian security official said orders would be for marches to be peaceful, and that tactics like stone-throwing would not be tolerated. He also said rallies would be confined to Palestinian population centers and not be permitted to get too close to Israeli settlements. The official concurred that unofficial groups could stir up violence, particularly if they try to enter areas off limits to Palestinians, like the main checkpoint linking the West Bank to Jerusalem. He said such scenarios would be "out of our control," since Palestinian security forces are barred from operating there. "If Palestinian demonstrators are killed, the situation could deteriorate," he warned."

- Statehood not in the cards, Anav Silverman (educator at Hebrew University's Secondary School of Education in Jerusalem and freelance writer) - "In order for the Palestinians to live in freedom and democracy, they must have honest leaders, a sound electoral process, democratic institutions, transparent accounting and a fair judicial system".
http://www.ynet.co.il/english/articles/0,7340,L-4090188,00.html
   "Palestinian President Mahmoud Abbas has predicted that a Palestinian state will allow his people to live as a "peace-loving nation, committed to human rights, democracy, and the rule of law," echoing the sentiments of many in the international community. However, there are those in the Palestinian community who foresee a far different kind of future. According to several prominent Palestinian and Arab commentators and bloggers, this proposed prophecy will never see reality as long as a corrupt Palestinian leadership remains in place, continuing the dishonest financial dealings that defined past PA President Yasser Arafat and now Mr. Abbas.
    Sami Jamil Jadallah, a Palestinian American who is an international legal and business consultant, recently wrote an article comparing Israeli and Palestinian leaders in light of Israel's 63rd anniversary for Palestine Note, a news and opinion site based in Washington DC. He first addresses past history and describes David Ben-Gurion as having “dedicated his life to creating a nation out of the remnant of people from over 120 countries and succeeded in having a state with governing institutions on day one.”
    Yet as for Arafat, Jadallah wrote that “the other succeeded dedicating his life to political manipulation, lies fraud, corrupting everything around him and failing 'his' people at every turn, never having achieved liberation or the return of refugees." He added that "Ben-Gurion did not invite his family and friends and associates to loot the country as Yasser Arafat did" and that he is "not aware of any Israeli leader who became a multi-millionaire while serving the nation and the people while in public office."
    Arafat’s wife, Suha was reportedly promised $22 million a year from PA funds by Abbas, following her husband’s death. Mr. Abbas himself lives in a luxurious home. In 2006, Palestinian Attorney General Ahmed Al-Moghani revealed that at least $700 million of PA funds - others estimate up to $1 billion - had been stolen or squandered by corrupt Palestinian officials during the last few years. Some of the millions were transferred into personal accounts abroad.
    Jadallah ends his piece by describing the current PA government as lacking the "integrity, professionalism and the competency to achieve the end of occupation." He says that the PA “promises the people a 'virtual' state with none of the prerequisites of a modern nation state."
    Ali Younis, a Washington-based journalist, wrote in an article for al-Arabiya earlier this year, noting that “the late Palestinian leader Yasser Arafat used corruption as a tool to manage and control his chaotic Palestinian Authority.” He pointed out that “President Mahmoud Abbas is no different according to many complaints against him by Palestinian intellectuals."
    In addition to the questionable financial system that the PA has in place, free speech and free press under the Abbas regime is also extremely problematic. Human Rights Watch’s April 6 report, No News Is Good News: Abuses against Journalists by Palestinian Security Forces, highlights the way Abbas’ PA security “tortured, beat and arbitrarily detained journalists." The report also cites the Palestinian journalism watchdog, MADA, which noted that “the number of physical attacks, arrests, detentions, arbitrary confiscations of equipment and other violations of journalists’ rights by Palestinian security forces this year increased in both Gaza and the West Bank in 2010 by 45% from the previous year."
    Given the abovementioned, it is not surprising that the majority of Palestinians living in Jerusalem would prefer to remain citizens of Israel rather then become Palestinian citizens if given the choice. A poll conducted by the Pechter Middle East Polls in partnership with the Council of Foreign Relations, and supervised by Dr. David Pollock found that 35% of Palestinians living in east Jerusalem would opt to remain citizens of Israel, while 30% would choose Palestinian citizenship. The remaining 35% declined to answer or did not know. The study also found that 40% of Palestinians would likely move to Israel if their neighborhood became part of Palestine.
    Indeed, at this time there is no serious foundation for a stable democratic Palestinian state. How can the international community even consider the creation of such state at this time? In order for the Palestinians to live in freedom and democracy, they must have honest leaders, a sound electoral process, democratic institutions, transparent accounting and a fair judicial system. Under Hamas and Fatah, the Palestinians have none of these critical elements. Only lies. Hence, Abbas' yellow brick road to the UN will lead to nowhere."


Egypte

- Egyptian Presidential Candidate Muhammad Salim Al-Awa Calls for "Affirmation of the Enmity" with Israel and for Normal Relations with the Resistance and Iran (The Internet, 12 mars, Vidéo 3mn13) - "We want normal relations with Israel. This probably sounds very strange to you, coming from me, so let me reiterate: We want normal relations with Israel. Israel is an enemy, with which we have a truce ["houdna", trève temporaire]. It is an enemy! [le public applaudit à tout rompre] Israel is an enemy, with which we have a truce – it is not a friend, it is not an ally, and we do not have a peace treaty with it. This is a truce, and it is as temporary as all truces." Sur ses nouveaux alliés, le candidat Salim Al-Awa déclare : "We want to have normal relations with all the forces of the resistance – Hizbullah, Hamas, the Islamic Jihad, and the PFLP. We are the home from which the resistance must set out. We are the cave in which the resistance finds shelter in difficult times. We are the source that supplies the resistance with money, men, and weapons. [...] Iran is not our enemy. It is not a Jewish or populist country." Edifiant.
http://www.memri.org/clip/en/0/0/0/0/0/0/3012.htm


Liban, Syrie & Hezbollah

- Assassinat de Hariri : le Hezbollah exclut l'arrestation des 4 suspects (AFP) - "Nous rejetons le tribunal international et toutes les accusations nulles et non avenues qui émanent de cette instance".
http://www.lesechos.fr/economie-politique/infos-generales/monde/afp_00357866-assassinat-de-hariri-le-hezbollah-exclut-l-arrestation-des-4-suspects-189039.php
   "Le chef du Hezbollah libanais a exclu samedi l'arrestation de quatre suspects de son mouvement cités dans les mandats d'arrêt émis par le tribunal de l'ONU enquêtant sur l'assassinat du dirigeant Rafic Hariri, affirmant rejeter toute décision émanant de cette instance. "Aucune force ne pourra arrêter ceux qui sont mentionnés dans l'acte d'accusation (...). Il ne sera pas possible de les arrêter ni dans 30 jours, ni dans 30 ans ni dans 300 ans", a dit Hassan Nasrallah dans un discours de plus d'une heure retransmis en direct par la télévision du Hezbollah, Al-Manar
    "Nous rejetons le tribunal international et toutes les accusations nulles et non avenues qui émanent de cette instance", a-t-il poursuivi, accusant le tribunal spécial pour le Liban (TSL) d'être "politisé", à "la solde d'Israël" et l'enquête d'être "truquée". "Les choses iront jusqu'au procès par contumace, le verdict est déjà prêt", a-t-il encore dit, estimant que le tribunal cherchait "à porter atteinte au Hezbollah". Les quatre membres du Hezbollah mentionnés dans l'acte d'accusation du tribunal "ont un passé honorable dans la lutte contre l'occupation" israélien, a ajouté le chef du puissant parti chiite armé, un allié des régime syrien et iranien.
    Le TSL a remis jeudi un acte d'accusation sous scellé et quatre mandats d'arrêt au procureur général à Beyrouth Saïd Mirza. Le ministre de l'Intérieur Marwan Charbel a confirmé le lendemain les noms des quatre suspects du Hezbollah : Moustafa Badreddine, Salim Ayyash, Assad Sabra et Hussein Anaissi. On ignore où se trouvaient les quatre hommes. La réaction du chef de Hezbollah ne constitue pas une surprise dans la mesure où il avait dès 2010 dit s'attendre à ce que son mouvement soit mis en cause par le TSL et menacé de "couper la main" de celui qui arrêtera des membres du parti chiite. [...]"

- Le Hezbollah, responsable du meurtre de Rafiq Hariri ? Entretien avec Joseph Bahout (doctorant à Science-Po Paris) - "C’est une petite bombe qui mettra le feu à une poudrière libanaise qui chauffe depuis un moment" ; "Si on découvre que se cache derrière les 4 personnes des systèmes comme l’Iran, cela peut devenir très grave".
http://www.atlantico.fr/decryptage/liban-tribunal-special-liban-hezbollah-hariri-133677.html
   "- Atlantico : Le Tribunal spécial pour le Liban (TSL), enquêtant sur l'assassinat de Rafiq Hariri a remis ce jeudi 30 juin un acte d'accusation scellé et des mandats d'arrêt au procureur à Beyrouth ? De quoi est-il question, et quelle est l’origine de ce Tribunal ?
    - Joseph Bahout : Il est acté depuis près de quatre ans par une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies, votée à l’unanimité, qui faisait suite à une initiative sponsorisée par la France et les Etats-Unis. La résolution a donné lieu à la mise en place d’une commission d’enquête puis à la création de ce fameux Tribunal spécial pour le Liban (TSL), un objet assez bizarre puisqu’il mêle plusieurs droits et juridictions. Ce n’est pas un tribunal sous la direction de la Cour criminelle internationale, ni un tribunal libanais. Il s’agit d’un tribunal mixte pour statuer sur l’affaire de l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafiq Hariri et six ou sept autres attentats ou tentatives d’assassinat qui ont suivi.
    La commission d’enquête travaille depuis des années et cela fait un an et demi que l’on dit souvent que l’acte d’accusation était imminent. Et là, le suspense est enfin clos. Pourquoi cela a-t-il traîné ? Pour des raisons techniques, des compléments d’enquête. Je ne pense pas qu’il s’agisse d’une raison politique. Mais je ne peux pas le prouver. Ce sont des procédures longues, compliquées. Souvent, la commission a été suspectée de politisation, son travail est très loin d’être transparent. On peut soupçonner des interférences. Il y a eu beaucoup de fuites, aussi. Quatre officiers supérieurs de la sécurité libanaise ont été mis en prison pendant plusieurs mois, ils auraient été incriminés dans cette affaire : aujourd’hui, on se rend compte qu’il n’en est rien…
    Le suspense, toutefois, ne se clôt que relativement. Contrairement à ce qui est dit dans le droit romain, le droit français, l’acte d’accusation ne clôt pas l’enquête, elle se poursuit même si le tribunal continue la mise en jugement des accusés. Il faut donc attendre d’autres actes d’accusation qui viendront… Il va se jouer, à partir de maintenant, un poker. Des cartes vont s’abattre progressivement les unes après les autres. Pour l’instant, l’acte ne comporte que quatre noms de personnes qui appartiennent à la mouvance du Hezbollah. Y aura-t-il des gens proches du régime de Bachar Al-Assad ? On le saura plus tard. C’est maintenant une réalité politique et judiciaire, et plus qu’une spéculation : il y a un soupçon fort, une accusation vis-à-vis de membres importants dans la hiérarchie, dans le commandement du Hezbollah. C’est une petite bombe qui mettra le feu à une poudrière libanaise qui chauffe depuis un moment.
    - Le nouveau Premier ministre Najib Mikati, dont le gouvernement est dominé par le Hezbollah et ses alliés, devait annoncer le programme de politique générale de son cabinet…
    - L’acte d’accusation aura un impact. Ce qui est amusant, c’était la course entre la déclaration ministérielle en cours d’achèvement et l’imminence de l’acte d’accusation. Le fait que celui-ci ait précédé la déclaration ministérielle rend les choses plus faciles : le Premier ministre pourra user au Conseil des ministres d’une formule assez vague sur l’acte d’accusation pour désamorcer la pression, la tension qui va dominer sur la scène politique. Ce sera du type : « Le Liban maintient ses engagements au niveau international et nous cherchons à assurer la stabilité de sa société », un « ni-ni » pour gagner du temps.
    Le problème, c’est de savoir si la justice internationale, la communauté internationale, et les ayant droits libanais, autrement dit le camp du « 14 mars » de Saad Hariri, vont vouloir aller plus loin dans la réclamation des incriminés - ce qui est illusoire. Politiquement, cela signifierait que l’on actionne la justice libanaise : lancer des mandats d’arrêt, créer des tensions sur le terrain. Les autorités libanaises peuvent au contraire aussi dire : « Les accusés, on ne peut pas les chercher ». Si tel est le cas, le Conseil de sécurité voudra-t-il, sous forme de pression, sanctionner le Liban ?
    Et, en deuxième lieu, comment va réagir le Hezbollah ? Va-t-il dire, comme il l’a fait jusque maintenant : « Nous ne sommes pas concernés par cette affaire, c’est un tribunal fantoche, on ne croit pas un mot de ce qui est dit dans le rapport. » ? Ou alors : « C’est un complot visant à nous étrangler » ? Le pays est totalement déchiré depuis cinq, six ans, la situation ne tient qu’à un fil. La situation politique risque encore de s’aggraver, l’acte d’accusation n’arrangeant pas les choses, c’est une source de tension supplémentaire. Cela risque de compliquer les plans syriens et libanais. Les partis peuvent peut-être calmer le jeu… On verra.
    Le tribunal va commencer à fonctionner en octobre, il peut juger par contumace les prévenus si on ne les a pas attrapés. Si on découvre que se cache derrière les 4 personnes des systèmes comme l’Iran, cela peut devenir très grave…
    - Qu’en est-il du refuge de Saad Hariri en France ?
    - On en a trop dit sur cette affaire. Il est un peu fatigué et il a un peu peur car cela tangue dans la région en ce moment. Il n’y a pas de risque sérieux sur sa vie mais c’est un avis personnel. Beaucoup de gens ont certes des raisons de lui en vouloir : d’abord, ceux qui ont tué son père, on ne sait pas qui c’est ; ensuite, ses ennemis politiques, ainsi qu’une partie de l’appareil syrien qui pense peut-être qu’il a poignardé la Syrie dans le dos en soutenant la révolte populaire du moment. Mais tout le monde est menacé. Ce n’est peut-être que des vacances prolongés."

- The UN Indictment of Hizbullah, Col. (ret.) Dr. Jacques Neriah (former Foreign Policy Advisor to Prime Minister Yitzhak Rabin and Deputy Head for Assessment of Israeli Military Intelligence) - "As an organization that has long described itself as “the resistance” to Israel, the revelation that it also specializes in killing Sunni Muslims will, at a minimum, be problematic".
http://jerusalemcenter.wordpress.com/2011/07/03/the-un-indictment-of-hizbullah/
   "June 30, 2011, a UN-backed court issued a long-awaited indictment and arrest warrants for four Lebanese Hizbullah members responsible for the 2005 murder of former Lebanese Prime Minister Rafik Hariri.
    According to the Lebanese media, the suspects include Mustafa Badreddine, brother-in-law of former Hizbullah military commander Imad Mughniyeh, who was killed in a 2008 bombing in Damascus. Badreddine was said to have supervised the Hariri assassination. He had previously been arrested in Kuwait for planning to bomb the U.S. embassy. Badreddine appears to have a storied history of militancy. According to a federal law enforcement official, and Gary Berntsen, former head of the CIA’s Hizbullah task force and author of Jawbreaker, Badreddine is suspected of building the powerful bomb that blew up the U.S. Marine barracks in Beirut in 1983, killing 241 Americans.
    Also among the four suspects is Salim Ayyash, a Hizbullah member who holds U.S. citizenship and headed the cell that carried out the bombing. Assad Sabra and Hussein Anaissi, also of Hizbullah, were in charge of coordinating with Ahmad Abu Adas, a Palestinian who claimed credit for the Hariri assassination when he contacted Al-Jazeera following the incident.
    Hizbullah’s Al-Manar television dismissed the UN court as “politicized” and said it bore the mark of being in the service of Western intelligence agencies. The Iranian- and Syrian-backed group has warned it would “cut off the hand” of anyone who attempts to arrest party members linked to the February 14, 2005, seaside bombing that killed Hariri and 22 others.
    On June 30, Lebanese Prime Minister Najib Mikati issued a government policy statement which failed to clearly spell out whether his cabinet would continue cooperating with the UN tribunal. “The government confirms that it will follow the progress of the Special Tribunal for Lebanon, which was set up in principle to see justice served in a manner that is neither politicized nor vengeful, and as long as it does not negatively affect Lebanon’s stability and civil peace,” read the ambiguously worded statement.
    As expected, Hizbullah chief Sayyed Hassan Nasrallah said on July 2 that the four members of his group indicted by the UN court were unjustly accused and would never be arrested, reiterating that the resistance would not cooperate with the tribunal, which he blasted as having links with Western intelligence agencies. [...] Since the STL released the indictments, there has been no real sign that Lebanese authorities are willing to arrest the four suspects, including Hizbullah militant Mustafa Badreddine. To do so, they would have to directly confront Hizbullah.
    Moreover, the indictments do indeed threaten to ignite fresh violence in Lebanon. In the six years since Hariri’s death, the investigation has sharpened the country’s sectarian divisions – Rafik Hariri was one of Lebanon’s most powerful Sunni leaders, while Hizbullah is a Shiite group. It has also heightened other intractable debates, including the question of the role of Hizbullah and its vast arsenal, which opponents want dismantled. [...]
    Lebanese authorities have until the end of July to serve the indictments on suspects or to execute arrest warrants. If they fail, the court’s recourse is to publish the indictment. The Lebanese government is the body that requested the formation of the STL and is the body that had pledged its full support and cooperation with the STL. In fact, most of the law used by the STL is based on Lebanese law, although the court itself is in The Hague. Hizbullah was part of the cabinet that had initially asked for the establishment of the STL and the previous cabinet that had promised total cooperation with it.
    But when it became clear that the investigation is moving towards an indictment of individuals connected to Hizbullah, the party embarked on a scorched earth policy of vilifying the STL at every possible moment, initiating a constitutional coup against Saad Hariri’s government, bringing its downfall, and forming instead a pro-Hizbullah government headed by their chosen Sunni ally, Najib Mikati.
    However, Lebanon being what it is, things could get out of hand and rather quickly. If the Lebanese government fails to live up to its international obligations under UNSCR 1757, which was passed under Chapter VII of the UN Charter, then the international community will be in a position to force compliance through sanctions and other means.
    As an organization that has long described itself as “the resistance” to Israel, the revelation that it also specializes in killing Sunni Muslims will, at a minimum, be problematic. Moreover, the Arab Spring has contributed to a spike in Sunni-Shiite tensions. In Syria, the rallying cry of the largely Sunni Muslim opposition to the Alawite Assad regime has been: “No to Iran, No to Hizbullah!” Given these sentiments, most probably the indictment will be seen through a largely sectarian prism. This will not affect Hizbullah’s grip overLebanon. But the organization’s stature in the wider Muslim world will be irrevocably diminished, and the change in status of this Shiite organization will likewise further undermine the position of Iran and Syria in the region.
    It could also undermine Hizbullah in the eyes of Europe, where the militia has long benefitted from the Continent’s tolerant view of the group’s “political” wing. Indeed, given the European Union’s expressed disgust with the ongoing atrocities perpetrated by the Assad regime and its growing frustration with the clerical regime in Tehran, the EU might be inclined to adopt an activist role, as in the cases of crimes against humanity that were perpetrated in Bosnia and in Libya.
    If the various reports about the UN indictment are examined, what is still missing is the precise role of Syria and Iran in the Hariri assassination. In April 2007, Sheikh Naim Qassem, Nasrallah’s deputy, admitted that Hizbullah submits itself to the authority of the Iranian leadership on military-operative issues. It is difficult to imagine that Hizbullah would undertake such a sensitive mission as the murder of the prime minister of Lebanon without consulting with Tehran.
    Needless to say, Hizbullah has seldom acted as if laws mattered, whether it was the call to disband its military wing, hand over its illegal communication network, or allow Lebanese authorities into its geographic areas. Hizbullah has not shied away from flexing its military muscles to blackmail and intimidate. From this perspective, it seems that Hizbullah has inherited the syndrome of the biblical Samson. If they have to fall or pay the price, there will definitely be those who will also pay the price: in Lebanon, Israel, and whoever is perceived by Hizbullah as being behind the “conspiracy” against it."


Iran

- Les sanctions occidentales commencent à faire sentir leurs effets sur l'Iran, Laurent Maillard (AFP)
http://www.lesechos.fr/economie-politique/infos-generales/monde/afp_00357922-les-sanctions-occidentales-commencent-a-faire-sentir-leurs-effets-sur-l-iran-189092.php
   "Vente de pétrole plus compliquée, circuits financiers et commerciaux perturbés, investissements étrangers incertains: le renforcement il y a un an des sanctions internationales contre l'Iran commence à faire sentir ses effets, constatent les milieux économiques à Téhéran. Cible principale des sanctions avec le secteur bancaire, l'industrie pétrolière qui rapporte à l'Iran 80% de ses recettes en devises accuse le coup de l'embargo sévère décrété en juillet 2010 contre l'Iran par les Etats-Unis et l'Union européenne, rapidement suivis par la plupart des pays industrialisés. [...]"

- Le Kurdistan irakien proteste contre des bombardements iraniens (Guysen) - des bombardements réguliers, mais dont les médias européens ne parlent jamais.
18755.html">http://www.guysen.com/news_Le-Kurdistan-irakien-proteste-contre-des-bombardements-iraniens_318755.html
   "Le président du Kurdistan irakien, Massoud Barzani, a protesté contre des bombardements menés selon lui par l'Iran sur cette région autonome frontalière du nord de l'Irak. Les forces iraniennes bombardent régulièrement des zones frontalières kurdes irakiennes qui abritent des indépendantistes du PJAK, un mouvement séparatiste kurde iranien qui opère à partir de bases établies dans les montagnes du Kurdistan irakien."


USA

- Obama assumes the offensive in Jewish vote race (Ynet) - "The US president's call to return to 1967 lines and his avoidance from clearly stating he will not agree to talks with Hamas have put Obama in the political hot seat".
http://www.ynet.co.il/english/articles/0,7340,L-4090300,00.html
   "United States President Barack Obama plans to take a more assertive stance against his critics with his approach towards Israel, the Washington Post reported this weekend. The US administration has assembled a special team composed of senior Jewish figures and advisers who will tackle criticism against Obama in the media.
    Obama's policies towards Israel have raised harsh criticism among many members of the Jewish community in the US. Obama's frequent political wranglings with Prime Minister Benjamin Netanyahu, as well as his policy towards the Arab world, quickly raised concern that the US president wishes to confront Israel on issues related to the peace process in order to appease the Arab countries and change the regional balance of power. This situation affected relations between the White House and Jewish lobbies in Washington, causing them to turn turbid.
    With the upcoming 2012 elections, it has been assumed Obama will try to win the Jewish democratic vote once again. However the Washington Post stated the White House is prepared for battle. Washington's new strategy is designed to address the overwhelming criticism by Jewish voters – something which can no longer be ignored. It will include opinion pieces, banners and an attempt to emphasize past presidential decisions which did not receive media attention. [...]
    Some Conservatives have succeeded in creating an atmosphere of fear amongst Obama's political advisers. The US president's call to return to 1967 lines and his avoidance from clearly stating he will not agree to talks with Hamas have put Obama in the political hot seat. Now Axelrod is trying to minimize the damages and set things straight. "The president does not believe that any country can be asked to negotiate with a terrorist organization that is sworn to its destruction and unwilling to abandon that goal or embrace a peaceful settlement of the conflict,” he said. “He could not have been clearer about that”."


Monde

- Australia: Anti-Israel protest at Max Brenner (Ynet) - "the protest had been against "Palestinian oppression" and "ethnic cleansing"."
http://www.ynet.co.il/english/articles/0,7340,L-4090033,00.html
   "An Israeli-owned chocolate shop in Australia became the scene for a pro-Palestinian protest Friday, the Herald Sun reported. Three police officers were injured and 19 protesters were arrested at the Max Brenner coffee and chocolate shop in Melbourne during the protest, aimed against the Strauss corporation, which owns the franchise. The protesters claim Strauss aids the IDF. Police plan to file indictments against 16 of the detainees, including charges of insulting a police officer, rioting in public, trespassing, and besetting premises, the Sun reported.
    Salem Nasser, one of the organizers of the protest, belongs to a group called Socialist Alternative. He commented on its website that the protest had been against "Palestinian oppression" and "ethnic cleansing". "People were making speeches about the daily attacks that Palestinians endure ... and scores who are killed every month at the hands of the IDF," the Herald Sun cited him as saying. Witnesses said that just a short while after the protesters had gathered, special police forces arrived and began to make arrests. [...]"


Point de vue

- Campagne Simon Wiesenthal des six mots : « Je vais accepter un Etat juif » (Centre Simon Wiesenthal)

http://www.aschkel.info/article-je-vais-accepter-un-etat-juif-campagne-simon-wiesenthal-des-six-mots-78481529.html

   « Il existe six mots qui doivent être prononcés avant qu’il puisse y avoir une paix au Proche-Orient, passant d’un terrorisme continuel et d’une menace constante de guerre à deux Etats florissants vivant côte à côte. Ces six mots sont : « Je vais accepter un Etat juif ». Et si le président palestinien pouvait prononcer ces six mots, notre travail à accomplir serait très différent. Ainsi que le Premier ministre Benjamin Nétanyahou le déclara le mois dernier : « Ces six mots changeront l’histoire. Ils rendront clair aux Palestiniens que ce conflit doit toucher à sa fin – qu’ils ne construisent pas un Etat pour poursuivre le conflit avec Israël, mais pour y mettre fin. »

    Alors que de plus en plus de dirigeants, dont le Président Obama, insistent pour que les négociations israélo-palestiniennes redémarrent et fournissent rapidement des résultats, la voie de la paix ne passe pas par l’exigence que ces pourparlers se basent sur les lignes antérieures à 1967, mais plutôt qu’elles se basent sur la déclaration du Président palestinien Abbas à son peuple qu’il acceptera un Etat juif comme voisin légitime et permanent.

    Et pourtant, le Président Abbas ne dira pas ces six mots. Bien plutôt, il a fait pression sur les Nations Unies pour déclarer unilatéralement un Etat palestinien en septembre prochain, et a aussi signé un accord avec le groupe terroriste Hamas.

    La « Campagne des Six Mots » du Centre Simon Wiesenthal encouragera les leaders mondiaux à abandonner leur dangereux double standard qui les conduit à formuler des exigences déraisonnables à l’égard d’Israël tout en ne tenant jamais les Palestiniens responsables de la diabolisation de leurs voisins juifs et de leur alliance avec le Hamas.

    Rien que la semaine dernière, selon Palestinian Media Watch, le journal officiel de l’Autorité palestinienne a qualifié le judaïsme de « religion falsifiée, pervertie, corrompue », mentionné que « les Juifs sont intrinsèquement mauvais » et que « la création d’Israël est la naissance d’une tumeur maligne ». C’est pourquoi le monde, avec à sa tête les Etats-Unis et le Canada, devrait envoyer aux Palestiniens un message sans ambiguïté : Vous voulez la paix ? Prononcez ces six mots.

    Notre effort stratégique vise trois sujets cruciaux :

- Dites « non » aux lignes de 1967 : l’idée que les frontières antérieures à la guerre des Six jours de 1967 seraient viables pour Israël, même avec des « échanges de territoires », doit être combattue.

- Une solution juste pour les réfugiés : Israël ne peut et ne pourra jamais accepter le « droit au retour » des réfugiés palestiniens sur son territoire, ce qui ferait des Juifs une minorité dans leur propre nation.

- Condamner le terrorisme du Hamas : le Hamas, qui contrôle Gaza et a signé un accord d’unité avec le Président Abbas, continue de dire au monde qu’il ne reconnaîtra jamais l’Etat d’Israël.

    Cessez de récompenser le leadership palestinien alors qu’il investit dans la haine plutôt que dans l’espoir. Cessez de punir Israël pour toute concession qu’il propose dans l’espoir d’atteindre enfin un futur pacifié. Le Centre Wiesenthal comprend qu’il s’agit des obstacles clefs à une paix juste et durable entre Israël et le peuple palestinien. Avec votre généreuse contribution, nous pourrons :

- Alerter les dirigeants du monde sur les problèmes centraux qui bloquent la paix, incluant ces six mots cruciaux qui doivent être prononcés par le leadership palestinien avant que les négociations puissent avancer.

- Conduire des réunions de haut niveau avec des diplomates et d’autres personnalités internationales clefs pour les inciter à une approche plus équilibrée des négociations israélo-palestiniennes.

Votre contribution à notre « Campagne des Six Mots » assurera le Centre qu’il peut tenir ferme avec Israël en ces temps où cela s’avère nécessaire.

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